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bon… » Rien n’est plus vrai : le totalitarisme ne
saurait
triompher « de gens disposés à tenir bon » selon l’expression de l’It
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science civique. Or une telle bonne conscience ne
saurait
exister que là où existe l’autorité morale. Les fascistes ont été arr
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argeront, l’appel existe, et c’est le premier qui
saura
lui répondre qui vaincra. Soyons donc les premiers chez nous, répondo
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seule une religion plus vraie que leurs mystiques
saura
nous indiquer les vraies fins de la lutte. Conscience civique et cons
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cation, on nous laissera tranquilles, parce qu’on
saura
là-bas que nous ne sommes pas assimilables. Voilà la résistance civiq
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cipité dans un nouveau monde de valeurs, où il ne
sait
comment agir, et il y perd son assurance. Représentons-nous cela : de
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r qu’on n’aille pas penser que je préconise je ne
sais
quelle veule démission ou quel défaitisme utopique, je traduirai la m
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ssion, bien qu’elle l’appelle à son insu. Il faut
savoir
la deviner sous les rodomontades officielles et sous les vantardises
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romaine est infaillible. L’Église grecque lui en
sut
très mauvais gré et lui en fit de vifs reproches à ses derniers momen
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lidaire. Celui que j’appelle l’homme total. Je ne
sais
si nous réussirons, mais nous aurons du moins sauvé l’honneur de cett
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es ouvrages pieux auraient tourné la tête. (Il ne
sait
ni lire ni écrire.) Mais sous cet extérieur équilibré, et malgré l’ap
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aussi rêve-t-il comme tout son siècle, et sans le
savoir
, d’une piété plus intérieure, d’un contact plus direct, plus confiant
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e le solitaire de tenter un dernier effort. On ne
sait
pas — on ne saura jamais — de quel message Nicolas l’a chargé. Ce que
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tenter un dernier effort. On ne sait pas — on ne
saura
jamais — de quel message Nicolas l’a chargé. Ce que l’on sait, par ce
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— de quel message Nicolas l’a chargé. Ce que l’on
sait
, par ce qu’attestent les documents les plus formels, c’est qu’à l’aub
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à ce propos que la seule chose que tout le monde
sache
de Nicolas, est en réalité la seule qu’il n’ait pas faite : sa venue
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a personne nous échappe, si nous nous limitons au
savoir
historique. J’entends qu’il est très difficile, sur les documents qui
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à mes yeux, celle de la mystique germanique. Nous
savons
que par sa mère et par certains amis de celle-ci, tel le curé Matthia
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o et de Tauler, et par eux, de Maître Eckhart. On
sait
que Luther, de son côté, fut assez fortement influencé par ces mêmes
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e du xiiie au xve siècle, et Nicolas de Flue ne
saurait
s’expliquer — dans la mesure où l’on peut l’expliquer — si l’on ne te
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ré concernant le pacificateur de la Suisse. On ne
saurait
en louer assez la science, et surtout l’honnêteté. C’est sans aucun d
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er toute la politique des cantons catholiques. On
sait
d’autre part que l’archiduc Ferdinand II d’Autriche fit rechercher en
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t la prétention d’annexer Nicolas de Flue à je ne
sais
quel « parti de la Réforme » ! Elles ne visent qu’à faire mieux conna
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d’élever le niveau général du confort. Or chacun
sait
que les résultats pratiques du machinisme ne sont pas d’augmenter les
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en comprendre et en maîtriser les rouages. On ne
sait
pas du tout ce que vont produire ces capitaux énormes qu’on accumule
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itaux énormes qu’on accumule à tout hasard. On ne
sait
pas du tout comment vont réagir ces masses humaines déracinées par l’
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s. » Mais à part ces deux solitaires, personne ne
sut
ou n’osa voir à quoi devait conduire le Progrès, abandonné à son mouv
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ion qui domine la culture, mais une action qui ne
sait
plus où elle va ! Et la société à son tour ne tarde pas à se défaire.
