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out sur les bords du lac de Zurich, comme vous le
savez
. Vous me demandez si c’est la meilleure voie ? Je vous répondrai évid
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de, c’est beaucoup plus l’opinion. Les Américains
savent
qu’il y a en face d’eux un pays qui agit beaucoup sur l’opinion d’une
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ne, d’un certain idéal communiste. Les États-Unis
savent
qu’ils ne peuvent opposer à cet idéal qu’un idéal démocratique et de
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de l’Europe puisqu’il manque d’initiative ? Qu’en
sait
-on ? Est-ce qu’on a jamais demandé aux Suisses ce qu’ils pensaient de
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uisses ? On n’a jamais fait cette enquête, que je
sache
. Alors que voulez-vous qu’il se passe ? Dans ces conditions, le Suiss
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reconnaissance » mis en valeur par votre titre ne
saurait
signifier que la Fondation FVS de Hambourg m’aurait exprimé sa gratit
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giques que commerciales. Il va falloir maintenant
savoir
ce que nous voulons au juste : un niveau de vie quantitatif ou un cer
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ait avec la vocation traditionnelle de la Suisse.
Savoir
si elle se fera dépend de nous aussi : c’est à nous de faire valoir d
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uman à la fin de sa vie, je lis ces mots qu’on ne
saurait
souhaiter plus éclairants et qui servent de titre au deuxième chapitr
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rx puis par Lénine avec les conséquences que l’on
sait
, jusque dans l’existence quotidienne de 700 millions de Chinois qui s
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erait leur force ; mais en retour, cette union ne
saurait
être acquise au prix des libertés qu’elle est censée servir. h. «
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ces, suivies de débats. Le thème principal est de
savoir
comment introduire le point de vue européen dans l’enseignement, de c
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cri d’alarme : selon vous, l’heure n’est plus de
savoir
si on veut rester Français, Suisse ou Italien, mais si on sera Europé
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pas de bruit, qui ne dégagent pas de gaz. Quant à
savoir
si cela touche l’organisation sociale et politique ? Oui, profondémen
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t de ceux qui, tout au long de leur carrière, ont
su
accorder leurs actes à leurs écrits. Ce Neuchâtelois qui, dès 1930, c
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re de respecter les diversités. Aujourd’hui, vous
savez
ces carcans que sont les frontières que l’on essaie de faire coïncide
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on d’une Europe fédérale. De telles réflexions ne
sauraient
mieux venir propos, au moment où commencent les négociations entre Be
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es « data banks » comme on dit aujourd’hui. Je ne
sais
pas la traduction française. Banques d’informations. Mais le livre, a
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dans ce petit appareil qu’est le livre dont on ne
sait
jamais si c’est lui qui nous avale, ou nous lui. Voilà, me semble-t-i
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nedy lisait très, très vite ; il absorbait, je ne
sais
combien de milliers de mots à la minute. Alors je crois que toute la
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o, à supposer qu’il y ait beaucoup de gens qui le
sachent
. Cela, c’est l’information objective, détachée, le petit élément d’in
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s vraiment opposer les deux choses parce que vous
savez
très bien que les revues sont faites en bonne partie de chapitres de
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l’Europe et de l’humanité solidaire. La région ne
saurait
donc être imposée d’en haut, dictée et planifiée par les bureaux d’un
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les bureaux d’une métropole tentaculaire. Elle ne
saurait
être créée par quelque découpage sur la carte, mais seulement par le
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lement par le rayonnement de sa vitalité. Elle ne
saurait
être octroyée de l’extérieur, mais seulement instaurée par l’essor de
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’inconscient des Suisses, très fortement. Et vous
savez
que, dans l’inconscient, agissent toujours des choses très anciennes
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aris, en 1871 : … le communisme de la Commune ne
saurait
être compris que si on ne le sépare pas du communalisme de la Commune
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ou il n’est rien du tout ; ni race, ni régime ne
sauraient
changer cette vérité. Il a fallu un effort gigantesque pour tromper l
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, on ne reste pas amoureux tout le temps ! Chacun
sait
que le mariage, c’est la durée. Fonder le mariage sur la passion, sur
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age sur la passion, sur quelque chose dont chacun
sait
que cela ne durera pas, c’est vouloir le construire sur le principe m
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é ? J’ai rencontré McLuhan à Toronto, en 1969. Je
sais
par ses étudiants qu’il parle souvent de mes thèses dans ses cours. Q
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e peut vivre sans feux verts et sans feux rouges.
