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Je n’ai pas cherché la guerre, moi ! Eh bien ! je
saurai
me défendre ! Et malgré les persécutions de ceux qui ont intérêt à ét
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des républicains. Il est à peu près impossible de
savoir
s’ils font une distinction quelconque entre les opinions, pourtant bi
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e, à l’élection du bureau, puisque, comme vous le
savez
, la conférence est contradictoire. Je vous demanderai donc de bien vo
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n’a pas dit de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne
savent
pas discuter. Si vous alliez à F…2 alors, c’est autre chose. Là ça ba
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Nous faisons les cent pas sur la place. M. Palut
sait
que je suis écrivain. Il a lu un de mes articles. Je le sens inquiet
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op simple. On ne l’est jamais assez ! — Oh ! vous
savez
, — dit-il — je n’y mets pas d’amour-propre, vous pouvez me dire franc
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autres qui disaient le contraire, et pas moyen de
savoir
avec qui ils sont d’accord. Il ne faut pas oublier que nous vivons à
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s réformateurs, les forcer à prendre parti, je ne
sais
pas, moi, les engueuler ? Je vous dis ma première impression, puisque
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ent. Mais qu’est-ce qu’ils comprennent ? Allez le
savoir
, avec eux. On prêche pendant six ans la même chose, ils vous remercie
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pante. Voici : pour la première fois depuis je ne
sais
combien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la s
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ution d’une question précise. Grâce à Colette, je
sais
maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’a
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nquiets, des indiscrétions gênantes et dont on ne
sait
trop que faire, ou des doctrines dont ils négligent de nous dire s’il
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mode. Quant au peuple, il y a belle lurette qu’il
sait
ce qu’on doit penser des gens instruits. La plupart sont des égoïstes
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truit jouit d’une certaine considération sociale,
sait
se débrouiller à Paris et peut faire de beaux discours. Dans ces cond
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au peuple, on l’écoutera bien patiemment, s’il a
su
se rendre sympathique et surtout s’il a l’air « sincère », mais on n’
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Pour aider réellement un homme, il faut que j’en
sache
davantage que lui, mais il faut avant tout que je sache ce qu’il sait
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davantage que lui, mais il faut avant tout que je
sache
ce qu’il sait. Sinon mon savoir supérieur ne lui servira de rien. Si
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ui, mais il faut avant tout que je sache ce qu’il
sait
. Sinon mon savoir supérieur ne lui servira de rien. Si je persiste ce
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avant tout que je sache ce qu’il sait. Sinon mon
savoir
supérieur ne lui servira de rien. Si je persiste cependant à faire va
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ansformer et d’animer un peuple auquel on n’a pas
su
donner le sens civique, le sens de la communauté. Qui est-ce qui se p
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mple. Je connais tout de même assez la terre pour
savoir
que les mêmes outils ne sont pas bons en tous pays, et je cherchais q
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mbrables réformes aussi simples à opérer. Je n’en
sais
rien4. Je me borne à constater qu’ici les paysans travaillent trop, s
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n île. Il faut parler d’abord des autocars. Je ne
sais
si l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et des transfor
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eur rencontré dans l’autocar de Taillefer voulait
savoir
quel était mon métier. Et quand j’eus dit que je n’en avais aucun, et
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gnes, et ingénieux les plus balourds, enfin je ne
sais
quelle supériorité humaine, quel luxe d’énergie ou d’invention qui, s
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tardèrent pas à me rassurer. Plusieurs voulurent
savoir
si cela marchait vraiment là-bas, aussi bien que j’avais pu le laisse
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ux, c’est de parler du peuple en général. « On le
savait
depuis longtemps ». On sait tant de choses qu’on n’a jamais pris la p
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en général. « On le savait depuis longtemps ». On
sait
tant de choses qu’on n’a jamais pris la peine de connaître, chez les
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. « On nous laisse seuls, sans direction. Nous ne
savons
pas que lire. Le travail est dur, ici. Il faut lutter contre les pare
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cause de cette centralisation : qu’est-ce qu’ils
savent
de notre situation à Paris ? Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen de fai
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’autre extrémité de l’île. 3. Combien d’ailleurs
savent
que ce mot peut désigner autre chose qu’un « je m’en fichiste » ? 4.
