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en soit de la question des origines dont nous ne
savons
encore à peu près rien. Quant à la méthode que je me propose, je l’il
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ymétrie, des antithèses qu’une sagesse supérieure
saurait
conduire à la synthèse. Je vois le danger. Mais il faut voir aussi qu
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tus majeures qui dénotent une union véritable : à
savoir
sa fécondité et sa durée. Une sagesse supérieure et vraiment unitive
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ymboliques ne peut manquer d’impressionner. On ne
saurait
la réduire à rien d’accidentel, de physique ou d’anecdotique. Car si
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hœurs. Messes de Mozart, Passions de Bach : je ne
sais
rien de plus européen, ni de plus véritablement communautaire. Nous a
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inexact s’il fait penser à « collectif », à je ne
sais
quoi d’organisé ou d’encadré. Je cherchais à dire autre chose. Kassne
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a de n’en rien faire, tout en confessant qu’il ne
saurait
attendre de ses vassaux une telle docilité. […] Et chaque Européen ép
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e se répand dans un monde où tout ce qui pense ne
saurait
le faire qu’en termes élaborés par l’hellénisme. La foi chrétienne va
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devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans
savoir
où il allait18. » L’homme de la foi sera l’homme en chemin, le viator
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», qui n’a pas ici-bas de cité permanente. Il ne
sait
pas, il croit. Il n’a pas, il espère. Il ne voit pas, il obéit. Et sa
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, d’une libre appréciation de la personne quant à
savoir
si l’acte exprime l’amour, s’il édifie. « Pourquoi, en effet, ma libe
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ai, aussi, que le monde occidental est parti sans
savoir
où il allait, comme Abraham quittant son pays ; sinon serait-il vraim
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, et de ne pas déclarer où l’on va, il est bon de
savoir
d’où l’on vient. Cherchant les origines de la notion de personne, don
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mesure fragile et menacé, mortel et ignorant, il
sait
qu’il n’est pas dieu, ne rêve pas de le devenir, mais se sent d’autan
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ns l’homme converti. Ces antinomies, en effet, ne
sauraient
être résolues qu’en vertu de la foi, dans l’amour, et par l’obéissanc
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déclare, — maladie mortelle de tout Ordre qui n’a
su
qu’encadrer l’anarchie ? Du pain ? L’État l’assure à ses clients doci
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sauver de la dissociation bien mieux que n’avait
su
le faire l’ordre impérial. Pourtant elle n’a pas suspendu le verdict
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ndamentale, originelle, de la Personne divine, ne
saurait
être résolue ni dépassée. Elle doit être assumée par la foi, au prix
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ée par aucune médiation théorique. La personne ne
saurait
être conçue, par exemple, comme une synthèse harmonieuse d’individual
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sme et de collectivisme, non plus que la santé ne
saurait
naître d’un heureux compromis entre la peste et le choléra. Mais le c
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iges aux yeux de l’Européen et d’un pathos qui ne
saurait
tromper, ils représentent dans notre Quête du Graal l’épisode du Chât
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pas de Juge pour ses crimes. Et dès lors qu’il se
sait
illégitime dans sa prétention à régner au nom de tous contre une moit
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à la mort par une complicité originelle. Nous le
savons
, ou du moins le pressentons. Mais nous reculons aussi devant l’imagin
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fi, l’homme dit : c’est trop pour moi, mais je ne
saurais
plus vivre et ressentir ma vie sans cet appel intime. Il pense alors
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. Ainsi toutes nos révoltes imitent, même sans le
savoir
, le dépit de l’amour qui dresse contre le Père les enfants qu’il n’a
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mble historique n’a jamais été converti, et il ne
saurait
l’être, en vérité, du seul fait qu’il n’est pas une personne. Mais le
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le ne l’était avant le xiie siècle. D’où l’on ne
saurait
conclure, en poussant à l’absurde, que l’incroyant moderne est plus «
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la psychanalyse ! Les auteurs qu’ils admirent le
savent
, et se gardent bien de toucher à l’idole, même s’ils n’y croient plus
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erme est promis à l’Histoire, encore que nul n’en
sache
« le jour ni l’heure ». Seule donc la négation réalisée du temps perm
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a vue que le Moyen Âge, loin de représenter je ne
sais
quel « âge d’or du christianisme » — comme on l’a ressassé depuis les
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tait sur celle du jugement dernier, « car nous ne
savons
ni le jour ni l’heure ». Et c’est pourquoi le progrès de la vision hi