Savez
-vous quel est l’auteur le plus néfaste de la littérature occidentale
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ouvre Iseut, qu’Iseut découvre Tristan, et qu’ils
sachent
leurs noms. Je voudrais qu’ils cessent de dire comme dans l’opéra de
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dé le plus grand nombre de comités ! Mais il faut
savoir
perdre neuf dixièmes de son temps pour que le dernier dixième serve p
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dé de leur parler des valeurs occidentales : « Je
sais
, leur ai-je dit, vous n’y croyez plus. Mais qu’est-ce qui existe à la
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dministrateurs. À quoi sert le politicien s’il ne
sait
rien de tout cela ? N’importe quel ordinateur ferait mieux, et avec m
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t-elle pour vous un modèle politique idéal ? Vous
savez
, la vie politique en Suisse est très loin de la vie politique en Fran
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ence avec l’ennemi et on vous colle au mur ! Vous
savez
qu’il y a un article de la Constitution qui interdit de mettre en que
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en vrai qu’aucune raison logique ou sémantique ne
saurait
justifier la distinction des termes par la distinction des concepts.
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ble » ne peut rien dire de plus dès lors qu’on ne
saurait
s’associer avec soi seul, ni se fédérer isolément. Pour Littré, la Co
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tège aujourd’hui — sauf le « parapluie » que l’on
sait
. Toute confédération étant une forme instable de compromis entre ceu
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s d’État. Ceci dit, les fédéralistes européens ne
sauraient
se contenter du modèle suisse transposé à l’échelle européenne, c’est
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Direction générale de la politique régionale. On
sait
du reste que le débat sur les régions prend sans cesse plus d’ampleur
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us dans la fanfare de La Chaux-de-Fonds. (Je n’en
sais
rien.) Il me prête un recueil de chorals luthériens, pour que j’en ét
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pour que j’en étudie la prosodie précise. Il veut
savoir
la fonction, la durée et presque la tonalité de chacune des intervent
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de nos positions personnelles à son égard. Je ne
sais
pas pourquoi d’ailleurs. Par pudeur ? Je ne le pense pas. Mais peut-ê
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encore « le fondement de l’être dans le monde, à
savoir
Dieu »3. En ce point, tout s’éclaire et s’enchaîne. L’anecdote dont j
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tage de la Terre. Tout va vite aujourd’hui, on le
sait
. Lorsque Apollonius de Pergé, au iiie siècle avant notre ère, découv
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édérer, parce que nos vingt-cinq États-nations ne
sauraient
céder sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souveraineté, et qu’i
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es deux rives, mais que le Rhône les unit ; allez
savoir
pourquoi ! (Mais non, surtout ne le demandez pas, vous passeriez pour
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qui ont éduqué notre vision du réel, que nous le
sachions
ou non, que nous soyons cultivés ou non. Toutes les grandes écoles d’
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s Flandres, de la Bourgogne et de la Rhénanie. On
sait
le rôle merveilleusement fécondant de petites villes comme Tubingue,
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culturel conditionne en second lieu, que nous le
sachions
ou non, un grand nombre de chances spécifiques proposées aux Européen
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ela est européen. Tout cela est culturel ou je ne
sais
pas ce que c’est. Et tout cela vit en chacun de nous, sous forme de c
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oudhon, Sigmund Freud et les surréalistes ; ni de
savoir
l’histoire de l’art. Les grands et petits bourgeois les plus ignares,
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e ou la mélancolie, l’amour, l’humeur, et dont on
sait
maintenant qu’elles ont leur siège dans les masses profondes du cerve
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rcie). D’où les dévastations planétaires que l’on
sait
. Les Européens ne sont pas plus cruels et violents que les Asiates ou
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ropéen moyen abdique sa liberté devant « ceux qui
