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cide, avec une sorte d’acharnement, comme seul il
sait
l’être aujourd’hui sans que cela nuise en rien à un don de sympathie
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rceaux attestent la délicatesse, mais parce qu’il
sait
y trouver les seuls motifs réels d’exaltation. 1. Le Dépaysement o
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ond noir et portant, en cœur noir, la nouvelle… «
Savez
-vous qu’on nous a pris les deux tiers de notre pays ?… Non, non, jama
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le, rient et s’enivrent comme plus un Européen ne
sait
le faire, et dansent à tout propos de folles « czardas » qui devienne
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oses. Le regard « réaliste » de Hildur Dixelius a
su
voir dans la « vie courante » de ses héros des drames singuliers, de
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ystère inquiétant se révèle aux yeux de celui qui
sait
voir parce que, mieux que d’autres, il sait aimer. Et sur ce monde, q
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i qui sait voir parce que, mieux que d’autres, il
sait
aimer. Et sur ce monde, qu’il est, sur ces vies douloureuses, banales
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isme, l’Italie et l’Allemagne ayant, comme chacun
sait
, déclaré une guerre sans merci à toutes les formes d’intelligence réf
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ersion de ses efforts. Comme, d’autre part, on ne
saurait
admettre que seules les personnes fortunées aient quelque chose à dir
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s’agit encore d’écrire, mais dans un style qui ne
saurait
être celui du poète ou du philosophe, par exemple. Ce qui ne va pas s
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s tout cela. Mais il faudrait d’abord que cela se
sache
! d. « Condition de l’écrivain (I) », Journal de Genève, Genève, n°
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me en politique. Rien n’est plus important que de
savoir
la qualité, et la nature, des rêves qui mènent le monde, à un moment
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in rend à notre littérature un service dont on ne
saurait
exagérer l’importance. Je n’hésite pas à affirmer que cette thèse fer
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its d’une lucidité puissante, voire téméraire. On
saura
gré, d’ailleurs, à M. Albert Béguin, d’avoir su marquer avec tant de
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aura gré, d’ailleurs, à M. Albert Béguin, d’avoir
su
marquer avec tant de justesse le point précis où l’entreprise titanes
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ourrait le dire avec certitude, pas plus qu’on ne
saurait
prévoir l’issue de la campagne. Ce qui rend cette dernière si « excit
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écision du 5 novembre. Ce jour-là, les Américains
sauront
ce qu’ils pensent en tant que nation. Ils auront cessé de parier. Si
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n se sent responsable de ses réactions. Lorsqu’on
sait
que l’on sera pris au sérieux, on dit moins de bêtises, on se contrôl
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o, des sermons, des mandements et des manifestes.
Sait
-on assez que les Américains sont très conscients et très jaloux de la
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très jaloux de la qualité de leur esprit public ?
Sait
-on assez de quelle passion profonde se charge ici le terme de démocra
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de la démocratie américaine. Il est important de
savoir
que les grandes cérémonies civiques et politiques de ce pays, aussi i
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une autre plus loin, et plusieurs en écho. Je ne
savais
plus, après six ans de New York, qu’il y a des cloches qui sonnent le
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vous êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que l’on
sache
. Quand vous y serez, il sera temps de voir si la prudence, ou au cont
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on avis, de commencer l’Europe par le toit. Je ne
sais
pourquoi, ni ce qu’il veut dire exactement, mais cave ou toit, chacun
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oir de ses yeux. Et plusieurs d’entre vous, je le
sais
, s’en affligent. (On peut penser que ce n’est pas suffisant.) Aujourd
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t la grandeur d’une liberté nouvelle. Que vous le
sachiez
ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les
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isation que rien ne s’offre à remplacer, et qui a
su
remplacer toutes les autres. D’où vient, Messieurs, que ce cap de l’A
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retransmis de Salzbourg. Voilà ce que l’Europe a
su
faire. Toute la musique est née du contrepoint de l’Europe. Vous êtes
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e, ou qui peut-être vous écrase. En vérité, je ne
sais
comment j’ose vous parler, si ce n’est par angoisse et en dernier rec
