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e pays. J’en ai fait au moins deux moi-même. — Je
sais
. Je voudrais autre chose. Un livre à l’ancienne mode sur les paysages
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bablement la formule adéquate, dosant ce que l’on
savait
faire et l’attente supposée du public. Mais un livre, c’est bien autr
3
nts de seconde main — c’est tout cela que Reynold
sut
nous apprendre à voir, rajeunissant notre regard et balayant un siècl
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quant aux militants de l’union européenne, ils ne
sauraient
étudier d’assez près cette expérience de laboratoire poursuivie depui
5
me demeurent étrangères. « Personne ne peut tout
savoir
», comme le rappelait la devise de Nicolas Manuel, peintre, poète, so
6
t une réaction de « démocrates ». Un « libre » ne
saurait
être jugé par un bailli fraîchement issu de la servitude, et qui au s
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es intérêts de l’Empire et ceux de leur famille ?
Sait
-on jamais ? Rodolphe meurt à Spire, le 15 juillet. Quinze jours plus
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ature, aucune indication de lieu. Cependant, nous
savons
par un document de la même année, le 16 octobre — un premier traité a
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r l’édification future des enfants des écoles. On
sait
aujourd’hui que les chefs des communautés forestières recouraient aux
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i venaient d’Italie par le col du Gothard, et qui
savaient
rédiger les traités à la manière des ligues lombardes et des jurandes
11
e Schwyz, détaché de son ruban, a disparu.) On ne
sait
si les négociateurs des alliances ultérieures avec les Waldstätten on
12
, Schwyz et Unterwald fait mention d’une solde, à
savoir
d’un sou par jour à chaque homme de pied. Je ne puis songer à retrac
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tte brève analyse. On répète qu’une fédération ne
saurait
se former que par l’action d’un chef ou d’un État fédérateur, — ou bi
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s municipaux. Pour autant, le service étranger ne
saurait
être assimilé à un commerce, à une espèce de traite du sang. Les trou
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homme resté couvert et s’approchant de lui : « Je
sais
, dit-il, vous êtes M. de Pfyffer. Mais songez que je ne suis pas seul
16
’endroit des familles ou des hommes qui n’ont pas
su
dissimuler leurs ambitions ou simplement qui se « distinguent ». Cela
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dans la Constitution nouvelle. 2° « On ne pouvait
savoir
s’il ne faudrait pas une fois l’abandonner dans l’intérêt de l’indépe
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-cinq nations. On déclare que la grande Europe ne
saurait
se fédérer en quelques lustres, puisqu’il a fallu plus de six siècles
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i était la base de leurs alliances, faute d’avoir
su
trouver les moyens de sa fin, aboutissait à sa totale négation. Et la
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rages et de leurs préjugés bourgeois. Mais on ne
saurait
déduire de cette juste critique que l’ancienne Suisse devait tomber p
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dée de la Suisse en tant qu’État distinct : on ne
savait
trop, à l’époque si l’on avait affaire à un État bien cohérent ou seu
22
he une terre de liberté ! » Le Citoyen de Genève
sait
donc très bien ce que symbolise déjà le nom de la Suisse, lié au myth
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é au mythe de Tell45. Et le seigneur de Ferney le
sait
aussi, qui aime à signer « Le Suisse Voltaire », bien que ses terres
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n pas le rayonnement spirituel ; et l’étranger ne
saurait
s’y tromper : elle est évidente à ses yeux, même si ses propres peupl
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conflit avec l’un ou l’autre des empires que l’on
sait