savent
» mais il croit mieux les savants d’aujourd’hui que les curés d’hier,
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tion de l’œuvre d’art et lien social sans quoi ne
sauraient
exister ni crédit ni institutions, ni États ni fédérations (héritage
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écrivain. Un terme dont vous êtes le père ? On ne
sait
pas exactement qui l’a dit en premier, de Mounier ou de moi. En tout
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ouverte ? J’y pensais depuis longtemps mais je ne
savais
pas à quel point la Suisse avait réalisé le fédéralisme. Bien qu’élev
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s fort à la mode à Paris. Et tout le monde, je ne
sais
pas pourquoi, l’attribuait à Sartre. Or, Sartre, comme on le sait mai
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i, l’attribuait à Sartre. Or, Sartre, comme on le
sait
maintenant par les mémoires de Simone de Beauvoir, ne s’était jamais
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ors, un jour, je lui ai dit : « J’espère que vous
savez
où vous avez pris cela. » Il m’a répondu : « Je le sais très bien. »
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ù vous avez pris cela. » Il m’a répondu : « Je le
sais
très bien. » Mais il ne l’a jamais dit à personne d’autre… Mais il es
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s trois ou quatre ans dans l’opinion publique, on
sait
qu’il n’en est rien. Et que nous touchons partout des limites. Les re
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rente, définie cette fois-ci en termes d’avenir :
savoir
si l’an 2000 de l’Europe ouvrira une apocalypse du genre humain ou s’
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le d’effacer leurs traces) mais aussi parce qu’on
sait
que pour reconstituer l’humus détruit en quelques heures par les trax
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une erreur de « grandeur » aussi manifeste ? (On
sait
que l’Oural, chaîne de collines et petit fleuve affluent de la Volga,
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rs nous ont été plus chichement mesurés, comme on
sait
qu’il est de règle dans notre société « européenne » par antiphrase —
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enir du danger qui menace à bout portant, nous le
savons
aujourd’hui, la vie globale de l’humanité. Les catastrophes écologiqu
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inent encore quelques amateurs de clichés, qui ne
savent
pas qu’il n’y a plus de salons, qu’ils ont été remplacés depuis le xv
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e la possibilité d’assumer des responsabilités ne
saurait
être tenu pour libre ni se sentir vraiment tel. Quant aux trois adjec
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ion des ressources, des règles coutumières et des
savoirs
au sein d’un territoire délimité — dès lors sacré. Mais nous voici au
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ire… Mais la question qui se pose alors, c’est de
savoir
si nous sommes préparés à répondre à ce défi sans précédent. Je vais
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inerte de ce qui « se passera », en vertu d’on ne
sait
quels dynamismes anonymes, impersonnels, voire non humains. Or, dans
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sensé qu’il n’y paraît à première vue. Car si je
savais
ce qui m’attend « là-bas » en l’an 2000, je refuserais sans doute d’a
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science des fins dernières de la société qu’on ne
saurait
exiger ni des spécialistes aux sources, ni des agents de présentation
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au Nord. La participation civique et politique ne
saurait
être alors que minimale ou nulle, tout étant dirigé, programmé ou ins
80
e qui revient à dire éducation. Il importe peu de
savoir
si l’agent dominant est alors l’État national, le Parti qui l’utilise
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’arrive à ébranler le système. Cependant, elle ne
saurait
être qu’une image-limite, irréalisable à l’état pur, car non seulemen
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ve (fonctionnelle) ; soit s’autorisant d’un « gay
savoir
» nietzschéen et de ses perpétuelles remises en question plus ou moin
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, est global. La question demeure, évidemment, de
savoir
quelles voix peuvent pratiquement se faire entendre dans cette commun
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au sol » et des « liens charnels » ; mais nous ne
