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Il doit y avancer par la foi, dans la nuit, sans
savoir
à l’avance si son pied trouvera une terre ferme. La personne est l’ex
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rise en trente ans par le rock and roll. Mais que
savent
des Rolling Stones quelques-unes des personnalités qui font souvent l
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e prêt. Pour vous parler sincèrement, je sens, je
sais
, je vois ce que serait la seule position absolument tenable — quitte
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re nouveau , nom qui nous a été volé par qui vous
savez
! Pour nous, il s’agissait de « l’ordre véritable » par rapport au dé
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appel ». Cet appel est unique pour chacun. On ne
sait
pas toujours ce que c’est ; il faut le découvrir. Le but est très loi
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, je perds tout ! Vous, monsieur Burckhardt, vous
savez
qui vous êtes, vous êtes de la grande famille Burckhardt de Bâle. Vou
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secrets ses grands desseins, mais parce qu’il ne
sait
pas de quoi parler. Ce vide du personnage est essentiel : il est la c
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sions analogues. Voilà le principal de ce que je
sais
sur Hitler, écrivais-je le lendemain dans mon journal. On peut réfléc
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gie de cette nature, on sent très bien qu’elle ne
saurait
se manifester qu’autant que l’individu ne compte plus, n’est que le s
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ibilité de son retour, car le mouvement qu’Hitler
sut
enflammer dans notre siècle existait en puissance dans l’âme humaine
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avant la guerre de 1939, la majorité des humains
savaient
qu’Hitler était le nom d’un désastre imminent et mondial. Pourtant, o
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er, mieux que les communistes et les fascistes, a
su
répondre à la question centrale du siècle, qui est religieuse au sens
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st à jamais inapplicable : une idée de fou. Il ne
saurait
y avoir toute-puissance d’une partie sur un tout humain. Il n’y a en
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que l’homme soit capable de progrès moral ? Je ne
sais
. Je le souhaite. C’est le vrai sens de toute vie. Estimez-vous que, d
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té pour la paix. Nous disons que cet équilibre ne
saurait
être maintenu jusqu’au bout que par la destruction totale, réciproque
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ois rouges et morts. » Il est clair que Moscou ne
saurait
favoriser les antinucléaires qu’à l’Ouest. Aussi bien, ces derniers n
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pir déchirant du vrai prophète : Seigneur, tu le
sais
, je n’ai pas désiré le jour du malheur ! (Jérémie, 17.16) 1. « Po
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sse et la CEE élargie, et j’ai tout de suite fait
savoir
aux organisateurs que sur ce thème je n’avais pas grand-chose à dire,
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é suisse. La question concrète est donc celle de
savoir
— à quel type d’Europe unie la Suisse pourrait-elle se joindre ? — et
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OTAN ou du pacte de Varsovie. Par ailleurs, je ne
sais
qui pourrait nous interdire d’innover dans ce domaine aussi, comme il
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ces de ce qui formera la Confédération suisse. On
sait
aujourd’hui que le pacte de 1291, dit du « Grütli », fut écrit dans u
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runtée sans jamais songer à me la rendre, vous le
savez
, c’est ma définition de la personne, par opposition à l’individu irre
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emblé à rien de ce que j’ai connu jusqu’ici. Vous
savez
comment il est né : de l’envoi à des centaines de personnes d’une cir
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. (Seule la Finlande, pour des raisons que chacun
sait
, n’a pu y entrer.) S’il y avait un vrai Parlement européen à élire au
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irs sont organiquement, génétiquement liés. Je ne
saurais
vous donner une juste idée des circonstances dans lesquelles mon livr
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arlait d’écologie, aux comités du Centre, et nous
savions
à peine ce que signifiait le terme ! Un soir donc en 1970, chez lui,
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de mainmise de l’État sur l’économie. Quand on ne
sait
plus quoi dire, on nous avertit que : « Le problème soulevé touche la
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, comme vous la vivez tous, c’est très facile. Je
sais
parfaitement à quelles sociétés je cotise, lesquelles je préside peut
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nous sommes en train de détruire les deux, je ne
sais
pas très bien comment nos États-nations envisagent de respirer demain
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de « cantons » au Moyen Âge, mais de communes. Et
savez
-vous comment se dit commune dans le latin du pacte de 1291, qui est l
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d’hui. À ceux qui nous disent volontiers : « Vous
savez
, vos idées, je les trouve très sympathiques, mais enfin, je ne peux p
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s patois. Les mots de patois neuchâtelois, que je
sais
de mon école primaire, je m’amuse à les échanger avec des gens du Mou
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Tu n’as pas peur de t’encoubler ? » Eh bien, ils
savent
très bien que cela veut dire « trébucher », sur des racines ou n’impo
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us, on s’occupera d’autre chose ! » Strassoldo le
sait
mieux que personne, ayant été l’un des promoteurs de cette belle régi
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Vivre, c’est prendre des risques ! » Il s’agit de
savoir
quels risques on prend. Nous ne prendrions pas le risque ni les uns,
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PDG d’Électricité de France, qui disait : « Mais
savez
-vous que les surfaces qu’il faudrait pour créer l’équivalent en énerg
