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à le poser. Il ne serait pas mauvais non plus de
savoir
si l’on cherche, en lisant, un passe-temps, un vertige ou une réponse
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nt ? Mais je m’avise d’une espèce d’équivoque,
sait
-on jamais, qui pourrait s’insinuer dans l’esprit du lecteur. C’est un
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le toujours, tu as la force pour toi, mais moi je
sais
le sens des mots et leur valeur ! » — Non, non, nulle ironie dans la
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rants.) À quoi sert encore de parler, quand on ne
sait
plus très bien ce que parler veut dire ? J’entends : quand tout le mo
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l’honnêteté d’une déduction, même subversive, me
saura
gré de reprendre un à un ces tumultueux considérants, dans un rythme
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culté qu’il y a à définir simplement la culture ?
Sait
-on bien de quoi il s’agit quand on dit : la culture se meurt, ou : il
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e. Le sens du passé n’apparaît qu’aux yeux de qui
sait
voir les aboutissements actuels dans une perspective ouverte ; celle
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anisatrice. Et non pas cette raison que les Grecs
savaient
mystérieuse, mais au contraire une raison ennemie de tout ce que le x
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onstituée. Elle fait siennes les lois dont elle a
su
forcer le secret. Elle n’en veut point connaître d’autres. Bien plus,
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de composer longtemps avec les illusions qu’elle
sait
utiliser dans la période conquérante. Diderot amuse, on ne veut voir
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outefois la décision n’appartiendra qu’à ceux qui
sauront
incarner la collusion intéressée des deux « raisons » que le vocabula
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istes — à la fois démagogues et philosophes — qui
saura
vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’est elle qui g
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l’on déduit des choses par une science exacte, on
saura
le réduire par la force à une vision plus « objective » du monde. Le
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dieu-tyran que l’orgueilleuse raison des hommes a
su
créer à son image. ⁂ Considérons maintenant le sort que le détermini
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de la commune mesure régnante. Mais un exemple ne
saurait
suffire quand il s’agit d’un phénomène aussi complexe, en apparence t
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é, c’est-à-dire à son but suprême. Encore faut-il
savoir
, me dira-t-on, si ce télos lui-même est vrai. Et certes, l’absolue vé
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il se lève et qu’il tombe avec son ministère. Que
savons
-nous de ces tribus infimes ? Leurs annales sont celles d’une puissanc
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qui, le premier, déclare que l’idiome italien ne
saurait
convenir qu’aux « inepties vulgaires », qu’il voudrait voir ignorées
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sent. Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne
sais
même pas s’ils savent qu’il y en a une. Alice au pays des merveilles.
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pas la règle du jeu et je ne sais même pas s’ils
savent
qu’il y en a une. Alice au pays des merveilles. On peut penser que n
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ntion admise par tous les clercs européens. On ne
saurait
en dire autant du langage de nos bons écrivains. Car non seulement il
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unanime, nous les cherchions en vain, et sans le
savoir
, dans la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif, une nosta
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. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il
sait
ce qu’il faut penser des prêtres. On lui donnera donc autre chose : l
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e simple superstructure du dynamisme matériel. On
sait
à quel échec conduisit cette théorie, étroitement respectée aux début
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d’une fin à laquelle tout doit s’ordonner. Je ne
sais
si dans l’histoire universelle, on trouverait une mesure commune qui
26
t si nous sommes de mauvaise humeur, c’est qu’ils
savent
pourquoi ils travaillent et que nous l’ignorons généralement ; c’est
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blèmes spirituels. Toute la question est alors de
savoir
si nous les aurons résolus, dans nos catégories occidentales. Sinon,
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étros, et ses diverses « réalisations ». Mais que
sait
-on de l’œuvre inaugurée par la révolution nationale-socialiste ? À pe
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ion nationale-socialiste ? À peu près ce que nous
savions
de la Russie vers les années 1920 : ce qu’en rapportent quelques jour
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réglé d’abord l’action, et l’action de masse, ne
saurait
être, pour des raisons techniques, qu’un schéma. Toute propagande est
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« réalités » que les doctrinaires du Parti auront
su
faire admettre comme « scientifique ». Valeur du travail : Elle es
