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illeurs, s’en inquiète sourdement, « se ronge les
sangs
», comme on dit, se ronge l’âme. Ainsi la torture par l’aigle signifi
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ches sur la transfusion sanguine. « Transfuser le
sang
d’un autre dans les veines d’un patient provoque à court terme la mor
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qui unissent toujours contre les autres, liens du
sang
, de la race, de la classe, liens d’un passé qu’il nous faudrait sans
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n’est plus là… Mais chez les hommes de chair et
sang
, la personne est toujours instante, c’est une virtualité universelle,
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— et non subie, comme l’était celle des liens du
sang
— le mariage est l’exemple élémentaire. Cette mutua confederate (mutu