1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 Quitte à la rendre inoffensive en la gorgeant du sang impur d’un domestique hors-caste, qui se couche le premier dans le li
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 lie les êtres nés dans sa sphère par les liens du sang et de la terre où reposent les morts effrayants. Tout participe de to
3 out recommencera : grégarisme magique et liens du sang , réinvention de l’individu puis de ses excès, vide social, réaction d
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
4 mporte quel fidèle endimanché aux martyrs dont le sang fut la semence de l’Église. Le contenu du mythe ne peut être décrit q
5 toi dans mon agonie. J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésus de Pascal. La passion ne pouvait
6 res révolutions qui ont versé dans son ombre « un sang impur ». L’Église, en effet, se fondait sur la réalité des hommes tra
7 cure des résultats : il trouve sa preuve dans le sang . Mais si, profanant le mythe et ses tabous, nous estimons froidement
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
8 ement au dictateur d’accréditer son utopie. Si le sang de ses propres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le sang des
9 pres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le sang des « païens », le sang des autres, qui cimente l’édifice de l’Usine
10 nce de l’Église, c’est le sang des « païens », le sang des autres, qui cimente l’édifice de l’Usine soviétique, et donne la