1
a soufflé aux rédacteurs de ce journal. Car je ne
sache
pas au monde un seul pays où le diable soit plus improbable, ou en to
2
les deux Amériques, à Paris et à Boudry), chacun
sait
que le diable n’est jamais où on l’attend. Son premier tour, selon Ba
3
’est une partie perdue, mais que lui importe ? Il
sait
qu’il a le temps pour lui, si Dieu garde l’éternité. J’écrivais troi
4
os coup, il s’arrange toujours pour nous le faire
savoir
, par élégance autant que par cynisme, car il sait bien que nous ne le
5
la révolution ». L’ennui, c’est qu’on n’a jamais
su
ce que pouvait bien représenter ce « succès ». Parce que détruire n’e
6
i. Pour ce qui concerne les premiers cités, je ne
sache
pas qu’ils aient jamais recouru à la terreur. Quant à Netchaïev, s’il
7
rorisme des États Par des récits directs, l’on
sait
en outre à quel point les terroristes sont préoccupés d’enregistrer l
8
Le chantage n’a aucune prise, et les opposants le
savent
d’expérience. Revenons-en au fond du problème : le terrorisme est-il,
9
e : c’est qu’ils ont reconnu leur propre style et
savent
trop bien à quoi s’attendre. Pour vous donner un exemple plus précis
10
s hommes. C’est pourquoi il est très important de
savoir
quel avenir nous voulons. Mais précisément, n’a-t-on pas aujourd’hui
11
le résultat de nos démissions individuelles. Vous
savez
d’ailleurs qu’en 1942, j’ai écrit un ouvrage sur le diable où je mont
12
et nous changions immédiatement de trottoir. Vous
savez
que Breton avait surnommé Dali « Avida Dollars », ce qui avait beauco
13
ment sur l’État de ce que nous n’avons pas encore
su
faire à temps, en attendant de lui toujours plus de subventions, de f
14
e ! Cette fuite en avant qui aggrave la crise. On
sait
que, dans vingt ans, il ne sera plus guère possible d’acheter du pétr
15
esprit s’en est trouvé complètement modifié. Vous
savez
, quand on sent passer le vent du boulet, il ne suffit pas de dire : c
16
t les taupes ? Elles creusent leurs galeries sans
savoir
où elles vont, elles n’ont pas de points de repère. Pluton s’ennuyait
17
ns du tiers-monde de rouler en auto, il s’agit de
savoir
si nous pourrons, nous, continuer à le faire pendant vingt ans ou moi
18
sée. Je l’espère. Les enfants de l’école primaire
savent
très bien que la pollution n’est pas arrêtée par les douaniers. Vous
19
la démence à force d’inconscience. Tout le monde
sait
que le pétrole va s’épuiser. D’ici l’an 2000 toutes les sources de pé
20
ie dans un monde fini est une aberration. Nous le
savons
désormais. Le club de Rome a suffisamment popularisé cette idée. Des
21
Finalement, aujourd’hui, toute la question est de
savoir
comment nous allons changer de cap… Oui justement, comment changer de
22
a guerre est arrivée comme nous l’avions toujours
su
. J’ai été mobilisé en Suisse. Esprit a été interdit. L’Ordre nouve
23
mier échelon de la région est la commune qui doit
savoir
se rendre autonome, qu’il s’agisse de bâtir une école, de lutter cont
24
ont constaté que leurs interlocuteurs français ne
savaient
pas très bien de quoi il s’agissait. Mais dès la seconde réunion, les
25
vraiment lui attribuer une nationalité lorsqu’on
sait
que sa famille originaire de Lausanne compte une branche française et
26
une nécessité qui sera subie par tous si nous ne
savons
pas la choisir et la former à notre idée en temps utile ; qu’elle n’e
27
éalisée l’entente entre Nations européennes… » On
sait
que la proposition Briand devait rester sans suite : non seulement pa
28
ous les hommes de la Résistance européenne ». Je
sais
, dit-il, pour en avoir recueilli maintes preuves, que dans chaque pay
29
s qui empêchent ses biens de circuler mais qui ne
sauraient
plus la protéger, notre Europe désunie marche à sa fin. Aucun de nos
30
m de Communauté européenne de défense, ou CED. On
sait
que le traité rejeté par la France en août 1954, devait inaugurer la
31
même la Suisse, si coupable qu’elle soit d’avoir
su
depuis des siècles que la prospérité, la paix sociale, les libertés c
32
geste ou le style, et parfois même avec un je ne
sais
quoi de complaisant dans la résignation, voire de sournoisement jubil
33
réservée selon Lénine à l’opposition politique, à
savoir
la prison. La première Europe a créé et nourri les idées de liberté e
34
nts, et l’inquisition policière préventive. Or on
sait
que plus un État est centralisé, moins il accepte les formules fédéra
35
porte, et, doucement, dit : « Pardon, je voudrais
savoir
… » — « Savoir quoi ? » — « Savoir si vous savez ce que vous voulez et
36
cement, dit : « Pardon, je voudrais savoir… » — «
Savoir
quoi ? » — « Savoir si vous savez ce que vous voulez et où vous mène
37
on, je voudrais savoir… » — « Savoir quoi ? » — «
Savoir
si vous savez ce que vous voulez et où vous mène ce que vous faites.
