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oi dans mon agonie ; j’ai versé telles gouttes de
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pour toi. » Pour toi, dit bien Pascal, non pour le genre humain en gé
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nesse sera passé : il me faudra une demoiselle au
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frais pour me rajeunir. » Et Kierkegaard ajoute, en commentant ce réc
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es villes de la zone Est, bien qu’écrasée dans le
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, marque la fin d’une ère : celle du mythe communiste qui, pendant tre
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e le plus vulnérable : c’était la France, dont le
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coulait en Indochine, et qui allait décider du sort de toute l’Europe
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mporte quel fidèle endimanché aux martyrs dont le
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fut la semence de l’Église. Le contenu du mythe ne peut être décrit q
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toi dans mon agonie. J’ai versé telles gouttes de
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pour toi », dit au croyant le Jésus de Pascal. La passion ne pouvait
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res révolutions qui ont versé dans son ombre « un
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impur ». L’Église, en effet, se fondait sur la réalité des hommes tra
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cure des résultats : il trouve sa preuve dans le
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. Mais si, profanant le mythe et ses tabous, nous estimons froidement
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r des larmes Nous les Magyars, nous versons notre
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. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que ta grâce daigne sur nous
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tout coup. Que l’énergie magyare passe dans notre
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! J’ai vu se lever, depuis quelques semaines, une génération qui a co
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l, et les bords des plaques rivetées sont devenus
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clair, rubis vivant, liquide, d’une telle beauté soudain qu’on pourra