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s de morale à quoi nous obligeaient en réalité on
sait
quel dégoût, et certains désirs de grabuge moins avouables, — la sinc
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peut paraître gratuite au lecteur parce qu’il ne
sait
pas tout sur le personnage. Mais quant à l’auteur, il n’y a pas de gr
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isages se cachent dans des fourrures, personne ne
sait
la richesse de ta vie…). J’écris ces choses. Puis, dans un ancien car
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le moment que je vis1. Il est bien clair qu’on ne
saurait
atteindre « la vérité sur soi » en se servant de la méthode indiquée
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implique la publication de notre revue. Mais nous
savons
, tout comme M. Coué, que ce serait de mauvaise méthode. Et, comme M.
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e a sa raison d’être. La vie d’aujourd’hui, on le
sait
, nous oblige à nous affirmer ou à refuser de nous affirmer avec une n
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bénie — par qui ? elle était anticléricale, on ne
saurait
le taire, — Urbain dormait. L’étoile, jeune fille, roulait gentiment
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endre attentive à ma présence… Mais, alors, je ne
sais
quel démon du malheur me paralysa. Je venais d’entrevoir l’image d’un
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ire à ma timidité. Peut-être était-ce vous. Je ne
saurai
jamais. À l’arrêt de la Place Saint-Michel, elle sortit, en me frôlan
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e sentais mieux, on me laissa rentrer seul. Je ne
sais
comment j’y parvins. Je crois que j’ai marché plusieurs heures avant
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à chausse-trappes, cette habileté surtout. Je ne
sais
si ce malicieux Gagnebin (non pas Elie) pensait à quelqu’un lorsqu’il
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ités scéniques de cette pièce sont grandes. Je ne
saurais
même indiquer aucun endroit par où elle pèche contre les principes ch
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cette admirable machine ne m’inquiète guère : je
sais
qu’elle le conduira où il veut, sans surprises. « Puisque ces mystère
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e preuve, pour mon compte, dans le fait que je ne
sais
parler de lui autrement que par métaphores.) 5. M. Zimmer, dans la
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désabusé, constate que jamais « la Montagne » ne
saura
venir au prophète, même s’il se nomme Mossoul. Pourtant, au milieu de
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space en relation se modifie pour maintenir je ne
sais
quelle harmonie… C’est une réalité aussi réelle que celle dont nous a
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s yeux… Peut-être, quand nos regards plus assurés
sauront
enfin gagner de vitesse les prodiges que déclenche René Clair, verron
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n écrivain, un bel écrivain, comme on dit. Et qui
sait
tirer un admirable parti littéraire de son tempérament vif, insolent
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orrents. » Une belle phrase, n’est-ce pas ? Je ne
sais
qu’un Montherlant qui pourrait l’oser dire comme Aragon sans ridicule
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l’imposer pour quelles fins assez basses, nous le
savons
… Mais pour Aragon, ce n’est point façon de parler. Son « nulle part »
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aucoup trop d’êtres et de choses à aimer, et vous
savez
ce que cela suppose. Comprenez-moi : submergés, absolument… Le Sens
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omme tout ce qui est parisien, hait Paris mais ne
saurait
vivre ailleurs… Mais non, il y aurait trop à dire, et puis l’on croir
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s poèmes où détresse rimait avec maîtresse. École
savait
le mythe du voyage, et qu’on ne manque pas le train bleu d’un désir.
