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ies au Centre européen de la culture. Mais peu le
savent
encore, même dans le cercle étroit des collaborateurs actuels de ces
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, le présent européen. Il est clair qu’on ne peut
savoir
où l’on en est, que si l’on sait bien où l’on va. Le numéro sur l’Éta
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r, comme je prenais congé, il me dit en riant : «
Savez
-vous que tous nos entretiens précédents ont été enregistrés ? Je me d
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n modèle inédit, sensationnel. J’ai tout de suite
su
lequel de mes collègues était capable de l’avoir inventé. Et pour me
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au manque de moyens financiers. L’Europe, nous le
savons
que trop, est ruinée. […] Ce que chaque nation européenne est incapab
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u sens le plus large et dans tous les domaines du
savoir
: établissement de plans de coopération européens (et non pas seuleme
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lié à ce Fonds, et dont l’importance capitale ne
saurait
échapper à personne, sera soumis à l’examen de la Conférence. Ces de
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ns des domaines où l’effort d’une nation seule ne
saurait
suffire ». La Commission, en approuvant cette résolution, précisa qu’
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n quelconque des États de la région intéressée ne
sauraient
permettre d’y parvenir. L’Unesco devra déterminer dans quelle mesure
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que les grandes compagnies industrielles privées
savent
parfaitement qu’elles doivent leur puissance commerciale à leurs bure
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es fondateurs au départ, à Saint-Germain-en-Laye,
savoir
: 1° La Fondation est un organisme de financement ; le Centre est un
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es bases. À la question posée par le président de
savoir
si le transfert effectif constitue à ses yeux une condition de la par
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eure de la Fondation européenne de la culture. On
sait
que sous la haute direction de S. A. R. le prince Bernhard des Pays-B
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ne affaire d’amour, c’était un père intéressé. Il
savait
que dans cette Europe les paroles restent trop souvent vaines si elle
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la base de tout changement dans notre société, à
savoir
un changement de mentalité, un changement d’attitude quant à la valeu