38
savoir… » — « Savoir quoi ? » — « Savoir si vous
savez
ce que vous voulez et où vous mène ce que vous faites. » Dans une émi
39
a été répondu triomphalement que « personne ne le
sait
! » C’était ce que j’attendais de ma question : l’aveu qu’on ne se l’
40
ait jamais posée. C’est là le fait de gens qui ne
savent
pas où ils vont et refusent même de ralentir pour y penser : nous tou
41
s-même, d’où êtes-vous ? Ah ! vous êtes du Jura !
Savez
-vous une chose très curieuse ? La chaîne du Jura est le début d’un lo
42
a finir. Ce qu’on ne pouvait pas croire, et qu’on
savait
pourtant inévitable — comme la mort — mais plus tard, ou pour d’autre
43
gée… ⁂ Je ne connais pas d’autre écrivain qui ait
su
traduire, comme Ramuz, l’incarnation de la catastrophe dans le détail
44
a vie. Je ne connais pas d’autre écrivain qui ait
su
poser les grandes questions métaphysiques en termes d’objets, de sens
45
urs yeux l’arme par excellence du Progrès, qui ne
saurait
être que matérialiste, quantitatif d’abord, sans vains scrupules de b
46
normale et nécessaire, dès lors que le Progrès ne
saurait
être défini que selon les intérêts de l’État qui le gère. D’où la sim
47
» dans les campagnes. ⁂ L’arme de la critique ne
saurait
évidemment remplacer la critique des armes ; la force matérielle ne s
48
er la critique des armes ; la force matérielle ne
saurait
être abattue que par la force matérielle ; mais la théorie se change,
49
rx est devenu responsable de ce qu’il n’avait pas
su
prévoir. Et Tocqueville n’a rien fait — et ne pouvait rien faire — po
50
stent que l’on « ne fait rien sans risques ». Ils
savent
néanmoins qu’il y a eu de nombreux incidents, dissimulés à l’opinion
51
és à l’opinion parce que peu spectaculaires ; ils
savent
que, par exemple, les plans de Creys-Malville ont été deux fois recom
52
le dire en toute certitude. Mais il est utile de
savoir
que ceux qui s’opposent à la puissance nucléaire n’ont rien à y gagne
53
gue de son origine, de sa région. En Suisse, nous
savons
cela. Dans le canton des Grisons, on ne parle pas seulement l’alleman
54
nationale. Mais la question sérieuse est celle de
savoir
ce que vont dire les hommes et les femmes une fois qu’ils auront le d
55
ec notre document, que toute la question reste de
savoir
— « qu’est-ce qui doit croître au fait ? Les tours de refroidissement
56
rapidement dans un monde où tout ce qui pense ne
saurait
le faire qu’en grec, j’entends en termes et en concepts élaborés par
57
ai-je dit. Car aucune dialectique historique n’en
saurait
rendre compte qu’au prix des plus grossiers anachronismes. Entre le m
58
anes de l’Empire, nulle convergence préétablie ne
saurait
être décelée, annonciatrice de la synthèse européenne, combien instab
59
s bien connues d’un Avicenne et d’un Averroès, on
sait
qu’elles ont convoyé vers l’Europe l’aristotélisme oublié depuis des
60
déric II à Palerme ? Enfin, les apports slaves ne
sauraient
être négligés, quoique très récents (roman russe, dès la fin du xixe
61
’Asie et du Proche-Orient. Quant à la science, on
sait
assez que son langage est universel : encore convient-il de marquer q
62
ique dans la communauté, hors de laquelle elle ne
saurait
subsister bien longtemps, ni physiquement ni culturellement. Mais si
63
uvrée menacera tout le sud de l’URSS… Ce que nous
savons
, et qui ne sera plus changé par rien, c’est que, pour une fois, dans
64
Ça durera bien jusqu’à ma retraite ! Nous le
savons
, il n’y aura pas assez de magnésium, pas assez de cuivre, pas assez d
65
endant, ne verse pas dans l’utopie européenne. Il
sait
que l’Europe n’est pas la solution magique à tous les problèmes auxqu
66
Ensemble des connaissances acquises, instruction,
savoir
. / Ensemble des structures sociales, religieuses, etc., des manifesta
67
and said in the world. » Quant à l’Allemagne, on
sait
qu’elle a passé longtemps aux yeux des Français pour opposer la « Kul
68