. Le seul droit absolu qui reste alors entre les mains d’un chef d’Éta
26
lair qu’il entraîne des concessions, celles-ci ne
sauraient
être exigées ni consenties aux dépens de la nature propre des époux,
27
isan de l’union fédérale, déclare qu’il s’agit de
savoir
si la Suisse est un peuple, un corps politique, ou si, « exagérant le
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es communales. Avec un poète de l’histoire, qui a
su
nous faire redécouvrir derrière les façades officielles le vrai visag
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fait en général avec chaleur et bonhomie. Mais il
sait
que les temps ne sont plus ce qu’ils étaient, il connaît bien ses sta
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uerre de Trente Ans à laquelle les Ligues suisses
surent
échapper en se déclarant neutres. Et Neuchâtel enfin, principauté sou
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art, que la garantie des autonomies cantonales ne
saurait
pratiquement résider que dans la mise en commun de leurs forces. La c
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quelque humour, voire de malice). Tous les trois
savent
qu’ils sont Suisses, non pas à cause de quelque qualité commune, soit
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rs ne dépend pas directement des électeurs. On ne
saurait
imaginer magistrats plus démocratiques d’allure ni plus démunis de to
34
xercice garanti en temps normal, cette volonté ne
saurait
plus s’exprimer par des déclarations de principes : il faut en venir
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on ne l’imagine pas « suspendue à la radio » pour
savoir
ce qui se passe à Berne et si le gouvernement sera renversé : nous av
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lème ne me paraît pas d’essayer de rallumer on ne
sait
comment des passions désormais sans objet, de battre le rappel des pa
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on apprend le nombre des membres mais dont on ne
sait
ni d’où ils viennent ni où ils sont censés nous mener. Rien qui éveil
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leur est donnée par le service militaire. Chacun
sait
que l’armée suisse est une armée de milices : la Constitution interdi
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est vrai que les cantons à démocratie directe ne
sauraient
plus où tenir leur Landsgemeinde, si tout d’un coup les effectifs s’e
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s, de la lumière et de la propreté. Tout le monde
sait
que la Suisse est un pays propre, et même propret. Mais cette réputat
41
exemple, plus connu, illustrera ce phénomène. On
sait
qu’en 1964 l’économie suisse en était arrivée à devoir embaucher jusq
42
aux à raison de 85 % à 95 %. Aucun canton, que je
sache
, n’a protesté contre une pareille atteinte à sa souveraineté… Résulta
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sième, les gens chic parfois en seconde, et je ne
savais
rien des premières sinon qu’un morceau de dentelle ornait le haut de
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mais directs, sérieux et comme choqués par on ne
sait
quoi… ? Vous les soutenez d’abord avec curiosité, puis vous trouvez q
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raison. Quand on possède la pax helvetica, on ne
saurait
se montrer trop vigilant, je veux dire trop méfiant et même intoléran
46
confessions majeures et trente-six sectes, je ne
sais
combien de races variablement mêlées et de dialectes jalousement cult
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Miller, etc.) Or, les critères d’un tel office ne
sauraient
être, évidemment, que ceux de la banalité morale la plus plate et la
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0. Un Collège peu voyant administre l’État, on ne
saurait
dire qu’il gouverne les Suisses, et c’est très bien. Mais dans le dom
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nées natives et par une volonté de rupture. On ne
saurait
lui reprocher cette nouvelle tactique conformiste, puisque c’est elle
50
émanique Othmar Ammann, autant de Suisses qui ont
