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fusiller ou le décorer, avouant ainsi qu’elle ne
sait
plus quelle est sa juste place dans la cité. On lui a donné, au cours
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s clairement marquée dans la cité, parce qu’il ne
sait
plus où s’asseoir, parce qu’il n’est pas intégré sans question ni con
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a seule existence modifie quelque chose, un je ne
sais
quoi dans l’atmosphère qui peut se révéler décisif pour beaucoup. Ren
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l’abandonner à ceux qui en abuseront demain, qui
sauront
vous forcer à être totalement et uniquement du monde, de leur monde,
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te couleur des certitudes de propagande, ou je ne
sais
quelle mystique qui serait, au mieux, un peu plus virulente que la le
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que les libère subitement à ce degré-là ? Je n’en
sais
rien. Savait-on beaucoup mieux, aux environs de 1830, ce qu’allait pr
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ère subitement à ce degré-là ? Je n’en sais rien.
Savait
-on beaucoup mieux, aux environs de 1830, ce qu’allait produire la tec
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de facteurs matériels que j’aurais oubliés ou ne
saurais
prévoir, qu’en vertu de nos libres décisions. (Ce n’est pas l’inventi
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relative de cette invasion de la culture, nul ne
saurait
en préjuger : je dis seulement que tout y mène pour le meilleur et po
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res — en bénéficieront très certainement. Et l’on
sait
, d’autre part, que la passion pour l’occulte ne cesse de grandir dans
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politique, le cinéma, ou l’Art lui-même. Quant à
savoir
si cela représentera un progrès ou un risque nouveau, voilà qui nous
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seul » et que pourtant il devrait être saint. Il
sait
que le péché consiste à être séparé de la Vérité vivante, et que tous
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grâce. Il est donc un inquiet perpétuel, mais qui
sait
les raisons de son inquiétude ; il sait qu’elle est normale, et non d
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mais qui sait les raisons de son inquiétude ; il
sait
qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est produite par
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de la recherche L’Oriental pose la question de
savoir
si l’Occidental ne préférerait pas la recherche à la pleine possessio
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, d’une libre appréciation de la personne quant à
savoir
si l’acte exprime l’amour, s’il édifie. Pourtant la voie chrétienne n
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mesure, fragile et menacé, mortel et ignorant, il
sait
qu’il n’est pas dieu, ne rêve pas de le devenir, mais se sent d’autan
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t dans un « champ » au sein duquel agissent on ne
sait
quels archétypes formateurs… Le monde phénoménal n’est plus qu’une ap
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refuserait de la trouver lui-même, dès lors qu’il
sait
qu’il n’en est point de vraiment générale et transposable — il quitte
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mme à la plupart des autres religions, et où l’on
sait
que les relations entre les sexes jouent un rôle décisif, minutieusem
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longtemps confondue avec « la chrétienté ». On ne
saurait
donc interpréter ce phénomène — dans son évolution au cours des siècl
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rne, mais bien les attitudes (religieuses sans le
savoir
) qui justifient cette immoralité ; enfin, ce sont certaines notions d
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e sexuelle que les tendances dites puritaines ont
su
nous imposer dès les débuts de l’Europe, il n’y aurait rien de plus d
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assera », et que l’invisible sera vu. Quand tu le
sais
, l’amour commence, l’amour a déjà commencé, car c’est lui qui le sait
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ce, l’amour a déjà commencé, car c’est lui qui le
sait
dans toi. À la question fondamentale que pose le Vide : Pourquoi pas
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Nul ne peut distinguer le bien d’autrui s’il n’a
su
distinguer d’abord son propre bien. Qui s’aime mal, comme l’égoïste,
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n homme qui se connaît bien et les femmes surtout
savent
cela : une certaine perception instantanée du secret singulier de l’a
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orme de l’amour est dit physique, encore que nous
sachions
très bien que le sexe est lié comme nulle autre fonction à la volonté
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i l’extrême de l’amour cognitif, de la passion de
savoir
, d’inventer le savoir et d’y soumettre la pensée, poussé jusqu’au der
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cognitif, de la passion de savoir, d’inventer le
savoir
et d’y soumettre la pensée, poussé jusqu’au dernier degré de l’abstra
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es : Masochisme. (Seul celui qui a une âme, et le
sait
, a lieu d’être masochiste et de s’en réjouir). Goût de la mort à deux
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ais sens, est celui qui est coupé de l’âme, ou ne
sait
qu’en faire et la nie). Conception de l’amour : l’équilibre exigeant
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heur, qui est uniquement l’Européen, comme chacun
sait
. La vérité, selon les faits et dans la perspective de l’histoire, c’e
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à la longue tradition des excellents esprits qui
surent
condamner le colonialisme à l’état naissant, et qui le firent non pas
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xe siècle scientiste et dans l’ensemble, sans le
savoir
, plus marxiste que scientifique. (Non que je nie l’importance des don
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éponyme, celle qui donna son nom au continent. On
sait
cela, mais on connaît moins la suite de ce rapt créateur, la suite du
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n, dès ces temps fabuleux, il semble difficile de
savoir
« où est l’Europe », si l’on entend seulement la ramener un beau jour
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braham, « le père des croyants » était parti sans
savoir
où il allait, parce que son Dieu, sa vérité la plus intime, lui disai
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ristophe Colomb, le père des Découvreurs, croyait
savoir
où il allait, et ce qu’il cherchait : il avait calculé qu’il y serait
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ine et d’une vie spirituelle que l’Europe a mieux
su
maintenir face à l’État et face aux modes du jour. Les Américains le
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t au marché, qui occupe le centre de la place, on
sait
qu’il n’a jamais été plus prospère qu’aujourd’hui, et cela dans tous
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intensive (c au carré). (Je précise bien — on ne
sait
jamais… — qu’il ne s’agit pas là d’une démonstration faussement mathé
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ent il ne le pense lui-même. Mais veut-il vivre ?
Saura-t
-il rassembler à temps ses forces vives, pour faire face non seulement
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sa propre civilisation et de ses propres idéaux ?
Saura-t
-il, enfin, prévenir ces affreux accidents de sa santé mentale et de s
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tivement universelle. Cette civilisation, nous le
savons
tous, est tenue pour responsable, à tort ou à raison, d’autant de méf
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ceci n’empêche pas qu’elle soit la seule qui ait
su
se rendre transportable et intégrable hors du contexte de ses origine
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rigines raciales, politiques et religieuses. Nous
savons
tous aussi comment s’est opérée sa diffusion mondiale dès la Renaissa
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e ans, celle de l’époque coloniale, seule l’élite
sait
notre langue… On n’apprend plus le français dans ces pays parce qu’on
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s nos rivalités, des assistants techniques qui ne
savent
pas grand-chose du milieu où ils vont agir, et moins encore de ce que
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oyau, nous serons trop dégradés, trop avilis pour
savoir
autrement que par une vague et stupide tradition ce que nous avons ét
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sumer face au monde une vocation dont personne ne
saurait
la relever, dont nulle autre culture et nul autre régime ne me parais
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couvertes, et que seules les techniques qu’elle a
su
inventer sont en mesure de les entretenir. L’Europe reste le cœur de
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rs derniers écrits. Chez les plus jeunes, combien
savent
distinguer la sexualité de l’érotisme et la passion de l’amour vrai ?
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tre l’instinct, et ce n’est pas la passion, on le
sait
de reste. C’est l’érotisme, c’est-à-dire l’usage non biologique de la
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ignore s’il désire la sagesse. Mais la censure ne
saurait
empêcher l’instauration d’un vaste programme de recherches, dans lequ