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olemment le parti soviétique des sans-Dieu, on ne
saurait
nier que le Dieu qu’il sert est immanent aux intérêts du Volkstum, et
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le niveau culturel des moujiks étant ce que l’on
sait
au départ, on a pu se contenter pendant longtemps d’appeler culture c
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nt, et dix morales contradictoires dont aucune ne
sait
plus, ou n’ose plus avouer à quelle fin elle conduit ses adeptes. Si
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ulé la question, de dix ans ou d’un siècle, je ne
sais
; mais ce que je sais, c’est que tous nos pays se trouveront un jour
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x ans ou d’un siècle, je ne sais ; mais ce que je
sais
, c’est que tous nos pays se trouveront un jour futur en face des même
37
s nous enseignent. Toute la question est alors de
savoir
si nous saurons utiliser ces avantages, et le temps de réflexion ou d
38
foi Parmi toutes les mesures que les hommes ont
su
donner à leurs pensées et à leurs actes, certaines ont perdu leur pou
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telle qu’il n’en pourra jamais remonter. Reste à
savoir
si nous voulons des réponses simples et faciles, ou bien la vérité qu
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le Führer, ou le Parti. Or, tout le monde sent et
sait
très bien que ce mot n’est pas le dernier mot de notre vocation humai
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ère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne
savent
trop que faire de cette liberté dont elles se vantent. Elles s’en van
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n, si l’on veut prendre ou garder le pouvoir. Qui
sait
même si cette crainte, comme tout vertige, ne cache pas une secrète a
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ison, l’individu, et la science cartésienne. Nous
savons
aujourd’hui que la raison n’est pas un idéal, mais un outil ; que l’i
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mune, communautaire. La puissance de cet appel ne
saurait
être comparée qu’au soulèvement de la Renaissance, à la montée de la
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istait depuis plusieurs siècles, ces religions ne
sauraient
combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse nécessaire. E
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ligions dont le but est la force commune. Ils ont
su
se créer des symboles grandioses. Ces symboles nous paraissent « barb
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ns forment l’opinion, sans aucun doute, et ils le
savent
. Toute l’opinion du monde en est à peu près là, que la pensée ne peut
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mains faites pour prendre et peser. Des mains qui
sachent
, qui accomplissent et qui sculptent ; des mains qui créent. Les mains
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er jamais qu’au bien d’autrui. Ce qu’il a pris ne
saurait
être à lui : il est hors de pouvoir de se l’approprier. L’érudit et l
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et le citateur59 profiteur de grandeurs qu’ils ne
savent
pas marquer, mais tout juste ternir de leur empreinte. D’où vient
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e, qui est celle qu’initie le cerveau lorsqu’il a
su
en concevoir la fin. La main n’est rien que l’instrument qui réalise
52
iste autour de nous, et nous en elle sans trop le
savoir
peut-être, c’est parce qu’elle affecte l’existence même de la pensée,
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’engagent volontairement dans une carrière qu’ils
savent
malfaisante. D’où vient qu’une bonne partie des critiques les plus ju
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officiels (examens, diplômes et titres) qu’on ne
saurait
définir aisément parce qu’il est fait d’une foule d’éléments précis,
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al à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le
sait
, où l’idéal a su se rendre obligatoire : il y a les examens, les conc
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dans un ordre de choses, on le sait, où l’idéal a
su
se rendre obligatoire : il y a les examens, les concours, les postes
57
seurs une question bien directe et simple, ils ne
sauront
que vous répondre, ils n’arriveront jamais au oui ou au non, au choix
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ler — le signe d’une angoisse très humaine, je le
sais
, et d’ailleurs plus bourgeoise qu’hamlétique, mais qui entrave et déc
59
s tant d’autres, pour ridicules qu’ils soient, ne
sauraient
constituer une atteinte bien grave à l’intégrité de l’esprit. Les for
60
e bien grave à l’intégrité de l’esprit. Les forts
sauront
toujours se délivrer de telles gênes, etc. » Il existe quelques raiso
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par exemple nous condamner Pascal au nom de je ne
sais
quelle arithmétique, d’un autre, Nietzsche au nom du petit Liré, d’un
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hie inverse de celle qu’on révérait, sans trop le
savoir
d’ailleurs. Plutôt que de reconnaître cette inversion, on préféra ne
63
livrée ? Cela se sent, à de petits riens, à je ne
sais
quelle affectation de modestie… à je ne sais quelles insolences, en p
64
e ne sais quelle affectation de modestie… à je ne