; pour l’Anglais, à assimiler individuellement le
savoir
acquis pour affiner son esprit et son goût ; pour l’Allemand, à assur
69
arde toujours, et c’est normal, sur les élites du
savoir
, de la recherche et de la création. Celles-ci sont en accord complet
70
tif, puis créateur. La culture, ainsi définie, ne
saurait
être opposée à la technique, qui n’existerait pas sans elle : 1. Gard
71
isme européen — c’est le nationalisme ; et chacun
sait
que le nationalisme a été propagé par l’École et ses manuels depuis l
72
rvir et les aménager ; — que les gouvernements ne
sauraient
aider la culture qu’en levant les obstacles légaux ou les gênes parti
73
t d’artisanat…) doit être à la fois initiation au
savoir
existant, et préparation de l’élève à sa prise d’initiative personnel
74
t, ou pas encore, comme ce qu’il est en vérité, à
savoir
l’ouverture d’un long processus de renaissance communautaire dans une
75
te l’imagination des chercheurs, mais celle-ci ne
saurait
opérer dans le vide : elle a faim de réalités (chiffrées ou non) à dé
76
tes, qui ne parlent pas ou plus breton…) d) Il ne
saurait
donc être question de régions qui reproduiraient à une échelle réduit
77
er en mini-États-nations souverains et dotés, qui
sait
, de leur force de frappe basque ou bretonne. Encore que la supériorit
78
iversités de Suisse romande et de Rhône-Alpes. On
sait
que la collaboration interuniversitaire, déjà difficile entre les can
79
omiques et commerciales, il est clair qu’elles ne
sauraient
être localisées de la même manière sur notre carte. Sans liens consta
80
« pratiquement », dira l’homme de la rue, comment
savoir
qui fait partie de quoi ? La réponse est en fait des plus simples. Le
81
ller les voir à peu près tous, ne fût-ce que pour
savoir
si ma clé joue… L’opéra : une école de l’âme, s’il est vrai, selon le
82
t qu’elle tend à éliminer. Le xxe siècle n’a pas
su
produire à l’expression un mythe nouveau. « La musique savante manque
83
, ne l’a osé à l’Ouest. Le problème reste donc de
savoir
à quel moment et sous quelle forme l’État-nation pourrait se voir con
84
pe fédérale est virtuellement faite. (Ce qu’on ne
saura
peut-être pas, c’est qu’elle sera faite à l’image de la Suisse, avec
85
telles que « pour ou contre », choisir son camp,
savoir
ce qu’on veut, pas de compromis ! etc., mène à la guerre par une logi
86
eureusement qu’une seule forme de gouvernement, à
savoir
la tyrannie. Le tyran dit, sans équivoque : sic volo, si jubeo, sit p
87
rince chrétien (lisons : la fédération des égaux)
sait
que la condition de tout pouvoir réel est sa faculté de convaincre. E
88
la vitalité du christianisme dans les masses. On
sait
les résultats spectaculaires qu’il a obtenus dans tous les pays catho
89
fout le camp ! » le premier lycéen français venu
sait
qu’il ne s’agit pas de Saint Louis ni d’Henry IV, mais du xviiie siè
90
écennies, par les procédés publicitaires que l’on
sait
, Ford va changer tout cela, c’est-à-dire va changer la nature même de
91
er en vie, ils aimaient leur baleine, mais ils ne
savaient
plus comment la satisfaire. À la fin, ils lui demandèrent : « Qu’as-t
92
racines. Par son immense autorité spirituelle, il
sut
prévenir la guerre civile et il devint ainsi le père et le saint prot
93
finalités d’un ordre économique mondial (qu’on ne
saurait
dire « nouveau », puisque sans précédent) doit tenir compte de ce pré
94
excessives que celles qu’on vient de suggérer, à
savoir
: — évaluation objective, indépendante, scientifique plutôt que stra
95
qu’on ne parle plus de « besoins » comme si l’on
savait
ce que c’est, ou comme s’il s’agissait de projets de vente ; — qu’on
96
ttre, et je l’ai terminé en trois mois, par je ne
sais
quel miracle ! J’étais en état de transe. Quatre-cents pages en trois
97
régir par le même principe que celui du couple, à
savoir
l’union des deux êtres dans leur différence et non dans l’uniformité.
