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vous êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que l’on
sache
. Quand vous y serez, il sera temps de voir si la prudence, ou au cont
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on avis, de commencer l’Europe par le toit. Je ne
sais
pourquoi, ni ce qu’il veut dire exactement ; mais cave ou toit, chacu
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oir de ses yeux. Et plusieurs d’entre vous, je le
sais
, s’en affligent. (On peut penser que ce n’est pas suffisant.) Aujourd
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t la grandeur d’une liberté nouvelle. Que vous le
sachiez
ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les
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isation que rien ne s’offre à remplacer, et qui a
su
remplacer toutes les autres. D’où vient, Messieurs, que le cap de l’A
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retransmis de Salzbourg. Voilà ce que l’Europe a
su
faire. Toute la musique est née du contrepoint de l’Europe. Vous êtes
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e, ou qui peut‑être vous écrase. En vérité, je ne
sais
comment j’ose vous parler, si ce n’est par angoisse et en dernier rec
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: étatiser les industries ; un seul pays qui ait
su
le faire : la Grande-Bretagne ; et ce pays n’est pas européen. En eff
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ue politique et nos intérêts économiques… » Je ne
sais
ce que les Hindous, les Boers, les Canadiens français et même les Irl
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en, en fait, car selon sa brochure, ce minimum ne
saurait
être envisagé que s’il n’affecte pas les intérêts anglais, et que si
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: qu’une Assemblée sans majorité travailliste ne
saurait
être tolérable que dans la mesure où elle reste impuissante — d’où le
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mais c’était il y a trois-cents ans. Personne ne
sait
très bien, en somme. On essaie de nous dire que l’opinion y tient. Qu
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t que « l’Europe sera socialiste ou ne sera pas »
savent
très bien qu’à ce prix elle ne sera pas. Voilà l’ennemi, et non point
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L’Opinion, par exemple, n’est pas mûre, et chacun
sait
qu’on ne peut rien faire sans elle. » C’est qu’ils se prennent pour l
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à renforcer le sentiment d’une Solidarité qui ne
saurait
nuire à « l’avènement d’une union plus intime entre ses membres ». Le
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polémique européenne, que nulle autre méthode ne
saurait
provoquer. La condition à la fois nécessaire et suffisante d’une tell
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urope divisée, devant toutes les menaces que vous
savez
: un régime social déficient, le chômage étendu, la ruine à bref déla
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é qui les dicte. Je ne vous écrirais pas si je ne
savais
très bien qu’une partie d’entre vous m’approuve, et qu’une autre ne d