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urvu d’origine et de but connaissable, on ne peut
savoir
son sens, mais seulement l’épouser, et l’on ne peut le penser qu’en s
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scrupule de conscience ou sursaut de belle âme ne
saurait
écarter cette conséquence, sans doute pénible, mais normale. Le re
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ù l’a plongé sa science par une mutation brusque,
saura-t
-il en tirer une liberté nouvelle ? Je céderais à la tentation que j’a
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choix fondamentaux. Car la question n’est pas de
savoir
« ce qui arrivera », mais de savoir dès maintenant ce que nous sommes
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n’est pas de savoir « ce qui arrivera », mais de
savoir
dès maintenant ce que nous sommes disposés à laisser arriver ou à fai
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et quelque chose de cet esprit d’exode dont on ne
sait
s’il procède davantage de leurs tribulations ou de leur foi. Quant au
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ord et son premier modèle : Abraham partit « sans
savoir
où il allait », obéissant à une vocation aussi obscure qu’impérieuse.
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me au cœur d’un Croisé… Il est bon de partir sans
savoir
où l’on va, mauvais de rêver des voies qu’on appellera divines : fabu
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tre du monde est dans l’homme Jamais Colón n’a
su
ce qu’il avait trouvé, et que c’était un Nouveau Monde qui ne portera
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, rien ne serait plus faux que d’en inférer je ne
sais
quel vieillissement de l’Occident. Restituer le néolithique n’est pas
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trouvons en marche comme Abraham qui partit sans
savoir
où il allait. S’il nous parle d’une Inde aux cités pavées d’or, sacho
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S’il nous parle d’une Inde aux cités pavées d’or,
sachons
qu’il pense à délivrer Jérusalem, qui est pour lui le centre du monde
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pu se produire en dehors d’une civilisation qui a
su
valoriser la matière et le corps, objets de la science, en même temps
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nier ? La seule question sérieuse reste alors de
savoir
de quelle manière la science, agissant dans nos vies, procède des opt
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posés mais en même temps vraiment valables. On ne
saurait
donc chercher la solution ni dans la réduction de l’un des termes, ni
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main (au prix des équivoques et des abus que l’on
sait
) il n’en va plus de même des couples gauche et droite, liberté et aut
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ianisme. C’est ainsi que Nietzsche, le premier, a
su
décrire la différence fondamentale qui sépare la science grecque de n
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ar des pensées spécieuses. Il exige de l’homme un
savoir
qui cependant paraît sans cesse se tourner en réquisitoire contre lui
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entre l’énergie et quelque « ondulation » d’on ne
sait
quoi, que la frontière intelligible s’est évanouie ; mais c’est aussi
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e se résolvait en une sorte de vide animé d’on ne
savait
trop quoi, sauf que « cela » restait calculable. « Une figure passagè
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science à la théologie La question se ramène à
savoir
qui décide, et qui détient la preuve de la réalité. L’Occidental moye
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t dans un « champ » au sein duquel agissent on ne
sait
quels archétypes formateurs… Le monde phénoménal n’est plus qu’une ap
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nous juge et pose nos limites, qui sont celles du
savoir
humain, mais elle pose en même temps l’existence de l’idée d’un Aille
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s nationaux. La question qui se pose est alors de
savoir
si l’Occident qui pense n’a pas pris l’habitude, depuis une cinquanta
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tion occidentale. Il s’agit, une fois de plus, de
savoir
si elle signale une impasse ou une crise de croissance, l’échec de l’
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et de l’homme, son vis-à-vis et son miroir. Il ne
sait
pas encore qu’il n’y voit que ses songes, et que les âmes des choses
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rent en jeu qu’après coup ? Le problème revient à
savoir
comment et pourquoi la technique a pris un brusque essor à tel moment
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visée que celle qui orientait leurs travaux. Nous
savons
aujourd’hui que le rêve des alchimistes n’était pas de faire de l’or
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humaine (conditionnée par les trois dominantes du
savoir
pur, de la puissance et du salut) dans le rôle d’un ingénieur créant
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hnique et la manière de s’en servir. Elle n’a pas
su
prévoir l’effroyable rançon qu’elle aurait à payer fatalement pour le
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que les libère subitement à ce degré-là ? Je n’en
sais
rien. Savait-on beaucoup mieux, aux environs de 1830, ce qu’allait pr
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ère subitement à ce degré-là ? Je n’en sais rien.
