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esponsable. Droit au travail, droit au loisir, on
sait
en 1933 à quel morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent c
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la misère présente est un appel à l’homme. Seuls
sauront
y répondre en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de sa
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up férir une force brutale dont le « pouvoir » ne
sait
que faire. Mais, dira-t-on, que se passe-t-il quand le pouvoir effica
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ir « détourner les forces prolétariennes », — ils
savent
peut-être ce qu’ils disent, mais sûrement pas ce que nous faisons.
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t trop connue pour que nous la reprenions ici. On
sait
comment cette notion a passé dans les mœurs au cours du xviiie siècl
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n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne
saurait
résulter de l’affaiblissement systématique des antagonismes. La paix
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trés qui nous ressassent les droits de l’homme et
savent
si bien l’empêcher d’en user ? Sans doute. Et nos « valeurs » ne sero
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et la faillite des internationales qui n’ont pas
su
tenir compte de ce fait. Mais, ici déjà, le vague de ces formules nou
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s étrangères, qui sent son député radical. « Nous
savons
trop qu’au point où on a laissé aller les choses, il n’y a plus pour
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ionnaire, pas de mouvement révolutionnaire. On ne
saurait
trop insister sur cette vérité à une époque où l’engouement pour les
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de droite, qui se vantent imprudemment de ne pas
savoir
où ils vont. 19. Brochure écrite en 1901, publiée à Genève en 1902,
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La seule question qui se pose, dès lors, c’est de
savoir
comment l’exercice d’une vocation peut être protégé, voire même favor
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Ils ne pensent et ne veulent rien enseigner, rien
savoir
d’autre que ce que l’État, la classe, ou le parti dont ils dépendent
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pendent les paie pour enseigner ou leur impose de
savoir
(université, écoles normales, académies, éducation nationale, encyclo
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refusent d’enseigner quoi que ce soit, et même de
savoir
ce qu’ils disent, par crainte de prendre parti. (Non-conformistes de
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mesure universelle — la personne —, la méthode ne
saurait
être que l’exercice des vocations particulières. Les changements de d
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sens de leur vocation enseignante. Or ces hommes
sauraient
, d’autre part, que le régime économique et politique se recréerait pa
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rtient à la première communauté personnaliste qui
saura
s’imposer et gouverner conformément à la mesure au nom de laquelle el
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à celle qui préside à sa promulgation ? I On
sait
par quel coup de force politique Henri IV prétendit mettre fin à la l
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at. La paix d’abord, à n’importe quel prix. On ne
saurait
proclamer plus cyniquement son mépris pour les réalités que défendent
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a bénéficié de l’édit de Nantes. C’est elle qui a
su
l’appliquer conformément à la logique du régime. C’est elle qui doit
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sse l’antagonisme des deux Fronts. 3. — Ils ne
savent
pas où ils vont Le Front national groupe d’autres incertaines comb
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s programme ? Qu’est-ce que « cet en avant qui ne
sait
pas où il va ? » (Robert Aron) Qui ne veut même pas le savoir ? Car M
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ù il va ? » (Robert Aron) Qui ne veut même pas le
savoir
? Car M. de la Rocque, au lieu de s’expliquer, comme il l’annonce, se
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sements ». Parions que l’homme qui parie ainsi ne
sait
pas très bien où il va. Mais quelqu’un qui savait ce qu’il voulait, L
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e sait pas très bien où il va. Mais quelqu’un qui
savait
ce qu’il voulait, Lénine — et avec lui toute l’histoire des révolutio
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se. Car tout ce qu’il écrit dans ce livre — je ne
sais
pas ce qu’il dit à ses troupes — tout son langage militaire — cette m
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riorité au plan d’action ». Seulement personne ne
sait
au juste comment cela se fait, la nationalisation des banques. Et l’o
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ventualité de son succès prochain. De Blum qui ne
sait
pas ce qu’il faut faire, de Daladier qui croit le savoir ou de Cachin
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pas ce qu’il faut faire, de Daladier qui croit le
savoir
ou de Cachin qui n’ose pas le dire, je vous laisse à juger lequel est
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t d’autre les forces. Mais nous sommes payés pour
savoir
que la confusion politique, en temps de crise, travaille pour la futu
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che et à droite une masse croissante d’hommes qui
savent
ce qu’ils ne veulent pas : la guerre, l’anarchie capitaliste, la dict
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’êtes pas trop réalistes, en France. Moi. — Vous
savez
que l’ON n’est pas pacifiste. Nous reconnaissons la réalité et la néc
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ge que la richesse rend à la pauvreté dont elle a
su
tirer des sujets populaires. Donc, jusqu’à ces dernières années, l’éc
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te lutte ; beaucoup en tirent de l’énergie ; tous
