1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 attre avec la vie s’en vont ailleurs brasser leur sang , plutôt que de troubler la pax helvetica, merveille inaperçue du mond
2 1948, Suite neuchâteloise. IV
2 ands, et quinze Français. (Du côté de ma mère, du sang prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père ép
3 té de ma mère, du sang prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père épouse une Française, puis une Ang
3 1948, Suite neuchâteloise. V
4 i dans ces provinces ne doit rien aux mystères du sang , une idée chimérique ne cessera de me plaire : sur ces lieux où jadis
4 1948, Suite neuchâteloise. VII
5 e peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le sang plus vite, le soulèvement plus ample de la respiration. Tout ce que d