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signifie… ni plus ni moins. — La question est de
savoir
, dit Alice, si vous pouvez faire que les mêmes mots signifient des ch
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ent des choses différentes ? — La question est de
savoir
, dit Humpty Dumpty, qui est le plus fort… et c’est tout. » Nous en so
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là aussi, cet appel exigera une réponse. Reste à
savoir
si nous saurons la lui donner, si nous saurons utiliser le délai qui
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iste. L’homme complet et réel, c’est celui qui se
sait
à la fois libre d’être soi-même vis-à-vis de l’ensemble, et engagé vi
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r soi-même une énergie normale et souple. Or nous
savons
maintenant que c’est possible, que c’est encore et de nouveau possibl
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trouvé ses mesures. Bien d’autres groupes, je le
sais
, sont à l’œuvre, Mouvement des groupes d’Oxford, mouvement des groupe
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tion, notre confort et nos hôtels. (D’autres — on
sait
qui —feraient marcher tout cela aussi bien que nous, peut-être mieux
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parer un monde humain. Mais nous qui avons encore
su
conserver une cité à la mesure de la personne, nous qui sommes encore
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le matérialisme modéré du dernier siècle. Nous ne
savons
plus prendre au sérieux « ce qui nous dépasse », tant par en haut que
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irai la cause : celui qui ne croit pas en Dieu ne
sait
pas non plus croire au diable, et ne sait pas le reconnaître. À l’ori
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Dieu ne sait pas non plus croire au diable, et ne
sait
pas le reconnaître. À l’origine de notre aveuglement, il y a incrédul
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et que Dieu malgré tout nous aime. Si nous avions
su
croire en lui pendant le temps de sa patience, nous aurions eu « des
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sprit prévoit le mal et tient compte du péché. Il
sait
que les inventions humaines peuvent être employées contre l’homme ; q
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onfort, et l’idole du progrès — ce progrès qui ne
sait
rien que répéter comme une horloge parlante : « Tout s’arrangera. » O
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d’espérer ! Mais nul espoir n’est plus possible,
sachons
-le, si nous refusons maintenant encore d’envisager les causes du désa
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ous. « Mea culpa » des pacifistes, qui n’ont pas
su
imaginer le mal parce qu’ils croyaient au bien fait de main d’homme.
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me. « Mea culpa » des militaristes, qui n’ont pas
su
imaginer un autre bien que la défense toute matérielle d’un ordre de
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as des chars, sous les bombardements, quand on ne
sait
même plus qui a été tué. Un peuple en guerre sauve son moral en se do
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nos goûts, nos sympathies et nos passions. Je ne
sais
pas ce que l’avenir vaudra, mais je sais que s’il vaut quelque chose,
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s. Je ne sais pas ce que l’avenir vaudra, mais je
sais
que s’il vaut quelque chose, ce sera grâce à l’action personnelle des
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râce à l’action personnelle des hommes qui auront
su
répudier les illusions flatteuses de l’ère bourgeoise. Car ceux-là se
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flatteuses de l’ère bourgeoise. Car ceux-là seuls
sauront
alors ce qui mérite d’être sauvé ou recréé. Non pas le droit et la ju
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e et le point fixe que nulle puissance humaine ne
saurait
ébranler, quand tout le reste, ciel et terre, idéaux et réalités, est
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aux heures héroïques de l’ancienne Confédération,
sachons
voir et saisir notre chance et les chances nouvelles de l’Esprit ! Qu
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grand espoir et une grande fierté, parce qu’elle
saurait
que dans cette forteresse du Gothard, que n’atteignent ni chars ni av
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de. L’Église de Suisse est-elle vraiment solide ?