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responsable, et vice versa (tous les juristes le
savent
). Sans responsabilité correspondante, ma liberté joue à vide, reste d
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, tel que le dresse notre généalogiste — et je ne
saurais
trop l’en féliciter — nous propose une seconde conclusion, plus impré
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Genevois et de 16 étrangers. Or, ces étrangers ne
sauraient
être classés par nations — ce serait, ici, anachronique dans 14 cas s
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prétend parler de son époque est engagé, qu’il le
sache
ou non. Tel était le sujet des premiers chapitres de mon premier livr
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rophète ! », ou comme Jérémie : « Seigneur, tu le
sais
! je n’ai pas désiré le jour du malheur ! » Le vrai prophète veut dét
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sommes environnés, sollicités, traversés sans le
savoir
par des ondes (dans le cas de la télévision), gavés de nouvelles posa
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ammer » ces opinions ; — c’est moins un B. B. qui
sait
tout sur moi, qu’un B. B. qui entend manipuler ma liberté en m’imposa
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ent comme une « science qui étudie les sources du
savoir
, en liaison étroite avec la psychologie, la linguistique, l’épistémol
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’ignore et j’y vais. » Répondons-lui : si l’on ne
sait
où l’on va, mieux vaut n’y pas aller… dans certains cas… Je précise
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tisation générale de nos industries. Je demande à
savoir
pourquoi l’on prend ce risque, de dimension sans précédent dans toute
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, le professeur Jacques Freymond affirmait ne pas
savoir
très bien comment les choses allaient se dérouler. Peut-être qu’il le
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e, dans sa première phase libérale tout au moins.
Sait
-on que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut l’œuvre
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cipants non communistes à mon enquête. S’il avait
su
, il n’eût jamais accepté de collaborer. Et il me traite de « sergent
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nt d’entrer chez Paulhan ? » — « Oh, dis-je, vous
savez
, j’y viens presque tous les jours, j’ai un bureau en bas, non, vraime
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ment assommants (depuis qq. temps). Ils ont je ne
sais
quoi d’empêché, de contraint. Pourquoi ? Je voudrais bien avoir votre
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e Ozenfant. Deux ans d’amitié sans faille. Je ne
sais
combien de soirées merveilleuses avec ses amis peintres et poètes sur
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Trop chrétien, sans doute, à ses yeux. Moi, vous
savez
… Je crois que vous croyez ?… Remarquez l’amphibologie du verbe… Mais
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ux commandeurs de la Légion d’honneur. « J’ai pas
su
pleurer dans les ministères. J’ai pas su dire : “C’est pas pour moi,
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J’ai pas su pleurer dans les ministères. J’ai pas
su
dire : “C’est pas pour moi, c’est pour ma mère ! La pauvre, elle est
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’explication de ma dernière lettre. Comme vous le
savez
, j’habitais à Cully, chez Budry. Il estimait que j’abusais de son tél
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e, moi plutôt polémique et passionné. Autant il a
su
préserver l’irénisme du philosophe dans ses écrits et son comportemen
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trer dans celui de l’application infaillible d’un
savoir
. » Et il dénonce la perversité de nos prévisions sur l’avenir. Je cit
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s en plus à l’auteur même de ces analyses. Chacun
sait
que les portraits peints par Rembrandt ont tous un air de ressemblanc
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e, des attaques de gauche et de droite, ce qui ne
saurait
surprendre : tel est le sort des non-conformistes19. On a peut-être t
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peut passer une vie entière à la deviner ! Je ne
sais
pas ma vocation comme je sais comment aller d’ici à Grasse26. La mani
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la deviner ! Je ne sais pas ma vocation comme je
sais
comment aller d’ici à Grasse26. La manifestation de la vocation se pr
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nde sent qu’il y a un but absolu (même si l’on ne
sait
pas exactement le définir), et ce doit être le même but pour tous les
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milieu… C’est téléologique pour chacun, qu’il le
sache
ou non. Mais il vaut mieux le savoir, parce qu’alors on devient respo
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cun, qu’il le sache ou non. Mais il vaut mieux le
savoir
, parce qu’alors on devient responsable, non seulement devant soi-même
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tour définitif en Suisse, je me suis trouvé, sans
savoir
trop comment, engagé dans la lutte militante pour la fédération de no
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formera la Confédération suisse. À ce propos, on
sait
aujourd’hui que le Pacte de 1291, dit du « Grütli », fut écrit dans u
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a voix de l’homme puisse s’y faire entendre. Vous
savez
que c’est le plus vieil idéal politique de l’Europe. Aristote voulait
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ndiale. Les enfants comprennent très bien cela et
savent
que les douaniers n’arrêtent pas la pollution. Pour l’écologie, nos f
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el roman déjà commencé, parce que m’ayant lu, ils
savaient
trop bien ce qu’ils faisaient. Dois-je me le reprocher ? Toute prise
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nce. Mais dites-moi, mon cher Rougemont, quand on
saura
que vous habitez chez moi, qu’est-ce qu’on va dire ? » Et il répète à
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es promoteurs du nucléaire sont suicidaires et le
savent
. L’avenir que nous voulons, c’est le solaire. Mais les États freinent