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Certes, la réponse serait sage, si seulement vous
saviez
ce que vous dites. Mais, en vérité, que signifient pour vous le beau
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s êtes un profond pédant, dans cinq minutes je ne
saurai
plus voir s’il fait beau ou s’il fait vilain. Lord Artur. Je pense s
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. Je pense sérieusement que vous ne l’avez jamais
su
. Pas plus que vous n’avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou l
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l’avez jamais su. Pas plus que vous n’avez jamais
su
si vous préfériez le bonheur ou la tristesse. Vous ne savez pas où es
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ous préfériez le bonheur ou la tristesse. Vous ne
savez
pas où est votre bien. Et c’est pourquoi les mots vous paraissent sim
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eur d’un être. Ainsi tout est changé, mais peu le
savent
. Peu savent le chemin qui va du signe à l’être, le chemin de l’incarn
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e. Ainsi tout est changé, mais peu le savent. Peu
savent
le chemin qui va du signe à l’être, le chemin de l’incarnation. Longu
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t mon beau temps, le temps de la présence. Car je
sais
pour quel « bien » désiré je les aime. Pourtant je sais qu’à l’aube a
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our quel « bien » désiré je les aime. Pourtant je
sais
qu’à l’aube aussi, d’autres fois, je l’ai possédé… Maintenant, je n’a
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i créent ces types. Rubens ou Renoir, Ingres, que
sais
-je ? mes Lédas… Le mari. Vous n’allez pas vous en tirer à si bon com
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s il se tait peut-être définitivement, ou bien il
sait
qu’il aime. Vous me demanderez sans doute maintenant ce que font les
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te à votre approche, c’est plutôt parce qu’ils ne
savent
pas de quoi vous leur parlez. L’homme du bourg est ainsi fait : tout
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ailler, c’est déprimant, on tape dans le vide. Je
sais
un cas bien plus intéressant : le vôtre. Le cas peut-être unique de l
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posés. C’est pourtant ce que vous venez de faire.
Sachez
que je ne trouve pas ma femme jolie. Elle ne correspond pas du tout à
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r l’autre. Dans l’un et l’autre cas, il s’agit de
savoir
« ce qui convient ». Mais cette convenance embrasse-t-elle des images
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e dans nos films, copiaient sa tête comme vous le
savez
, et portaient les mêmes favoris. Cela ne l’empêchait pas de rester l’
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es passages, vous changez de ton et l’on voudrait
savoir
que vous le savez… Il me semble que vous manquez de méchanceté pour v
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hangez de ton et l’on voudrait savoir que vous le
savez
… Il me semble que vous manquez de méchanceté pour vos idées. Elles vo
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présentez, elles ont déjà votre complicité, je ne
sais
quel air de passion, un peu trop tôt, qui nous surprend… L’auteur. N
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s ! Vous êtes en train d’imiter ce héros de je ne
sais
quel album de Tœpffer, qui feint de feindre afin de mieux dissimuler.
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garanti par l’usage… Le critique. Hé quoi ! vous
savez
que tout notre langage est un système conventionnel ! L’auteur. Notr
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la nécessité de cette clarté. Pour ma part je ne
saurais
concevoir ni respecter d’autre nécessité en général que celle qu’impo
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Pour moi, c’est presque le contraire. Voilà : je
sais
que je suis dans la nuit. Je ne puis marcher que dans la confusion. M
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t l’indiquer comme au-delà d’eux-mêmes… ce que ne
sauraient
faire des arguments toujours fondés sur ce qui les précède. Voilà pou
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ute clarté. Il arrive que certains furieux, je ne
sais
quels extatiques ou esprits relâchés, s’abandonnent aux hasards de tr
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ère s’intéresser aux divers types humains. On lui
sait
peu de grés de sa curiosité. Cela ne serait rien, si elle-même ne le
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il n’est pas encore quelqu’un, Stéphane cherche à
savoir
ce qu’il peut être. C’est une autre manie de sa génération. Mais là e
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. Or la personne est un acte de foi : Stéphane ne
sait
plus ce qu’il est. Semblablement, il ne sait plus aimer. (Ces jeunes
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e ne sait plus ce qu’il est. Semblablement, il ne
sait
plus aimer. (Ces jeunes gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) C
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réponse, il répète à plusieurs reprises : « Je ne
sais
pas : je suis !… Je ne sais plus… mais tu es là ! » Un peu plus tard,
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rs reprises : « Je ne sais pas : je suis !… Je ne
sais
plus… mais tu es là ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand sol
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jours cru à cette fable, mais, dirait-on, sans le
savoir
. Chamisso, lui, s’en étonnera. Tel est le calcul de l’homme sans ombr
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le sentiment qu’il a d’être inférieur. Le diable
sait
cela : c’est par là qu’il le tient. Peter lui donne son ombre contre
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a s’écrie : « Oh ! mon pressentiment ! Oui, je le
savais
depuis longtemps, il n’a pas d’ombre ! » Que reste-t-il à un tel homm
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ence. En tout pareil aux autres, sauf en ce je ne
sais
quoi qui n’est rien et qui est l’essentiel, notre philistin méconnu s
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chizoïde ». Chamisso, heureusement pour lui, n’en
savait
rien. Il savait peut-être autre chose. Tentative d’interprétation
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isso, heureusement pour lui, n’en savait rien. Il
savait
peut-être autre chose. Tentative d’interprétation Je reproche p
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ant ces remarques n’expliquent pas tout. Que l’on
sache
son secret le plus profond, le plus sacré, qui est le pouvoir de créa
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ne des gloires du romantisme allemand que d’avoir
su
élever les faiblesses de l’homme, et quelques-unes de ses plus folles
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uvé de lui-même : s’il a fait Schlemihl, comme on
