1 ée à la toute belle Téléphaassa, qui était de son sang  ; et Téléphaassa, mère d’Europé, avait remis ce superbe présent à sa

2 long Argos, orné d’yeux rebelles au sommeil ; du sang rouge d’Argos, surgissait un oiseau, fier de son plumage fleuri et mu

3 par leur beauté sans tache. Quoique sœurs du même sang , elles habitaient deux patries, l’une la Grèce, dont le sort l’avait

4 u n’aimes mieux filer ta tâche d’esclave. Toi, le sang des rois, livrée à une maîtresse des pays barbares. » Ainsi elle se l

5 afin qu’ils comprennent qu’ils sont tous de même sang et sous la protection d’une même raison. Mais parce que cet empire de

6 onsidérés comme des chrétiens ? Ainsi souillés de sang osent-ils entrer dans les Églises et s’approcher des autels ? Ô fléau

7 n des domiciles n’amoindrit point la proximité du sang . Elle ne peut non plus oster la similitude du naturel, vray fondement

8 e même secte, ils ont souillé leurs mains dans le sang de leurs frères, invoquant de toutes leurs forces le Dieu bon et misé

9 e mélange continuel des intérêts que les liens du sang et les affaires du commerce, des arts, des colonies, ont mis entre le

10 ef, une révolution qui, sans souiller l’Europe de sang , ni mettre partout le feu, saura n’être qu’une œuvre toute simple et

11 le peut nous tendre une puissance spirituelle. Le sang coulera à flots en Europe jusqu’à ce que les nations prennent conscie

12 t en grondant…L’avenir sent fortement le cuir, le sang , l’impiété et les coups, beaucoup de coups. Je conseille à nos petits

13 r des larmes Nous les Magyars, nous versons notre sang . Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que ta grâce daigne sur nous

14 e militarisme européen qui nous suce notre propre sang . Si grandes que soient les difficultés réelles qui s’opposent à la fo

15 ormais en nous, amalgamé à notre chair et à notre sang … La Convention française de 1793, tout en décernant un brevet de cito

16 comme personne […] Oh ! ce n’est pas seulement le sang qui coulait alors qui m’a tant épouvanté, ce ne sont pas même les Tui

17 e était interrompue, si l’on devait nager dans le sang , si tous les ministres perdaient le sommeil à force de réfléchir et s

18 premières nations de l’Europe sont des nations de sang essentiellement mélangé. Le fait de la race, capital à l’origine, va

19 ndre à la gorge en leur disant : — Tu es de notre sang tu nous appartiens !… … Ce que nous venons de dire de la race, il fau

20 césarien, noyant le pouvoir de l’argent dans le «  sang  », c’est-à-dire dans une éruption des forces instinctives et de la vo

21 , la culture se fige brusquement, elle meurt, son sang coule, ses forces se brisent — elle devient civilisation. C’est ce qu

22 ntre l’argent. L’argent ne sera dominé que par le sang et supprimé par lui. Dans l’histoire, ce dont il s’agit est la vie, t

23 es, se termine encore par les faits élémentaux du sang éternel qui est, avec le flot cosmique en éternelle circulation, une

24 ule ; anéanti les cultes égyptiens ; noyé dans le sang et déshonoré par d’ingénieuses calomnies l’adoration de Dionysos. On