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ils sont étonnés de certaines de ses expressions,
sauront
comprendre le point de vue chrétien auquel il se place. »
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miers jours de la Réforme, la question se posa de
savoir
auquel des deux camps en présence son souvenir servirait de patronage
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re corporelle », il se bornait à dire : « Dieu le
sait
… » Rien d’étonnant non plus si, en 1522, un pamphlet catholique anony
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conserver l’ancienne foi des cantons : mais vous
savez
très bien que Zurich seule garde le souci de la vieille foi, celle de
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elle son pacificateur ? Le mérite-t-elle encore ?
Saura-t
-elle l’écouter ? Puisse du moins le souvenir de Nicolas de Flue nous
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econnaître que Luther est coupable de n’avoir pas
su
, dans l’espace d’une vingtaine d’années, dominer les fatalités german
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ir une. » C’est parce que Niemöller et ses frères
savaient
cela qu’ils ont résisté, qu’ils résistent. d. « “Dieu premier servi
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t, d’un conflit que nous jugeons mauvais. Reste à
savoir
si le conflit actuel est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur suffira
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d’esprit qui auront obtenu la victoire. Elles ne
sauront
la rendre féconde que si elles se laissent guider et inspirer par la
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ntisme, c’est celle du mouvement œcuménique. Vous
savez
que l’initiateur de ce vaste effort, qui tend à réunir toutes les Égl
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ent contrôle, il peut voir qu’on le vole, et vous
savez
de combien vous le volez : une vérité reste juge entre vous. Mais le
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orporel, le symbole ou le signe physique. Or nous
savons
que si l’homme peut pécher, c’est uniquement parce qu’il est libre, c
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dit à la femme : vous ne mourrez point. Mais Dieu
sait
que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous se
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es pas tenté d’aller dans la lune, parce que vous
savez
que c’est absolument impossible. Mais vous seriez probablement tenté
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ue Baudelaire peut écrire : « L’homme et la femme
savent
de naissance que dans le mal se trouve la volupté… La volupté unique
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, au sein de laquelle, ayant perdu son moi, on ne
sait
plus ce que l’on est en train de faire ou de dire, on ne sait plus ce
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que l’on est en train de faire ou de dire, on ne
sait
plus ce qui parle à travers vous, tandis que le sang court plus vite,
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on d’être une foule, et que personne peut-être ne
saurait
dire qui l’avait fait ou qui avait commencé, celles-là l’auraient eu
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a pas de Juge, que la Loi est douteuse, qu’on ne
saura
pas, et que d’ailleurs, une fois le coup réussi, on sera Dieu soi-mêm
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otre doute et déconcertante pour notre raison. On
sait
assez que le procédé favori de la Cinquième Colonne consiste à semer
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es tous coupables » (10 décembre 1943)o Chacun
sait
que les « primitifs » de la Mélanésie, victimes des plus célèbres étu
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révélé dans l’homme Jésus. Quelques-uns seulement
surent
reconnaître le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village.
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eu. Mais on n’invente que ce que l’on est sans le
savoir
. Ils ont donc inventé un « Dieu » qui était le moi conscient ou incon
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e. La seule question qui se pose encore, c’est de
savoir
comment elle se fera. Peut-être n’est-il pas mauvais que la conférenc
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e notre Mouvement européen lui soumettaient. Nous
savons
qu’elle les étudie. Puisse-t-elle se laisser inspirer par ce temps de
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qui ont vu le jour au cours des siècles, et vous
savez
comment la Suisse a su atteindre ces trois buts, en se fédérant il y
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rs des siècles, et vous savez comment la Suisse a
su
atteindre ces trois buts, en se fédérant il y a cent ans. Si l’on a b
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r nos yeux étonnés, la Terre promise !2 1. On
sait
que les dix pays fondateurs de l’union européenne préparent une Assem
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suite ! Presque tout reste à faire, il est vrai.
Sachons
du moins à quels grands buts lointains nous pouvons adresser nos vœux
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ser au philosophe que vous êtes : est-ce que nous
savons
pourquoi nous y allons ? Ce qui me frappe dans l’aventure d’« Apollo
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faut-il croire ? Les véritables motifs, on ne les
saura
que beaucoup plus tard, et ce ne seront pas les « bons » (les vrais)
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sur le trajet des nuages ou des maladies — je ne
sais
quoi d’inattendu aujourd’hui, qu’on ne cherche donc pas consciemment,
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lonté, un désir éperdu que la vie continue. Je ne
sais
pas si c’est une espérance chrétienne, c’est quelque chose qui m’est
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C’est peut-être l’envie de vivre, une curiosité (
savoir
ce qui va se passer après), et c’est peut-être aussi l’espérance dont
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amment ! Il faut s’éloigner de quelque chose pour
savoir
ce que c’est. En Amérique, il n’y avait rien sur la Suisse, alors j’a