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réalités humaines qu’ils ont tuées. « …car ils ne
savent
ce qu’ils font. » Le 15 juin 1940. b. « À cette heure où Paris… »,
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e civilisation matérielle demeure hanté par on ne
sait
quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine
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des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai
su
, plus tard, que ce jour-là j’avais fait mes adieux à la France. e.
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mais aussi beaucoup d’approbations enthousiastes.
Savez
-vous si les Soviets ont, pu s’emparer du secret de la bombe atomique
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u secret de la bombe atomique ? Non, et nul ne le
sait
, je crois, en Amérique. Mais une polémique ardente, sur l’opportunité
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eur « ordre » où nous serions des morts, ou je ne
sais
quels esclaves honteux de vivre. g. « Consolation à Me Duperrier su
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, appuis sociaux, politiques ou financiers. Je ne
sais
trop s’il faut s’en plaindre. Tout cela se crée naturellement autour
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en trois points : 1. L’union entre des peuples ne
saurait
se faire en général que sur la base de quelque unité préexistante ; 2
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dont elle est l’origine et le cœur. Voilà qui ne
saurait
s’expliquer que par la culture des Européens, entendant par culture,
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e notre évolution, la question qui se pose est de
savoir
s’il faut et s’il suffit, pour « faire l’Europe », que toutes les nat
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) Les modes d’emploi Enfin, l’Europe unie ne
saurait
être conçue comme un but en soi, comme un nationalisme agrandi et tra
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ommée Europe. 2. Cette organisation économique ne
saurait
fournir les bases d’une organisation politique, mais seulement les mo
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de feuilles rondes, comme des pièces d’or. Je ne
sais
rien qui égale en Europe la splendeur de l’indian summer aux villages
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e à l’autre, mais c’est vraiment tout ce que j’en
sais
. La série de mes rendez-vous commence quelques secondes après, je n’a
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qui veut écrire n’a qu’à jouer ses atouts et bien
savoir
sa langue. Cela donne Rousseau, Staël ou Constant. Et cela n’empêche
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très vieux instincts, de très vieux mythes. Vous
savez
, l’être humain n’a pas changé dans ses profondeurs, Jung a montré de
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leur vie. Car tous, tant que nous sommes, sans le
savoir
, menons nos vies de civilisés dans une confusion proprement insensée
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artificielles — elle fait songer à cette Tour du
Savoir
, tellement démesurée qu’il faut, pour l’édifier, diviser maîtres d’œu
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tances, les races, les nations, les cultures, les
savoirs
différents, c’est-à-dire l’ignorance du savoir des autres, et enfin,
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s savoirs différents, c’est-à-dire l’ignorance du
savoir
des autres, et enfin, et surtout, l’oubli de l’unité, l’étrange oubli
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r, hélas, que dans nos universités. Tout le monde
sait
ici de quoi je veux parler : nous assistons en fait à une double expl
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titutions d’enseignement supérieur : explosion du
savoir
, qui se traduit par un accroissement continuel à la fois du nombre et
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la démocratisation des études. L’explosion du
savoir
Ainsi les dimensions physiques et l’université tendent à devenir i
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ent à devenir infranchissables. Dans l’univers du
savoir
humain, faculté et spécialité sont en train de s’éloigner les unes de
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erd, entre les branches sans cesse multipliées du
savoir
, c’est dire que la commune mesure d’une civilisation est en train de
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une heure avant les grands cours.) L’explosion du
savoir
est plus difficile à chiffrer. Robert Oppenheimer et d’autres savants
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logie ; rien de comparable ne s’est produit et ne
saurait
se produire dans la théologie et la philosophie, ni dans les lettres.
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e accroît la séparation et les distances entre le
savoir
et le croire, entre ces deux aspects de la personne totale, jadis but
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peuvent plus être échangées entre les branches du
savoir
, ou entre les rameaux d’une même branche. Les jugements d’ensemble, r
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pas de quoi parle le physicien, et a fortiori ne
saurait
pas si le rapport entre les conclusions du physicien et la dogmatique
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itif ou indifférent. J’ajoute que le physicien ne
saurait
pas davantage si sa démarche est conforme ou non à la théologie, et f
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donc nous résigner à que l’accroissement même du
savoir
traîne pour conséquence la division de l’esprit et l’accroissement de
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elon la loi de Parkinson. L’incommunicabilité des
savoirs
est ressentie par notre esprit comme une frustration, comme une bless
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us tout à fait vraies — mais tant pis, cela ne se
sait
pas encore ! Cette espèce de résignation intellectuelle correspond à
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echerche et quant à la valeur globale, ultime, du
savoir
humain. Dans le Temple même de la Science, il faut bien que les lévit
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tés européennes, en Italie puis à Paris. (Quant à
savoir
dans quelle mesure l’apparition de l’Université est liée à ce phénomè
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Or rien de tel ne s’est produit, autant que l’on
sache
, dans les cultures sacrées et homogènes de l’Asie brahmanique ou boud
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t il faudrait que les physiciens qui en discutent
sachent
que la dialectique de leurs problèmes actuels sur le temps, la matièr
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erches sans références à un langage commun. Un
savoir
en progression géométrique Le grand problème que l’Europe seule me
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et valables, dont le problème des relations entre
savoirs
spécialisés et synthèse de nos connaissances n’est guère qu’un cas pa
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ans, pour que l’espoir de maîtriser l’ensemble du
savoir
humain, d’ailleurs en progression géométrique, ait la moindre chance
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Certes, on peut soutenir que la spécialisation du
