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eule qu’il se révèle, et ce n’est plus la peur du
sang
qui lui répond, mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’es
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le Fils du Dieu vivant. » Or, ni la chair, ni le
sang
n’auraient pu lui faire dire cette parole (Matt. 16, 17). C’est Dieu
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ne le corps à manger sans donner en même temps le
sang
à boire. Étonnez-vous donc aussi de ce que la Cène sacrée est séparée
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dit : « Celui qui mange ma chair et qui boit mon
sang
a la vie éternelle », mais il a dit néanmoins (dixit nihilominus) : «