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ans l’un et l’autre cas, il s’agit bel et bien de
savoir
quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mi
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urdes et les plus insolubles, par exemple : il ne
sait
même pas pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfo
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sur le fait que la description qu’il va donner ne
saurait
être prise pour une explication. Je crains bien que cette modestie ne
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istoire. Que l’on réforme cette histoire, cela ne
saurait
être au détriment de la foi. Car l’office de la foi n’est pas de nous
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ndent notre vocation. La forme de ce monde : vous
savez
ce qu’elle est, et vous savez qu’elle est mauvaise. La forme de ce mo
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de ce monde : vous savez ce qu’elle est, et vous
savez
qu’elle est mauvaise. La forme de ce monde, ce sont toutes les puissa
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ut des semelles de leurs bottes. Leur en avant ne
sait
pas où il va ! N’est-ce pas ainsi que courent les fuyards ? Comment n
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eur qui vient bénir ce monde moralisé, dont on ne
sait
plus exactement s’il est encore profane ou déjà sanctifié. Je ne croi
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aucun parti ne m’attire davantage, et qu’aucun ne
saurait
m’apparaître, à première vue, plus conforme à notre espérance de just
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ous connaissons des chrétiens socialistes. Et ils
savent
sans doute mieux que nous ce que signifie pour eux le compromis entre
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rebut d’humanité dont les bas-fonds eux-mêmes ne
savent
que faire. Il faut lire l’effarante description de sa vie telle qu’il
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cité moderne est en crise, parce que personne n’a
su
ou n’a osé prévoir l’aboutissement matériel et moral de la révolution
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e du monde économique et financier. Tout le monde
sait
que la morale des affaires est à peu près le contraire de la morale,
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lisme. Chacun tire à hue et à dia, et personne ne
sait
où il va. Il n’y a plus de commune mesure entre la pensée et l’action
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s nés dans un monde où tout est en désordre. Nous
savons
ce que vaut l’aune de ce « pratique » qu’on nous propose. L’heure est
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le est la Parole de Dieu, et nous ne pouvons rien
savoir
de Dieu que par Sa révélation dans cette Parole. Le Saint-Esprit ouvr
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n moins conformes aux lois spirituelles : sans le
savoir
, sans oser se l’avouer, les chrétiens devenaient, en Europe comme ail