sait
, en grande partie à son image, il en diffère toutefois par ceci qu’il
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st le siècle présent qui n’a plus d’ombre : il ne
sait
même plus écrire sa Fable, il n’en veut plus, il veut du vraisemblabl
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erme. Tu n’entends que ce qui s’interrompt. Tu ne
sais
rien que tu ne perdes. Car ce n’est pas le savoir que tu veux, mais l
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e sais rien que tu ne perdes. Car ce n’est pas le
savoir
que tu veux, mais la divine connaissance du présent. Or cette connais
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dorment dans leur paix, et l’être enfin comblé ne
sait
plus où se prendre. Il se ramène en soi, se divise en ses ombres. Ain
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se aimée !… » Mais non, si c’était vrai, j’aurais
su
t’arrêter. Le monde entier en eût été changé à l’instant même, sans q
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peu trop personnelle, et — comment dire ? — qu’il
savait
mieux que moi cette histoire que je lui contais. — Permettez, dit-il
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nt, que je vous réponde par une confession. Je ne
sais
d’ailleurs ce qu’on peut en conclure pour ou contre vos théories. Au
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t, bien en face. Aucun doute n’est possible. Elle
sait
. Monsieur, je puis garder un secret d’État, vous le savez, mais je ne
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onsieur, je puis garder un secret d’État, vous le
savez
, mais je ne suis pas de ceux qui peuvent supporter un mensonge dans l
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sait encore, je lui ai demandé comment elle avait
su
. Alors elle m’a tendu une lettre par avion, arrivée pour moi le matin
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s il ne trouvera pas. Il est Don Juan parce qu’on
sait
qu’il ne peut pas trouver, soit impuissance à se fixer, soit impuissa
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Qui donc se ferait tuer pour une vertu dont on ne
sait
plus quelle est la fin ? Et toutes ces vérités qu’ils respectaient, v
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ois vérités se sont rendues, et pas une seule n’a
su
le retenir. Qu’importent les « contradictions » ! Ce n’est pas pour b
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grande source d’iniquité et de mal ! Le prochain,
sais
-tu, ce sont les paysans de Kiew, que tu rêves de combler de bienfaits
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tions comblaient exactement. Mais notre gloire ne
saurait
être mesurée : c’est une rumeur, c’est une publicité, une espèce d’in
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Il y a là quelqu’un qui a de la valeur ; on ne le
sait
pas. La gloire moderne, c’est à peu près l’inverse. Mais ne serait-ce
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louir, vous que j’aime et qui me connaissez. Vous
savez
ce que je suis, et si vous appreniez un jour que j’ai de la gloire, q
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vous alors d’essentiel que dès maintenant vous ne
sachiez
? Ou c’est que vous vous tromperiez, croyant par d’autres ce que vous
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m est : mensonge, que je voudrais la gloire et ne
sais
pas pourquoi ? Ou n’ose pas savoir pourquoi… Ce que je n’ose pas savo
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la gloire et ne sais pas pourquoi ? Ou n’ose pas
savoir
pourquoi… Ce que je n’ose pas savoir est angoisse. Angoisse est le no
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Ou n’ose pas savoir pourquoi… Ce que je n’ose pas
savoir
est angoisse. Angoisse est le nom du secret que je sers sans oser le
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ret que je sers sans oser le servir, parce que je
sais
que son nom est mensonge, et que c’est moi — qui ne suis rien. Ainsi
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ans le temple de Jupiter. Les quelques-uns qui le
savaient
étaient exclus de la compétition par leur science même : on exigeait
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en décidé à montrer aux gens de la ville ce qu’il
sait
faire. Entre les cornes de l’autel et le timon du char, le voilà qui
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rut, par Jupiter ! il n’est pas encore né ! On ne
sait
rien du règne de Gordius. Mais le nœud qu’il noua devint célèbre. Un
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fruit qu’il a noué, il devient graine. Celui qui
sait
comment se fait un nœud, sait aussi comment le défaire, et le refaire
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t graine. Celui qui sait comment se fait un nœud,
sait
aussi comment le défaire, et le refaire : il détient le secret du pou
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bjet devant moi indubitable, et que la science ne
saura
vérifier ni dénouer, faute de pouvoir le répéter selon la recette ? I
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r d’église, se met à faire une allocution, car il
sait
que cela le fait pleurer… Mais Flachs, maintenant, a fermé les yeux.
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z bien l’étrangeté de la mort des autres, cela ne
saurait
en aucun cas se dire de sa propre mort, de la mienne. Et non plus, à
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utôt qu’il ne nous avertit de son but. Si l’homme
savait
un jour ce qu’il en est de son destin et de sa liberté, s’il voyait à
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nce à choisir sans retour. Vivre est impur, qu’on
sache
ou non où va la vie, et c’est pourquoi les bonnes raisons n’expliquen
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ger les buts réels de notre marche séculaire. Que
savons
-nous du sens de notre civilisation ? Quelle est sa fin, dès l’origine
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nt la même proximité méprisante… Mais la majorité
sut
garder l’air de ne pas croire à sa mort proche, cet air petit. On en
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— « et toutes ses prières perdues ! » — mais ils
savaient
que rien ne peut finir tout à fait et à jamais qu’au prix de cela jus
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es nuits, de ses pensées et de ses gestes, de son
savoir
, de ses refus, de ses aveuglements, de sa tendresse. C’est ainsi que
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inalement, murmuraient d’une voix faible : — Vous
savez
sans doute mieux que moi. Ils renaîtraient plantes heureuses, par l’e
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endre le choral d’une angélique hilarité. Et nous
sûmes
que cet homme était très grand.) Troisième jugement ou le pardon
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le sang. Les humeurs, comme on dit, est-ce qu’on
sait
seulement ce que c’est, les humeurs ? C’est toujours dans les villes