Saura-t
-elle résister comme un roc ? comme une montagne vers laquelle nous po
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Encore une fois, je ne puis pas répondre. Dieu le
sait
, et l’événement seul fera la preuve de notre force ou de nos faibless
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stance au paganisme qui nous guette, et qui, lui,
sait
si bien s’organiser. Je ne puis pas vous énumérer toutes les conditio
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uisse. Il est bien vrai que notre État fédéral ne
saurait
se fonder concrètement que sur des bases chrétiennes de tolérance et
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abandonne aux tribuns politiques le privilège de
savoir
parler à la foule, de savoir la toucher par des paroles directes. Vou
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ques le privilège de savoir parler à la foule, de
savoir
la toucher par des paroles directes. Vous me direz peut-être que cett
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viennent, qui ont faim et soif de vérité, sans le
savoir
le plus souvent. Il est grand temps que nous fassions en sorte que to
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s » ces manifestations — peut-être parce qu’on ne
saurait
pas comment les définir autrement… ce seul fait démontre à l’évidence
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ns risques graves. Tous les fondateurs de régimes
savent
que pour créer une communauté nouvelle, il faut créer des signes et d
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mais mis les pieds dans un de nos temples, qui ne
sait
rien du protestantisme, ou qui est incroyante. Vous réussissez à l’am
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la laisser sur sa faim. En sortant de là, elle ne
saura
pas exactement ce que nous croyons, elle pourra s’imaginer les choses
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ommence, tout le monde, et même un étranger, peut
savoir
de quoi il s’agit. J’avoue que pour ma part, et je ne pense pas être
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me faut bien nommer le sans-gêne spirituel. Je ne
sais
pas si cela provient du fait qu’on parle un peu trop facilement du Bo
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ns d’attitude soient futiles, ou trahissent je ne
sais
quelle déviation catholique. Toutes les Églises ont toujours attaché
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lles avaient de bonnes raisons de le faire. Elles
savaient
qu’une certaine participation personnelle, physique même, au culte pu
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este de la Ligue du Gothard, juillet 1940. 7. On
sait
que l’organisation des premières Églises était telle que les évêques
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. En même temps, elle prend un aspect positif. On
sait
en effet que le traité de Vienne dit en tous termes que « la neutrali
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e question réelle qui se pose désormais, c’est de
savoir
si la neutralité de notre pays est encore « dans les vrais intérêts d
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t prêt à se défendre en cas d’attaque, demain. Je
sais
très bien que la seule mention de l’armée suisse a le don de provoque
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tribution réelle à la défense du continent, on ne
saurait
vraiment en dire autant de notre attitude méfiante et presque négativ
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core moins résolu, dans l’abstrait. Ce qu’il faut
savoir
tout d’abord, c’est pour quelle raison grande et forte, c’est en somm
75
n du continent : le premier n’étant, comme chacun
sait
, qu’un effort encore hésitant vers la seconde. Ensuite : le Conseil d
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e serait peu de dire qu’elle est en crise : on ne
sait
même plus très bien ce qu’elle est, ni où elle est, ce qu’elle peut o
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Strauss) ? Théoriquement et théologiquement, nous
savons
à quoi nous en sommes et à quels dogmes nous croyons. Mais au plan de
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p fameux Dr Tissot) qui ont joué le rôle que l’on
sait
dans la prédication, la cure d’âme et la littérature morale des pays
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enfin, à la productivité du travail, et même, qui
sait
? à la « créativité des loisirs » (dans les rapports avec l’économie)
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n toute confiance, que la vie où j’allais rentrer
saurait
les illustrer dans maints domaines de ma conduite ou de ma réflexion.
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il faut souligner aussitôt que ces conventions ne
sauraient
être arbitraires. (Beaucoup de gens s’imaginent que les deux termes «
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Dieu, mais il y a un chemin par homme ! — comment
savoir
si je le découvre ou si je l’invente en le suivant ? Il n’est créé qu
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nfin, à tout homme qui me demanderait : « Comment
savoir
? Comment déceler ma vocation, puisque selon vous le But d’où elle m’