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attre avec la vie s’en vont ailleurs brasser leur
sang
, plutôt que de troubler la pax helvetica, merveille inaperçue du mond
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ands, et quinze Français. (Du côté de ma mère, du
sang
prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père ép
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té de ma mère, du sang prussien, et de nouveau du
sang
français.) Mon arrière-grand-père épouse une Française, puis une Ang
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i dans ces provinces ne doit rien aux mystères du
sang
, une idée chimérique ne cessera de me plaire : sur ces lieux où jadis
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e peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le
sang
plus vite, le soulèvement plus ample de la respiration. Tout ce que d