sais
quelles insolences, en passant, quand il s’agit de travailleurs indép
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monde qui s’incarne le moins ; les plus primaires
savent
cela. Dogme nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de
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ue nos bons libéraux voudraient attribuer à je ne
sais
quel satanisme dont ils se sentent bien incapables. Ainsi les confusi
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tte irréalité si rassurante, si bourgeoise, on le
sait
de reste79. Par quel détour une éthique fondée sur l’inactualité des
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forment l’homme… » Qui sont ces autres ? Nous le
savons
maintenant : ce sont ces lois nées du dessaisissement de la pensée. O
69
, je me dresserai contre lui et contre moi, et je
saurai
forcer mes mains cruelles et joyeuses sur leur prise solide, et je le
70
dge en Argentine (cet ouvrage a été fait) si l’on
sait
utiliser la méthode définie par l’école historique de la fin du xixe
71
nce pas dans une ignorance qu’il faudrait muer en
savoir
, mais dans un savoir qui exige sa réalisation ». Phrase cardinale, do
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rance qu’il faudrait muer en savoir, mais dans un
savoir
qui exige sa réalisation ». Phrase cardinale, dont je n’espère même p
73
pension du jugement. Mais il s’agit bien moins de
savoir
où la pensée commence, que de savoir où elle se manifeste réellement,
74
ien moins de savoir où la pensée commence, que de
savoir
où elle se manifeste réellement, comme une force qui pèse et pose une
75
endre toujours moins intelligent. Quelques-uns me
sauraient
gré sans doute de jouer le jeu facile, et toujours trompeur, des exem
76
jamais à rien d’actif. Mais la raison pourtant ne
saurait
être exclue de l’activité : elle ne suffit à rien, mais elle est néce
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dis pas que ses victimes n’y croient pas, mais je
sais
qu’on ne croit aux faux dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel
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dans le conflit.) Une pensée tendue vers l’action
saura
seule donner forme aux réalités obscures que dénudent au fond de nous
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t ils ont cependant la faiblesse d’attendre on ne
sait
trop quelle renaissance de l’esprit. Autrement dit, ils pensent que l
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e sera jamais que servitude pour le penseur, s’il
sait
que la violence de sa pensée fonde la seule autorité valable. La libe
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drait rien de nouveau sur l’homme. Eh quoi ! n’en
saurait
-il pas assez pour agir ? pour faire son métier d’homme avec ce qu’il
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plutôt ce qu’ils peuvent faire avec le peu qu’ils
savent
! Et je pense qu’à ceux-là seuls il est donné ce qu’ils ne cherchaien
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e langage et l’expression en général. Le souci de
savoir
ce qu’on dit est un des moindres de l’époque. Il paraît même décroîtr
84
ntre le péché même, en son principe, lutte qui se
sait
sans fin dans cette vie, et dont la mesure n’est jamais dans aucun ré
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le a vue. Car la pensée qui agit, c’est celle qui
sait
où elle va. Septième vertu : l’imagination En somme, la questio
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e, ce que l’on fait vrai. La probité technique ne
saurait
donc suffire, si elle est nécessaire. C’est l’imagination qui forme l
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rouvé, et que cela touche d’autres hommes, qui ne
savaient
plus… Un style de vie : mais que celui qui le détient en vienne à s’e
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ils sortent, qui ont compris que la révolution ne
saurait
être faite que par et pour ce qu’il y a de plus humain dans l’homme,
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rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’on
sait
. Un style né de la seule passion de s’engager. Que chaque phrase indi
90
int à l’acte. Peut-être qu’il est inutile de rien
savoir
du monde et de son train, des sciences, des faits et gestes, des bata
91
, des inventions, des religions, des êtres, si ce
savoir
n’est pas pour moi, à tel moment, un ordre ou une tentation. Quand ce
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te à plusieurs, rassurante perspective, puisqu’on
sait
qu’il n’existe pas d’héroïsme collectif. Le héros, par définition, es
93
et. Son exercice crée donc un risque, que l’on ne
saurait
affronter si l’on n’est pas, dans le même temps, en puissance des sou
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longeons dans le monde des résistances, dont nous
savons
qu’elles conditionnent notre durée. Mais la force de notre attaque a
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ublié une Lettre ouverte aux Européens et je ne
sais
combien de pages sur les communautés régionales, textes qui me parais
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ohérences que nous ne cessions d’y dénoncer… Nous
savions
que nous n’aurions pas le temps de nous faire entendre utilement avan
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ensée s’engage dans le réel, il ne faut pas ni ne
saurait
suffire qu’elle se soumette à des réalités dont elle ignore ou répudi