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holique. Et son lyrisme, encore un peu brutal, il
saura
le dompter, et atteindre au classicisme véritable. Voici un construct
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joue franc jeu. S’il faut lutter contre lui, nous
savons
qu’il observera les règles. Saluons-le donc du salut des équipes avan
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trop souvent un brillant appareil dialectique ne
sait
produire que l’illusion. C’est la revanche du fameux scrupule protest
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ts ni d’utopies, Clerville, Janson et Brémond ont
su
arracher leurs auditeurs de leur lit de préjugés pour les placer véri
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emps. Libre à qui veut d’y voir un symbole. On ne
saurait
exagérer l’importance des conditions météorologiques du succès d’une
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re. Après les exposés de Janson, de Brémond, j’en
sais
plusieurs qui ont ainsi « lâché » pas mal de préjugés en matières soc
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de souscrire à la brochure de la conférence3 pour
savoir
tout ce que je n’ai pas dit dans ces quelques notes. 3. Il suffit e
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ou de dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne
sais
plus… Je suis beaucoup de personnages, faudrait choisir. Vous me dire
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ésolu. Me voici devant quelques problèmes dont je
sais
qu’il est absolument vain de prétendre les résoudre, mais que je dois
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ncore comprendre — tout est si fragile —, mais je
sais
quelle légèreté puissante, quelle confiance vont guider ce corps et c
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ent la bête en même temps qu’elle. Et parce qu’il
sait
ce qu’elle va faire, il peut la dominer… : on ne vainc vraiment que c
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et des odeurs, espérant entrer là-bas dans je ne
sais
quelle harmonie plus reposante. Cette imparfaite accoutumance au mond
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: il y a de jeunes peintres neuchâtelois. Quant à
savoir
s’il est possible déjà de discerner parmi eux certaines tendances gén
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onfèrent une actualité toujours vive. D’ailleurs,
sachons
le reconnaître, il y a moins de malice que de paresse dans les jugeme
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erveilleux foyer de contagion contre lequel je ne
saurais
me prémunir par le moyen d’aucun de ces appareils à jugements garanti
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rt très volontaire, qui connaît ses ressources et
sait
en user avec la sobriété qui produit le maximum d’expression. Cette «
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d’expression. Cette « simplicité précieuse », il
sait
la conférer à tout ce qu’il touche, qu’il décore une bannière, fabriq
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t qui tout en s’épurant dans des formes claires a
su
les renouveler. Il nous apporte aussi cet élément de vitalité combati
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l’écrasement de ses couleurs, une sensualité qui
sait
se faire délicate quand du haut de San Miniato ou de Fiesole, il pein
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dans toute sa palette, ce charme enfin, ce je ne
sais
quoi qu’on cherche en vain chez beaucoup des meilleurs de nos artiste
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Il aime ces heures où ciel et onde se mêlent, et
sait
rendre mieux que personne la liquidité d’un lac, certaines atmosphère
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me d’aviateur, retour de Vienne, un sculpteur qui
saura
s’imposer. Léon Perrin a compris tout le parti qu’on pouvait tirer de
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le réalisme imposé par les sujets et un style qui
sait
rester ample, d’une simplicité non dépourvue de puissance. Une fois d
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style donnée par le cubisme aux artistes qui ont
su
se dégager de son outrance théorique. C’est dans la manière cubiste e
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ne fièvre faisait s’épanouir sur son visage je ne
sais
quel plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit libre de c
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soir-là, une confiance me possédait, telle que je
savais
très clairement que je gagnerais à tout coup. L’étranger se mit à dis
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délicieusement. Et de cette nuit peut-être, je ne
saurai
jamais rien… (sinon qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai
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er. Ma vie m’a repris, je ne suis pas heureux. Je
sais
très bien que je devrais tenter quelque chose. Je suis plein de rêves
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ie sans joie… Ah ! plus amère, plus amère encore,
saurai
-je un jour te désirer, te haïr… 9. Calembour sur une idée juste. (N
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me penche vers un voisin pour lui demander je ne
sais
plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup plus loin qu
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fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le
savez
, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y réfléchissant bien, m
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autres paraissaient purement mystiques… Mais vous
savez
, « les autres » n’y comprennent jamais rien, dès qu’on aime… Oh ! cet
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’était qu’un regard, un certain regard, mais j’ai
su
en retrouver la sensation jusque dans les choses — et c’est cela seul
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de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne
sûmes
pas dissimuler nous trahit ; elle finit donc par accepter et vint à n
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isir. Autant dire que ceux qui les fréquentent ne
savent
plus ce que c’est que le plaisir. Ils prennent au hasard des liqueurs
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ui n’ont pas été préparées pour leur soif. Ils ne
savent
plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyam
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t la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous
savez
, je lance mes filets dans l’eau des nuits, et quelquefois j’en ramène
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s j’en ramène des animaux aux yeux bizarres où je
sais
lire les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ?
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du golfe de Marseille, ou bien plutôt, par je ne
sais
quelle erreur d’images, — ce serait la gravité énigmatique d’Adrienne
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’intéresser aux divers types humains. Mais on lui
sait
peu de grés de sa curiosité. Sans doute est-il trop impatient, demand
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il n’est pas encore quelqu’un, Stéphane cherche à
savoir
ce qu’il est. C’est une autre manie de sa génération. Mais là encore
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la personnalité est un acte de foi : Stéphane ne
sait
plus ce qu’il est. Semblablement, il ne sait plus aimer. (Ces jeunes
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e ne sait plus ce qu’il est. Semblablement, il ne
sait
plus aimer. (Ces jeunes gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) C
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réponse, il répète à plusieurs reprises : « Je ne
sais
pas : je suis !… Je ne sais plus… mais je suis ! » Un peu plus tard,
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rs reprises : « Je ne sais pas : je suis !… Je ne
sais
plus… mais je suis ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand sol
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e qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne
savent
pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces portraits ? — (e
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la bouche de certains, cela prend l’air de je ne
sais
quelle revanche du médiocre dont ils se sentent bénéficiaires. Ah ! v
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e errante des prières à dieux perdus. II Je ne
sais
pas où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et de vent autour du
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rôdent à la recherche d’un corps faible. Je ne
sais
pas où tu m’attends mais je sais comment tu pleurais. Au carrefour de
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faible. Je ne sais pas où tu m’attends mais je
sais
comment tu pleurais. Au carrefour des cris perdus j’écoute encore une
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lques-uns des meilleurs esprits que la France ait
su
rendre inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’à cette génération ne
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mpagnement desquels, semble-t-il, nul Français ne
saurait
accepter sa révolte. Il y a bien quelques outrances dans tout ceci. M
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! une logique verbale et le clair génie que l’on
sait
se chargent de tout réduire à la raison, y compris la Révolution, thè
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son cigare ou son moi. » 8. « La France… n’a pas
su
faire la révolution morale… parce qu’elle manque de sens moral. » Le
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éluctablement qu’elle est en Dieu — et soit qu’il
sache
ou qu’il ignore que la grâce seule permet de vouloir… C’est Nietzsche
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q I Vos fantômes ne sont pas les miens, et qui
saura
jamais s’ils ne sont pas pour moi « des choses » — et réciproquement.