savoir
, loin de représenter un progrès, n’est littéralement qu’une monstruos
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ne science beaucoup plus compréhensive. Et chacun
sait
que c’est en poussant l’exigence de l’analyse jusqu’aux anomalies les
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iversités. Mais sur le problème de l’explosion du
savoir
, dont je vous ai plus longuement entretenu, il me tarde de vous propo
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t, mais ne répondra pas au défi de la division du
savoir
en langages spécialisés. Pour y répondre, il faut envisager la créati
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rouvé son excellence dans une branche au moins du
savoir
, ou de la vie professionnelle, et démontrer d’une manière convaincant
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spécifiques et résultats des diverses branches du
savoir
. Limites d’un tel langage, et comment y suppléer par les arts. 5. Eur
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ieux dans le vide, semble-t-il, car il fixe on ne
sait
quel objet imaginaire bien au-delà de nos personnes, quoique l’attent
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nheimer (25 février 1967)x Cet homme qui avait
su
mettre en œuvre avec vigueur dans un désert de rochers rouges, brûlé
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il voyait tout, pensait à tout pour ses amis, et
savait
écouter comme personne, tout en vous enveloppant d’un regard bleu qui
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er au-delà de vous-même. Il avait une aura, il le
savait
, un prestige un peu douloureux qu’il portait avec juste assez de gauc
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et en même temps elle représente la totalité des
savoirs
acquis et des recherches en cours (universitas scientiarum). Au sein
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ons étudient les sept arts, et réussissent à tout
savoir
.) En fonction d’un certain sens de la vie 2. Au sens du mot que
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quisition, apprentissage, initiation correcte aux
savoirs
existants. Pour l’Université véritable : évaluation critique, recherc
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cifique de l’Université : une école, en effet, ne
saurait
se la poser. Il faut l’Université parce qu’un centre de contestation
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ype européen, d’une part pour faire progresser le
savoir
(recherches au-delà de l’usage prévisible et sans tenir compte des «
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revue, nulle autre école. De 1925 à 1940, à je ne
sais
quelles exceptions près, ce qui a compté dans la littérature en créat
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si grave qu’il a pris le parti de se taire. Je ne
sais
s’il est vrai que les hommes de lettres se soient contentés jadis de
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se passe comme s’il y avait à leur endroit je ne
sais
quoi de libre, de joyeux et peut-être d’insensé, dont nous aurions pe
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tout à fait ni pour toujours, puisque ce « je ne
sais
quoi de libre, de joyeux et peut-être d’insensé », c’est toute son œu
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connues avec de si constants succès pour ceux qui
savent
— dans l’armée, la diplomatie, et la vie internationale L’écrivain su
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il nous suffisait, nous ses amis (mais avons-nous
su
le lui dire assez…) de pouvoir admirer, en lui, la parfaite élégance
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x, puis par Lénine avec les conséquences que l’on
sait
, jusque dans l’existence quotidienne de 700 millions de Chinois qui s
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erait leur force ; mais en retour, cette union ne
saurait
être acquise au prix des libertés qu’elle est censée servir. Rien de
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ue pourtant personne ne fait ? Eh bien, chacun le
sait
, rien n’est moins mystérieux : l’obstacle à toute union possible de l
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topie catastrophique, mais dont la réalisation ne
saurait
être exclue pour autant. Au contraire, si nous donnons pour finalité
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existant quand on voudrait compter sur lui. Je ne
sais
, n’étant pas économiste, si nos États-nations délimités pour la plupa
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cle, des entités économiques intelligibles. Je ne
sais
si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle
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ds que pose leur balance commerciale (laquelle ne
saurait
être positive, me semble-t-il, dans tous les pays à la fois…) ne sont
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correspondent à rien d’économique. Mais ce que je
sais
de science certaine, c’est que les États-nations n’existent pas dans
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it devant d’autres intrigues prévisibles. Et l’on
sait
quel en fut le prétexte allégué : l’instauration en France des région
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ait, on commence à écrire vers 16 ou 17 ans, sans
savoir
pourquoi ni pour quoi. Et quand beaucoup plus tard, essayant de répon
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si je n’avais pas écrit d’abord sans cause, je ne
saurais
pas écrire pour une cause. Si l’on n’a pas d’abord écrit pour rien, p
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autre m’engage. a) J’écris par pure envie et pour
savoir
pourquoi. Pour aller ainsi je ne sais où, en quête obscure et fascina
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e et pour savoir pourquoi. Pour aller ainsi je ne
sais
où, en quête obscure et fascinante, selon ce vers d’Hugo qui m’amuser
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pas un scientifique n’appréhende et par suite ne
saurait
nier, et qui est au-delà de tout — comme le corps transcendant aux or
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e, mais que [je] m’y perde et m’y donne. Quand je
saurai
pourquoi, j’aurai fini d’écrire (idéalement). J’aurai touché à la fin
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s, paraît-il, à celui de ne pas se mouiller. Nous
savons
que la Suisse, c’est autre chose. Mais quoi ? Combien de nos compatri
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une Europe fédéraliste montrent par là qu’ils ne
savent
pas ce qu’est la Suisse. Écoutons plutôt un grand Zurichois du siècle
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iment, si nous le voulons. C’est ce qu’il reste à
savoir
, et c’est ce qui nous inquiète. S’il n’y a plus de frontières tangibl
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s aidant, ils apprendraient d’autant mieux. On ne
sait
vraiment que ce qu’on a dû enseigner. Je l’observe tous les jours sur
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ur du grand vignoble de Lavaux, cette évidence ne
saurait
exiger ni d’ailleurs endurer la moindre preuve : vous la vivez « comm
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, « faire son salut » suppose la foi, mais chacun
sait
que la foi sans les œuvres est morte. Sauver Lavaux ne suppose rien d