98
e nombreux écrivains. Alors il m’intéresserait de
savoir
quels sont les écrivains qui ont eu une influence sur vous. Et j’aime
99
e et d’une façon « quasi militaire ». Or vous le
savez
, c’est dans tous les journaux, l’ère de la centralisation comme celle
100
rès. Ils répondent que toute la question reste de
savoir
: « Qu’est-ce qui doit croître en fait pour être vrai ? Le progrès ?
101
olution. En publiant cette « brochure », Benjamin
sait
qu’il joue sa vie : Napoléon n’est pas encore vaincu, et le ferait fu
102
ors, tout va très vite. Citons le journal : on ne
saurait
être plus sobre à propos d’un coup de théâtre dont je ne vois pas d’a
103
ereur ! » mais aussi de « Vive la liberté ! ». Il
sait
qu’il doit compter avec les libéraux. Lorsqu’il apprend par Sébastian
104
ait exercé l’autorité la plus absolue… Je voulais
savoir
par moi-même ce que nous pouvions espérer encore. Quelque incertaine
105
des totalitaires rouges, bruns ou noirs. Sans le
savoir
, c’est à notre siècle que parlait Benjamin Constant. Du mensonge c
106
’une constatation que notre génération, hélas, ne
saurait
mettre en doute une seconde : Tout en s’abandonnant à ses projets gi
107
taient engagés là n’ont pas été remplacés, que je
sache
, par des plus jeunes. Lesquels se trouvent désormais mobilisés par de
108
s ne vous fait guère plaisir ? » — « Oh moi, vous
savez
a répondu le communiste, je ne l’aurais évidemment pas choisie, mais
109
bien meilleur, car : « La Confédération », on ne
sait
pas encore ce que c’est, tandis que « le peuple et les cantons », tou
110
sur l’épluchage des décimales, quand il s’agit de
savoir
ce qu’on en fera en 1980, en 1985, en l’an 2000 ? » Et l’interview se
111
en entier, parce qu’il démontre que Lew Kowarski
savait
que le sérieux de la vie se sent mais ne se mesure pas : Hermann Kah
112
uestion qui se poserait à la fin du siècle est de
savoir
s’il y a quelque chose que l’homme puisse faire et pas l’ordinateur.
113
arski représentait pour nous, bien au-delà de son
savoir
de physicien. Adieu Lew ! Grand homme irremplaçable en sa maîtrise au
114
eurs remplissent les salles françaises mais on ne
saurait
dire qu’ils influencent le mouvement des idées ni les comportements d
115
ence des significations dans tous les domaines du
savoir
humain, de la poésie à la technologie, et qui semble actuellement dom
116
es de la Ligue tchèque des droits de l’homme. (On
sait
qu’Ariane Mnouchkine a inventé une forme de spectacle historique — su
117
an n’est jamais apparu sur un petit écran, que je
sache
; Lévy et Garaudy s’y montrent à l’envi. La culture du spectacle est
118
besoin de mettre ici les points sur les i, chacun
sait
que nos industries sont engagées dans le nucléaire. On a essayé de no
119
yez l’exemple de l’Inde. La seule question est de
savoir
si nous aurons le temps de faire prendre conscience aux populations d
120
que. Ces influences sont venues par l’Espagne. On
sait
aujourd’hui, par exemple, les noms des esclaves arabes, choisis parmi
121
tout à fait régionaliste. C’est un Méridional, il
sait
de quoi il parle. Rocard, Pisani et aussi Mauroy. Lille, c’est vraime
122
roy. Lille, c’est vraiment un problème de région.