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un violon, pour qu’il en joue, au printemps, s’il
savait
… R.S.V.P. À Max-Marc-Jean Jacob Reymond. Une étoile à la bou
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une femme me regarda longuement. » Mes parents me
savaient
vierge et c’était la joie de leur vie, car ils aimaient en moi par-de
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dans le bonheur de la saison. — Au soir, mon père
savait
tout. Il effleura mon front de ses lèvres sans une parole quand je vi
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dait avec une terreur ou je crus distinguer je ne
sais
quelle déchirante nostalgie. Pour lui, sans doute, j’étais perdu. Mai
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u. Mais il souffrait d’autre chose encore : il se
savait
vieux, maintenant. » Je songeais justement à un sourire de mon amie q
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du hasard, ce poète immoral et malicieux. » Je ne
sais
dans quel rapide de l’Europe centrale — région où l’on est forcé de p
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trouvez pas sérieux. Le reproche est grave. Je ne
saurais
y répondre. Je pourrais vous dire que si vous me trouvez un peu potac
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’éprouve la fermeté de ma main. Je vous tiens. Je
sais
où vous êtes. Vous n’allez pas me surprendre par-derrière. Une fois —
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ritablement n’est dicible. (Depuis le temps qu’on
sait
que la lettre tue ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le temps qu’on
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signifier les choses qui nous importent. Vous le
savez
. Alors vous les lâchez en liberté, par haine de cette esthétique ou d
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pas, à poursuivre une quête de l’esprit. Et vous
savez
ce qu’elle nous vaut : les mépris, les haines douloureuses ou grossiè
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ans le paragraphe, après « Narcisse », sans qu’on
sache
s’il s’agit d’une erreur ou d’une volonté de l’auteur. 15. Variante
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ner. (On a fait ses preuves, quoi !) Et puis, qui
sait
, peut-être sauront-ils rallier le dernier disciple du Bienheureux Jea
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ses preuves, quoi !) Et puis, qui sait, peut-être
sauront
-ils rallier le dernier disciple du Bienheureux Jean… Et puis, en voil
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’ombre C’était l’aube et le sourire adorable de
savoir
la dansante liberté d’un désir à sa naissance L’étoile qui l’accuei
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stinée à une femme blonde. Je suis noire. Mais je
sais
qui c’est. J’ai fait suivre. Alexandrine un jour m’a laissé entendre
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lace. On lie bien vite connaissance, pourvu qu’on
sache
un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y suffit. Pour moi, je
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m’accompagne et nous ne disons presque rien, nous
savons
les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les
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pas venue… (C’est ici le lieu de l’avouer : je ne
saurais
entretenir que mes rapports de politesse distante avec les personnes
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ter ou de les rendre esclaves, hors de quoi je ne
sais
pas de commerce humain qui vaille la peine, qui vaille l’amour. Duran
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s m’emportent ! — Ils me conduiraient là où je ne
sais
pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour d
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fois, dérive un peu vers ces Allemagnes où, tu le
sais
, la tristesse la plus amère invente encore des mélodies sentimentales
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être méchante : je suis à peine coquette, et vous
savez
que c’est un plaisir qu’on ne peut pas nous refuser ; du reste, cela
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Certes, la réponse serait sage, si seulement vous
saviez
ce que vous dites. Mais, en vérité, que signifient pour vous le beau
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s êtes un profond pédant, dans cinq minutes je ne
saurai
plus même voir s’il fait beau ou s’il fait vilain. Lord Artur. — Je
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— Je pense sérieusement que vous ne l’avez jamais
su
. Pas plus que vous n’avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou l
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l’avez jamais su. Pas plus que vous n’avez jamais
su
si vous préfériez le bonheur ou la tristesse. Car vous ne savez pas o
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préfériez le bonheur ou la tristesse. Car vous ne
savez
pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vous paraissent simple
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eur d’un être. Ainsi tout est changé, mais peu le
savent
. Peu savent le chemin qui va du signe à l’être. Longues pluies de pri
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e. Ainsi tout est changé, mais peu le savent. Peu
savent
le chemin qui va du signe à l’être. Longues pluies de printemps sur l
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r les pentes, — beau temps de la présence. Car tu
sais
pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu’au soleil de
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pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu
sais
qu’au soleil de l’aube aussi d’autres fois tu l’as possédé. Tu compre
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en les Neuchâtelois, qui l’ont beaucoup aimé ; il
sait
que ces Neuchâtelois sont d’infatigables ergoteurs. Pour la commodité
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Les historiens le croient volontiers. Mais on ne
saurait
dire qu’ils témoignent par là de beaucoup de respect pour la vérité c
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pensée de Barth elle-même, et non pas dans je ne
sais
quelle « réaction ». Et c’est pourquoi nous ne pouvons pas accepter u
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ures pour les choses divines et humaines, si nous
savons
peser d’invisibles rayons d’énergie. Nos codes ne prévoient pas que l