savent
et sentent qu’elle est essentiellement humaine, c’est-à-dire qu’elle
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çonné, et que notre époque confuse n’a pas encore
su
distinguer assez clairement pour riposter. II S’il faut définir
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on nez dans le monde de l’édition parisienne pour
savoir
que ce cas est courant, et qu’il est même tellement courant qu’il exp
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parle »-t-on de ce livre ? Parce que l’éditeur a
su
préparer sa sortie par une série de manœuvres généralement très coûte
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ns tout à l’heure comment s’appelle l’agent qui a
su
concrétiser, en l’occurrence, ce phénomène. Restent donc les grands é
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portés (aller… et retour bien entendu !). Si l’on
sait
que le poids moyen d’un livre est d’environ 300 gr. on voit que le mo
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blic ne s’en doute guère. Et comment le lui faire
savoir
? On ne l’atteint plus que par ces mêmes Messageries. III La co
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’il s’est créée favorable par les moyens que l’on
sait
. Mais il est probable que cet électeur est beaucoup plus sensible à l
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e référendum n’existe pas, comme en France, on ne
saurait
parler sans sophisme de démocratie. Mais là où le référendum ne peut
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ue par le gouvernement, comme en Allemagne, en ne
saurait
parler sans sophisme d’un contrôle de pouvoir par le peuple. 3. Né
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ité sur place, par des hommes responsables et qui
savent
ce qu’ils font, dans un cadre qui soit à mesure d’homme, — pour la se
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iter soi-même : cela donne à penser qu’on n’a pas
su
se faire entendre du premier coup. Voici donc une formule très voisin
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r. Ni Louis XVI, ni Kerensky, ni Schleicher n’ont
su
faire usage de la « force », de l’armée et de la police, bref du pouv
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out homme normal, enfin ces débats enfiévrés pour
savoir
si le clerc doit être un citoyen tout comme les autres, s’il doit « f
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es de mensonges haineux du même calibre, du moins
sait
-on que la dictature en est seule responsable. La honte n’en retombe p
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, c’est tout le contraire : la vraie politique ne
saurait
être qu’une expression de la personne même. Elle s’enracine dans l’ho
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es » pratiquées jusqu’ici avec le succès que l’on
sait
, voir la crise présente, ont été fausses, malfaisantes, dégradantes,
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stes, ceux qui prétendent connaître les hommes et
savoir
les mener — à quoi ? — ont suffisamment fait leurs preuves. Quant à c
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, en Angleterre… 45. Les lecteurs de cette revue
savent
que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’i
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. Cf. Dictature de la liberté, de Robert Aron. On
sait
que ce titre signifie dictature (ou état) au service de la liberté.
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le machinisme et l’électricité. Tous nos lecteurs
savent
que ces thèses sont pour nous fondamentales. Nous pensons, comme l’au
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à M. Bouglé le cas de cet ancien Normalien qui ne
sait
plus lire. Ce qui lui permet de fourrer dans le même sac Kierkegaard
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Grave lacune, qui ne s’explique que trop bien. On
sait
peut-être que Taylor écrivait : « La direction des ouvriers consiste
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as de l’Italie est des plus clairs. Tout le monde
sait
que Mussolini vient du syndicalisme, et qu’il fut l’un des chefs du p
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qu’il fut l’un des chefs du parti socialiste. On
sait
aussi quelles influences déterminantes exercèrent sur son idéologie l
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plus tard, Mussolini marche sur Rome : lui seul a
su
mâter ses anciens « camarades ». Puis c’est Hitler qui prend ses meil
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civilisations de l’Occident. Celles-ci n’ont pas
su
lui faire sa part, le subordonner, l’utiliser au profit de l’homme. E
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t. Le sénateur a donc des disponibilités60. Il ne
saurait
en faire emploi plus judicieux et « patriotique » qu’en accédant à la
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e développement de l’industrie provoque, comme on
sait
, une vague de prolétarisation sans précédent, précipitant la constitu
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viie siècle, comme l’a démontré Pirenne. 66. On
sait
qu’au Moyen Âge — et il en fut ainsi jusqu’en 1789 — le domaine seign
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nt « pensé », — les deux hypothèses classiques ne
sauraient
nous tenter sérieusement. Le réel sera donc construit ! Et l’on met l
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du moment, attendre passivement la venue d’on ne
sait
quelle lame de fond, ce serait nous condamner à la stérilité d’une ac
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e continue. L’élaboration d’une commune mesure ne
saurait
être le fait de ce qu’on appelle les « masses » qui ne sont, socialem
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⁂ Ajoutons, pour terminer, que, pas plus qu’on ne
saurait
sans les trahir, séparer les unes des autres les diverses institution
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ociété, séparée du pouvoir matériel. Et quiconque
sait
interpréter les faits historiques d’un point de vue humain ne peut ma