Savez
-vous ce que les Lillois m’ont dit ? Notre ville devrait être une métr
123
livre de Jean Mauriac Mort du général de Gaulle :
Savez
-vous que de Gaulle a choisi de se faire renverser sur l’affaire des r
124
dernière fois que je l’ai rencontré : « Ah, vous
savez
, la souveraineté des nations, moi je ne veux pas y renoncer, je suis
125
facile de s’en remettre toujours aux autres. Vous
savez
, en général, les gens redoutent la liberté. Ils en ont plus peur qu’e
126
Information n’est pas
savoir
(octobre-décembre 1981)bt Une des raisons principales du désarroi
127
mment réduire leurs déchets radioactifs. On ne le
sait
toujours pas, et même de moins en moins, s’il faut en croire le rappo
128
: données (permanentes) — nouvelles (du jour) —
savoir
(intégré, c’est-à-dire connaissance). Pour le mot information, Littré
129
ation (data + news) n’est pas du tout synonyme du
savoir
(ou de la connaissance) que seule une personne peut intégrer. L’infor
130
rit, peut même le déformer. Information n’est pas
savoir
. Savoir n’est pas encore sagesse ; tout de même que sagesse n’est pas
131
t même le déformer. Information n’est pas savoir.
Savoir
n’est pas encore sagesse ; tout de même que sagesse n’est pas encore
132
ulaire et sublime.) b. Quand quelqu’un dit : « Je
sais
maintenant ce que c’est que la peur ! » ou « Je sais maintenant ce qu
133
s maintenant ce que c’est que la peur ! » ou « Je
sais
maintenant ce que c’est que l’amour ! », il ne parle pas d’une inform
134
xpérience qu’il vient de vivre. c. Littré définit
savoir
comme « connaissance acquise par l’étude, par l’expérience ». Il est
135
jugement, dont il est évident que l’ordinateur ne
saurait
que faire. e. Mais si l’information (data + news) augmente nos pouvoi
136
trielles, commerciales ou bancaires, qui auraient
su
monopoliser l’informatique et la télématique. 9. L’école sans maît
137
rès l’avoir vécu) : On n’enseigne pas ce que l’on
sait
, mais ce que l’on est. L’ordinateur sait beaucoup de choses, il peut
138
que l’on sait, mais ce que l’on est. L’ordinateur
sait
beaucoup de choses, il peut même tout savoir, mais il n’est pas. Il e
139
nateur sait beaucoup de choses, il peut même tout
savoir
, mais il n’est pas. Il est incapable de former les esprits, n’ayant p
140
aux d’informations qui leur dictent leur conduite
sauront
-ils encore se débrouiller s’il y a des défaillances dans les réseaux
141
défaillances dans les réseaux ? De même qu’ils ne
savent
plus calculer sans calculette, ils ne se rappelleront rien sans les o
142
plus en plus l’apprentissage, et la simulation le
savoir
, en sorte que si une défaillance centrale ou générale réduisait au si
143
Lausanne, mai 1980. bt. « Information n’est pas
savoir
», Diogène, Paris, n° 116, octobre-décembre 1981, p. 3-19.