Savait
-on beaucoup mieux, aux environs de 1830, ce qu’allait produire la tec
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de facteurs matériels que j’aurais oubliés ou ne
saurais
prévoir, qu’en vertu de nos libres décisions. (Ce n’est pas l’inventi
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relative de cette invasion de la culture, nul ne
saurait
en préjuger : je dis seulement que tout y mène pour le meilleur et po
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res — en bénéficieront très certainement. Et l’on
sait
, d’autre part, que la passion pour l’occulte ne cesse de grandir dans
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politique, le cinéma, ou l’Art lui-même. Quant à
savoir
si cela représentera un progrès ou un risque nouveau, voilà qui nous
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vitaux ». Etc. 71. Cf. Ma Vie par Henry Ford. On
sait
que ce rêveur incurable, bricoleur sans culture ni génie, cherchait à
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sure de trancher la question confusément posée de
savoir
dans quel sens, bénéfique ou néfaste, vont se développer les conséque
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seul » et que pourtant il devrait être saint. Il
sait
que le péché consiste à être séparé de la Vérité vivante, et que tous
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grâce. Il est donc un inquiet perpétuel, mais qui
sait
les raisons de son inquiétude ; il sait qu’elle est normale, et non d
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mais qui sait les raisons de son inquiétude ; il
sait
qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est produite par
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cience avance. L’Oriental pose ici la question de
savoir
si l’Occidental ne préférerait pas la recherche à la pleine possessio
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ut temps des recettes d’immortalité89, dont on ne
sache
pas qu’aucune ait jamais réussi. L’Occident, lui, s’est contenté de m
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mais d’œuvres signifiantes. L’Orient l’a toujours
su
et devrait nous le rapprendre, au lieu de perdre sa vertu en nous cop
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utant, et son interdiction dans les deux camps ne
saurait
être considérée comme un acte réactionnaire. Le progrès suppose au co
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personne que nous pourrions être ? La réponse ne
saurait
dépendre d’une enquête. La personne n’est jamais mesurable : elle mes
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ligion de l’Empire romain, qui pour autant que je
sache
, n’a jamais suscité une seule vocation missionnaire. C’est donc moins
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les côtes des Indes, pendant un Moyen Âge qui ne
savait
même pas le nom de l’hindouisme, ni du bouddhisme, ni du tao93. Enfin
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adopter nos méthodes, et avec elles, mais sans le
savoir
ni l’assumer, un ensemble d’options qui ne sont pas orientales. Trans
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ues, ni même des sociologues. Le dialogue vrai ne
saurait
donc s’instituer qu’au niveau des options de base, qui sont d’ordre m
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par ce qui atteint les corps, dont les besoins ne
sauraient
être tenus pour primordiaux. Les vérités de l’Orient gardent donc leu
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la ! Qu’est-ce que cela prouve, sinon ce que nous
savions
déjà ? Serrons encore d’un peu plus près le malentendu, et la nécessi
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refuserait de la trouver lui-même, dès lors qu’il
sait
qu’il n’en est point de vraiment générale et transposable — il quitte