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, ni pour celui de demain nous ne verserons notre
sang
. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communi
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doute naturel, à confesser ce que la chair ni le
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par eux-mêmes ne sauraient confesser. Alors seulement pourrait se pos
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ement au Dictateur d’accréditer son utopie. Si le
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de ses propres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le sang des
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pres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le
sang
des « païens », le sang des autres, qui cimente l’édifice de l’Usine
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nce de l’Église, c’est le sang des « païens », le
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des autres, qui cimente l’édifice de l’Usine soviétique et donne la p