144
Information n’est pas
savoir
(octobre 1981)br Avant-propos Une des raisons principales du
145
mment réduire leurs déchets radioactifs. On ne le
sait
toujours pas, et même de moins en moins, s’il faut en croire le rappo
146
à données (permanentes) — nouvelles (du jour) —
savoir
(intégré ou connaissance) Pour le mot information, Littré donne cette
147
ation (data + news) n’est pas du tout synonyme de
savoir
ou de connaissance, que seule une personne peut intégrer. L’informati
148
peut-être même le déformer. Information n’est pas
savoir
; savoir n’est pas encore sagesse ; de même que sagesse n’est pas enc
149
même le déformer. Information n’est pas savoir ;
savoir
n’est pas encore sagesse ; de même que sagesse n’est pas encore Amour
150
laire et sublime) ; b) quand quelqu’un dit : « Je
sais
maintenant ce que c’est que la peur ! » ou « Je sais maintenant ce qu
151
s maintenant ce que c’est que la peur ! » ou « Je
sais
maintenant ce que c’est que l’amour » il ne parle pas d’une informati
152
périence qu’il vient de vivre ; c) Littré définit
Savoir
comme « connaissance acquise par l’étude, par l’expérience ». Il est
153
finesse, dont il est évident que l’ordinateur ne
saurait
que faire ; e) mais si l’information (data + news) augmente nos pouvo
154
strielles, commerciales ou bancaires qui auraient
su
monopoliser l’informatique et la télématique. 9. L’École sans maît
155
s l’avoir vécu) : « On n’enseigne pas ce que l’on
sait
, mais ce que l’on est. » L’ordinateur sait beaucoup de choses, il peu
156
e l’on sait, mais ce que l’on est. » L’ordinateur
sait
beaucoup de choses, il peut même tout savoir, mais il n’est pas. Il e
157
nateur sait beaucoup de choses, il peut même tout
savoir
, mais il n’est pas. Il est incapable de former les esprits, n’ayant p
158
ux d’informations qui leur dictent leur conduite,
sauront
-ils encore se débrouiller s’il y a défaillances des réseaux ? De même
159
y a défaillances des réseaux ? De même qu’ils ne
savent
plus calculer sans calculette, ils ne se rappelleront rien sans les o
160
de plus en plus l’apprentissage et l’exercice du
savoir
, en sorte que si une défaillance centrale ou générale réduisait au si
161
technique, mai 1980. br. « Information n’est pas
savoir
», Revue économique et sociale, Lausanne, n° 4, octobre 1981, p. 310-
162
ux d’informations qui leur dictent leur conduite,
sauraient
encore se débrouiller en cas de défaillance des réseaux. Il suffit d’
163
strielles, commerciales ou bancaires qui auraient
su
monopoliser l’informatique ou la télématique. En d’autres termes, en
164
bien dit Jaurès : « On n’enseigne pas ce que l’on
sait
, mais ce que l’on est. » L’ordinateur sait beaucoup de choses, mais i
165
e l’on sait, mais ce que l’on est. » L’ordinateur
sait
beaucoup de choses, mais il n’est pas. Il est incapable de former les
166
e. Dans la petite congrégation, on se connaît, on
sait
à quels hommes et à quels problèmes publics on a affaire. Si l’on se
167
! Si les Églises sont fidèles à leur chef, elles
savent
qu’il règne et crée pour ceux qui croient la possibilité de faire ce
168
ique — qu’il fut fondé par des seceders.) Et l’on
sait
que les réformés de France, au xvie siècle, préconisèrent une organi
169
par tous, en tout lieu et tout temps, et qu’on ne
saurait
violer sans s’égarer, — ou au contraire une forme d’exister sans préc
170
, et en Lui seul. D’ici là, l’Église véritable ne
saurait
exister que dans l’attente ardente et dans cette anxieuse espérance c
171
e que je la rapporte. Le « ou Rome ou Genève » ne
saurait
désigner ici que l’orthodoxie au sens courant du terme, légalisme ou
172
osaient ces textes d’Henry Corbin lui-même. Il ne
saurait
s’agir ici que de ce qu’il nomme « une vérification intérieure et per
173
vestir momentanément le croyant. Dès là, rien ne
saurait
plus nous séparer. Nous avons fait ensemble quelques pas décisifs. L’
174
voir dit « “joachimites” de tous les pays ? Je ne
sais
plus. Peu importe. »
175
ents qu’on nous explique que nous ne pouvons rien
savoir
des conséquences de ce qu’il nous plaît de faire tout de suite. Mais
176
évidemment nocifs du « Progrès » que l’on n’a pas
su
prévoir, mais ses effets potentiellement bénéfiques, et c’est encore
177
dant près de neuf années de l’avant-guerre, je ne
savais
que peu de choses de lui, de son passé : je les découvre en lisant ce
178
délibéré, ce côté désinvolte ou distrait, comment
savoir
, on les retrouvera dans les Fragments d’une vie lorsqu’il relate ses
179
, a entrepris d’enregistrer tout ce que l’on peut
savoir
sur les acteurs sociaux, économiques et culturels de la région, créée