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: étatiser les industries ; un seul pays qui ait
su
le faire : la Grande-Bretagne ; et ce pays n’est pas européen. En eff
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ue politique et nos intérêts économiques »… Je ne
sais
ce que les Hindous, les Boers, les Canadiens français et même les Irl
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en, en fait, car selon sa brochure, ce minimum ne
saurait
être envisagé que s’il n’affecte pas les intérêts anglais, et que si
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: qu’une Assemblée sans majorité travailliste ne
saurait
être tolérable que dans la mesure où elle reste impuissante — d’où le
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mais c’était il y a trois-cents ans. Personne ne
sait
très bien, en somme. On essaie de nous dire que l’opinion y tient. Qu
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que « l’Europe sera socialiste ou ne sera pas »,
savent
très bien qu’à ce prix elle ne sera pas. Voilà l’ennemi, et non point
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L’Opinion, par exemple, n’est pas mûre, et chacun
sait
qu’on ne peut rien faire sans elle. » C’est qu’ils se prennent pour l
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à renforcer le sentiment d’une solidarité qui ne
saurait
nuire à « l’avènement d’une union plus intime entre ses membres ». Le
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polémique européenne, que nulle autre méthode ne
saurait
provoquer. La condition à la fois nécessaire et suffisante d’une tell
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urope divisée, devant toutes les menaces que vous
savez
: un régime social déficient, le chômage étendu, la ruine à bref déla
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é qui les dicte. Je ne vous écrirais pas si je ne
savais
très bien qu’une partie d’entre vous m’approuve, et qu’une autre ne d
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ence autonome dans notre monde du xxe siècle. On
sait
l’histoire de cette union. En 1787, les treize États qui venaient de
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iens ridicules. Mettons fin à cette comédie. Nous
savons
désormais que les Russes, dès qu’ils le peuvent, utilisent les négoci
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rivain russe reçoive le prix Nobel, tout le monde
sait
aussitôt qu’il se passe quelque chose, qu’il s’agit d’un talent et d’
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alent et d’un homme. Ses confrères communistes le
savent
aussi — et le font bien voir… Hommage au prix Nobel. Et pitié pour le
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C’est une immense joie, mais un peu solitaire ! »
sachons
qu’il s’agit moins de lâcheté, dans son cas, que de patriotisme au se
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nt commun, « fondement de l’être dans le monde, à
savoir
Dieu ». Ces derniers mots sont d’Ernest Ansermet, dans le grand livre
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e notre existence dans le monde », la question de
savoir
s’il existe, au sens courant et plat du terme, se trouve d’emblée vid
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n occidentale » (p. 209). Je suis bien placé pour
savoir
les résistances que ce point de vue provoque dans l’intelligentsia pl
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ature » et des entreprises dont beaucoup d’autres
sauraient
prendre soin tout aussi bien ou parfois mieux que nous. En tout cas,
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rait pas lieu de se faire tuer pour si peu que de
savoir
qui administrerait une société préalablement amputée de son idéal, j’
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Ernst… Et la culture, qu’est-ce que c’est ? Je ne
sais
pas très bien ce que l’on entend par culture bourgeoise, parce que la
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mutation tant physique que spirituelle ? Je n’en
sais
rien. Je sais vers quoi je voudrais qu’on aille. Le progrès est l’aug
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physique que spirituelle ? Je n’en sais rien. Je
sais
vers quoi je voudrais qu’on aille. Le progrès est l’augmentation des
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léry a écrit : « Nous autres, civilisations, nous
savons
aujourd’hui que nous sommes mortelles. » C’est doublement inexact : e
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Je sais bien — mais je suis presque le seul à le
savoir
— que j’ai aussi écrit un roman, et des poèmes, qui peut-être, un jou
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ler tout en exprimant clairement leurs raisons, à
savoir
qu’elles ne voulaient pas servir la publicité d’un régime scandaleux,
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le régime soviétique continue à faire ce que l’on
sait
. D’autant que le gouvernement russe a largement diffusé une brochure,
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s Nerval : je m’étais aperçu à ma honte que je ne
savais
plus par cœur les sonnets des Chimères : c’est réparé. ag. « Mes am