su
voir grand — mais pas chez eux. Lucien Febvre, admirable historien de
51
leur offre une commune mesure ; sans quoi l’on ne
saurait
parler d’une culture cohérente et distincte au sein de la culture hum
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de quatre autres nations. De même, l’allemand ne
saurait
définir une « culture nationale », étant la langue maternelle de popu
53
nations modernes. Mais il y a plus. La langue ne
saurait
à elle seule définir une culture : elle n’est guère qu’un des élément
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linguistique de leur État. Ils sont en mesure de
savoir
mieux que d’autres que la vie culturelle de leurs cités ne dépend pas
55
sorte identifiée, la question qui se pose est de
savoir
comment certaines cités ou certaines régions parviennent alors à se d
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ès grand nombre de combinaisons originales. On ne
saurait
être moins conforme aux devises des États totalitaires. On ne saurait
57
onforme aux devises des États totalitaires. On ne
saurait
être plus libre de se choisir, j’entends de se faire homme à sa maniè
58
éorie de la relativité restreinte. Zurich n’a pas
su
retenir ce jeune génie d’allure tranquille mais peu professorale. Il
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arrête : délibérément subjectif. Car je cherche à
savoir
ce qui me retient dans ce que des Suisses ont produit, et quel est le
60
’assurés ». Sérieuse et impétueuse comme ceux qui
savent
que la vie n’est pas le but de la vie, qu’elle ne mérite pas de majus
61
aurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains
savent
et disent à leur manière que « de demain rien n’est certain ». Mais c
62
acé, ce n’est point la jeunesse et l’amour, je ne
sais
quel printemps platonicien, c’est la vie savoureuse et forte qui figu
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nes-en une part à sept, et même à huit, car tu ne
sais
pas quel malheur peut arriver sur la terre. » Le secret de la vie gén
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Manuel, et de plusieurs à son époque, est d’avoir
su
conduire leur vie vers un but qui transcende toutes nos activités. Fo
65
NKAW, ce qui veut dire : « Personne ne peut tout
savoir
» (Nieman kan ails wüssen, dans l’allemand du temps). Comme pour s’ex
66
er, comme s’il croyait au fond qu’on devrait tout
savoir
, et que pourtant… C’est la passion de la Renaissance, si l’on veut. J
67
ne unité de sens spirituel, inaccessible à tout «
savoir
» aussi vaste qu’on l’imagine. Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la
68
de malade, peint avec la véracité d’un homme qui
sait
exactement ce que vaut une vie d’homme devant Dieu. ⁂ Conrad Witz pe
69
critiques français l’ont ignoré longtemps : je ne
sais
s’ils répareront jamais cette injustice. Reste qu’il touche les Suiss
70
Jean Tinguely, Fribourgeois élevé à Bâle, chacun
sait
qu’il compose de grandes machines qui ne produisent rien ou qui se dé
71
en avant cet ironique retour des choses, il avait
su
créer autour de lui tout un pays, plus vrai que ne le croyait son peu
72
fit de ce village le centre de tourisme que l’on
sait
. On lui doit également un recueil de Rimas Romaunchas (Rimes Romanche
73
littéraires, ils se sont longtemps disputés pour
savoir
qui, d’Apollinaire ou de Cendrars, avait pastiché l’autre ou l’avait
74
’y a pas de peuple chrétien » puisque chrétien ne
saurait
désigner que l’individu « comme seul au monde » et voué à l’« extraor
75
ès partielle n’a été entreprise jusqu’ici, que je
sache
. (Un jour, peut-être, j’essaierai de me rendre compte de ce que je do
76
i tenté de caractériser. Toute la question est de
savoir
si elle saura les renouveler ou en trouver l’équivalent futur, face à
77
ctériser. Toute la question est de savoir si elle
saura
les renouveler ou en trouver l’équivalent futur, face à des exigences
78
mais secrète. Je nageais en pleine utopie, je le
savais
, et j’écrivais de l’utopiste : « Sans lui, l’humanité s’avachirait to
79
rmes cultuelles, chez les protestants suisses, ne
saurait