savons
pas encore quoi. Notons ici que l’expression « contact physique » est
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sme, politique et sagesse sociale. La question de
savoir
si l’obsession productiviste peut être contrôlée avant qu’elle ait in
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ur du grand vignoble de Lavaux, cette évidence ne
saurait
exiger ni d’ailleurs endurer la moindre preuve : vous la vivez « comm
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, « faire son salut » suppose la foi, mais chacun
sait
que la foi sans les œuvres est morte. Sauver Lavaux ne suppose rien d
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science (Saint Thomas, Marx, Wittgenstein) ou un
savoir
unifié par quelque autorité totalitaire, sociale ou religieuse, polit
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ples de ses rives, mais le Rhône les unit ; allez
savoir
pourquoi ?) se dévalorisent entre les Neuf, des régions naturelles ou
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s régions ethniques et les régions économiques ne
sauraient
coïncider territorialement. Il y faudrait un vrai miracle, mais ce mi
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érer, parce que leurs vingt-huit États-nations ne
sauraient
céder sans trahir un pouce de leur sacro-sainte souveraineté, et qu’i
92
es deux rives, mais que le Rhône les unit — allez
savoir
pourquoi ! De même, les Pyrénées séparent l’Espagne de la France, voi
93
Moïse et saint Paul, César, Trajan et Virgile. On
sait
à quel point ces trois traditions sont à la fois antinomiques et appa
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qui ont éduqué notre vision du réel, que nous le
sachions
ou non, que nous soyons cultivés ou non. Toutes les grandes écoles d’
95
s Flandres, de la Bourgogne et de la Rhénanie. On
sait
le rôle merveilleusement fécondant de petites villes comme Tubingue,
96
es, régionales, continentales et mondiales, et je
sais
très bien auxquelles je cotise. Cette pluralité d’allégeances ne me p
97
. La véritable orthodoxie, la « voie droite », ne
saurait
être que la voie personnelle inventée par chaque vocation : ce que l’
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mais songé à être pasteur ? Il est intéressant de
savoir
d’où l’on vient. Cela ne dicte pas une carrière. Je descends des trou
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quand j’ai pris des leçons j’ai compris qu’il ne
saurait
plus en être question. Vous savez, quand la passion est devenue un de
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pris qu’il ne saurait plus en être question. Vous
savez
, quand la passion est devenue un devoir… j’ai compris que j’étais écr
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Beaucoup l’emploient, l’air entendu, mais nul ne
sait
ce qu’elle signifie. Les régions, nous dit-on, doivent être de « tail
102
s Länder allemands, me dit-on. Encore faudrait-il
savoir
lesquels : la Bavière, 71 000 km2 et 12 millions d’habitants, ou Hamb
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telle, ne sera jamais compétitive : l’adjectif ne
saurait
s’appliquer qu’à une firme. Dassault, Fiat, Péchiney peuvent être « c
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s, s’exclama le Soviétique, les poissons, comment
savent
-ils dans quel pays ils sont ? S’il n’y avait que les poissons ! Les v
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s régions ethniques et les régions économiques ne
sauraient
coïncider territorialement. Il y faudrait un vrai miracle, mais ce mi
106
aux Arabes, que je remercie officiellement, nous
savons
tous maintenant que l’Europe est en crise. Il nous reste à voir que c
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Mais la réalité est lourdement présente. Elle ne
saurait
donc que freiner l’élan de l’âme vers l’Ange désiré. « Ce n’est pas a
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rsible, des obstacles opposés à la passion. Or on
sait
que la passion vit d’obstacles, naturels ou sacrés, coutumiers ou lég
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rtelle, il n’y aurait donc pas eu de mythe. On ne
saurait
imaginer le grand roi Marc s’inclinant devant les « droits divins de
110
t Wagner, le dernier auteur de la légende qu’il a
su
recréer d’après nature, s’inspirant de Gottfried de Strasbourg, inspi
111
spiré lui-même des Bretons, de Béroul, et d’on ne
sait
qui d’autre, Wagner décrit par sa musique, vrai langage du mythe esse
112
re l’individu et le vrai moi, sans laquelle on ne
saurait
s’aimer soi-même, puisqu’« il faut être deux pour aimer », comme dit