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olitique indépendante, au plein sens du terme, ne
saurait
être soutenue à la rigueur que par la Chine, l’URSS et surtout les US
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nérale au sens traditionnel et l’acquisition d’un
savoir
professionnel souvent d’autant plus rentable qu’il est plus étroiteme
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x, puis par Lénine avec les conséquences que l’on
sait
jusque dans l’existence quotidienne de 700 millions de Chinois qui se
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erait leur force ; mais en retour, cette union ne
saurait
être acquise au prix des libertés qu’elle est censée servir. Rien de
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ue pourtant personne ne fait ? Eh bien, chacun le
sait
, rien n’est moins mystérieux : l’obstacle à toute union possible de l
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topie catastrophique, mais dont la réalisation ne
saurait
être exclue pour autant. Au contraire, si nous donnons pour finalité
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existant quand on voudrait compter sur lui. Je ne
sais
, n’étant pas économiste, si nos États-nations délimités pour la plupa
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cle, des entités économiques intelligibles. Je ne
sais
si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle
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ds que pose leur balance commerciale (laquelle ne
saurait
être positive, me semble-t-il, dans tous les pays à la fois…) ne sont
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correspondent à rien d’économique. Mais ce que je
sais
de science certaine, c’est que les États-nations n’existent pas dans