être attribué à la seule influence de Zwingli. Il traduit d’une part
80
nts. Mais, Dieu merci, la religion des Suisses ne
saurait
être mesurée à ces manifestations extérieures. Plus morale que rituel
81
iconque s’est jamais trouvé au chevet d’un malade
sait
ce que je veux dire. Un homme de cœur a besoin qu’on lui pardonne de
82
venir qu’elle représente pour une Europe qui n’en
sait
rien encore ! Je ne conçois pas d’autre remède à ses névroses de pros
83
dances centralisatrices de Cluny. Chaque abbaye a
su
maintenir ses droits et conserver sa physionomie propre, façonnant ai
84
xemplaires » ; mais on ne cesse d’innover sans le
savoir
, et soudain l’on débouche en plein avenir, parce qu’on n’a pas lâché
85
mpires neufs. Toute la question se ramène alors à
savoir
quelles formes d’union les Européens vont choisir. Trois formules leu
86
qu’au niveau des discours, cette Europe minima ne
saurait
être qu’une forme de transition tactique vers une union plus sérieuse
87
vegarder les diversités de l’Europe, voilà qui ne
saurait
être réalisé que par l’union de type fédéraliste. L’exemple de la Sui
88
de Napoléon et d’Hitler ont avorté, au prix qu’on
sait
, mais rien ne prouve que les moyens modernes, manipulés par le Kremli
89
xemple de la Suisse… On s’écrie aussitôt qu’il ne
saurait
être question d’imiter ce modèle, ridiculement réduit, à l’échelle de
90
ntrer sans réserve dans le Marché commun, elle ne
saurait
justifier ce refus par des motifs juridiques et des prétextes tirés d
91
rès haut de nos traditions savent bien que chacun
sait
qu’il s’agit d’intérêts et que c’est le fait de maintenir ou d’augmen
92
ux ». Et quant aux enthousiastes de l’Europe, ils
savent
qu’ils n’ont aucune espèce de chances d’être écoutés s’ils proposent
93
qui entend garder une raison d’être. Il s’agit de
savoir
et de dire ce que nous avons à donner, et non pas seulement à sauver
94
ni même par l’opinion publique mal éclairée. (Qui
sait
vraiment ce que signifie le fédéralisme ?) — d’exonérer la Suisse du
95
une à tous nos peuples et les diversités que l’on
sait
, le District fédéral ne saurait être, lui non plus, une création synt
96
diversités que l’on sait, le District fédéral ne
saurait
être, lui non plus, une création synthétique édifiée sur un terrain v
97
eutre au surplus. Nul projet mieux que le mien ne
saurait
la servir ! Il ne suppose en somme qu’une seule initiative, qui mettr
98
utés de nature, à des bontés humaines que nous ne
savions
plus discerner. Amour des choses, des paysages, des accents, révélati
99
s étonnés, pour me voir contraint de l’admettre.
Saura-t
-elle un jour l’exprimer par le verbe, l’œuvre ou l’action, sinon le c
100
r l’intermédiaire de cette organisation. 145. On
sait
que jusqu’à ces dernières années, les citoyens du District fédéral de
101
ciennes ? C’est ce qu’on a longtemps admis. On le
sait
aujourd’hui, ces traditions ne sont pas suisses, elles sont nordiques
102
féodal qui firent le Pacte primitif, et dont ils
savent
moins que rien ; mais on ne saurait douter que la figure de Tell soit
103
f, et dont ils savent moins que rien ; mais on ne
saurait
douter que la figure de Tell soit fidèle à leur idéal, puisque c’est
104
e n’est pas hexagonale, l’hexagone étant comme on
sait
la seule forme naturelle que puisse prendre une nation digne de ce no
105
ur l’avertir d’un danger qu’elle courrait sans le
savoir
? Par goût de la vérité en soi, étant admis que la stabilité suisse n
106
té en soi, étant admis que la stabilité suisse ne
saurait
être à priori qu’une façade trompeuse ? Ou simplement parce que la mo
107
x yeux de l’intelligentsia bien-pensante que l’on
sait
. ⁂ J’ai écrit ce livre à la demande d’un éditeur de Paris pour un pub
108
re planétaire bleue, verte et blanche, nous avons
su
que la Terre était notre patrie. Et de sentir que nous pourrions déso
109
s principes (malgré tout) dont s’inspire (sans le
savoir
) notre empirisme élevé à l’état de vertu, que dis-je, de mystère init
110
dès l’école primaire pour les résultats que l’on
sait
— trente-huit-millions de morts en deux guerres dites « mondiales » —