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ans un terrain sablonneux ». Reste la question de
savoir
s’il est normal de se déformer le corps pour gagner un peu plus. Or i
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k pose très nettement la question : « Il faudrait
savoir
jusqu’à quel point nos songes nous appartiennent. » Quand nous rêvons
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leur fera-t-elle accumuler pour dire que rien ne
saurait
être dit… Et pourtant si, romantiques et mystiques sont persuadés que
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ui fit la Vie même. » Non sans lucidité, Moritz a
su
dépeindre l’état de conscience qui naît de cet obscur déchirement : «
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e civilisation matérielle demeure hanté par on ne
sait
quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine
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illes. Qui sont ces gens ? Elle dit : — Je ne le
sais
pas plus que vous. Ils sont dans la maison depuis deux ou trois jours
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sent les amis de Jim. — Mais où est Jim ? — Je ne
sais
pas. Il est parti. Jim était l’intendant, une sorte de géant toujours
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les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne
sais
pas recevoir ! dit-elle moqueuse. Voulez-vous que je vous joue du pia
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e constituante. Cour des droits de l’homme. — On
sait
qu’une Charte des droits de l’homme vient d’être adoptée par l’ONU. E
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ociés ». Il ne s’agit nullement de fomenter on ne
sait
quel nationalisme européen, mais au contraire de restaurer le rayonne
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ante. L’Europe se fera, en dépit des experts (qui
savent
toujours que c’est Dewey qui sera élu), parce qu’une équipe de vérita
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paradoxe couvre un sophisme. Car les journaux ne
sauraient
décrire l’opinion sans la modifier : ce sont eux qui la déterminent e
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, il faut le croire, pour que la presse n’ait pas
su
l’enregistrer, sinon par les oscillations que je viens de rappeler, d
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nces. Elle suivra ceux qui marchent, ceux qui ont
su
voir le but et qui ont osé lui donner son vrai nom : fédération. Les
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moins valable). On ne s’en étonnera pas, si l’on
sait
que les deux tiers des députés qui siégeaient à Strasbourg appartienn
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nvisible, d’un très petit nombre d’hommes qui ont
su
voir juste… » Il venait de découvrir l’Europe, ses limitations, son g
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chercher ici autre chose que ce que tout le monde
sait
: la tension fondamentale du monde occidental est, à l’origine, terna
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veau du monde moderne. À toutes fins utiles, nous
savons
assez bien de quoi nous parlons, quand nous parlons de l’Europe ou de
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ante ans plus qu’un dixième probablement. Elle ne
sait
pas encore. Mais ce qu’elle voit très bien, c’est qu’elle n’est plus
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ssière de petits États, dont les plus populeux ne
sauraient
plus prétendre un seul instant être à l’échelle des réalités modernes
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fatalement se transformer en contrôle, si nous ne
savons
pas en tirer parti d’ici deux ans ; tandis que l’autre empire dispose
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de la civilisation occidentale, la seule qui ait
su
couvrir toute la planète. Mais ce foyer fatalement s’éteindra si la p
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remplacer cette âme d’une civilisation qui avait
su
remplacer toutes les autres. Le secret de ses mesures vivantes sera p
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e des idées, des personnes et des œuvres, et l’on
sait
ce qu’il en est aujourd’hui à cet égard. La condition nécessaire, sin
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nant, dans le domaine de cette culture dont on ne
saurait
trop répéter qu’elle est le vrai, le seul secret de notre puissance,
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qui se voit attaqué par les propagandes que l’on
sait
. La nécessité se fait donc sentir d’un organisme dont la raison d’êtr
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ommes donc point en situation de neutralité. Nous
savons
où sont nos alliances. 13. Tels que le Collège d’Autriche, la Deutsc
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bassin, et d’espèces de garages ou étables, on ne
sait
, aux larges portes à barreaux : les temples. Au fond de l’ombre, un a
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r lisait quelques extraits à ses disciples. Je ne
sais
si j’ai rien vu de plus touchant, ni jamais un groupe d’hommes plus d
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Mais un vrai ou un charlatan ? — Comment peut-on
savoir
. Il y en a tant. Il marchait lentement, à grands pas importants, préc
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té approche. ⁂ Accroupis au bord du chemin, on ne
sait
jamais, me disait M…, s’ils sont dans la posture de l’adoration ou ce
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geste, un cri. Rien ne se passe. Ou plutôt, je ne
saurai
jamais ce qui, de toute évidence envoûtante, se passe ici, sans manif
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ortes de domestiques des temples, utiles par leur
savoir
des rites de la naissance et de la mort, mais fort inférieurs aux bra
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ches, de zébus et d’autos, allant ailleurs, on ne
sait
où, mais on ne peut s’empêcher de se le demander, et d’eux seuls dans
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résente de l’homme occidental, tourmenté comme on
sait
par mille complexes, sexuels surtout. Qu’en est-il en Inde ? Les Indi
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s ou fellow-travellers… » Un diplomate : « Nul ne
sait
ce qu’il va faire. Il suit surtout la ligne de ses humeurs. L’autre j
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sa main posée sur un coussin, sans réagir. Je ne
sais
pourquoi je me suis demandé, à ce moment-là, s’il pensait en hindi ou
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icité. (Nous laissons sans réponse la question de
savoir
s’ils devraient être des Staline ou des Einstein, des Nehrus politiqu
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er. Elle n’est pas équipée, ni entraînée. Elle ne
sait
pas quel camp choisir. Comme on comprend que Nehru, qui doit « jouer
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confessions majeures et trente-six sectes, je ne
sais
combien de races variablement mêlées et de dialectes jalousement cult
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iller, etc.). Or, les critères d’un tel office ne
sauraient
être, évidemment, que ceux de la banalité morale la plus plate et la
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0. Un Collège peu voyant administre l’État, on ne
saurait
dire qu’il gouverne les Suisses, et c’est très bien. Mais dans le dom
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nées natives et par une volonté de rupture. On ne
saurait
lui reprocher cette nouvelle tactique conformiste, puisque c’est elle
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ès partielle n’a été entreprise jusqu’ici, que je
sache
. (Un jour, peut-être, j’essaierai de me rendre compte de ce que je do
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émanique Othmar Ammann, autant de Suisses qui ont
su
voir grand — mais pas chez eux. Lucien Febvre, admirable historien de
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olitique indépendante, au plein sens du terme, ne
saurait
être soutenue à la rigueur que par la Chine, l’URSS et surtout les US
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nérale au sens traditionnel et l’acquisition d’un
savoir
professionnel souvent d’autant plus rentable qu’il est plus étroiteme