1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. Note liminaire
1 ies au Centre européen de la culture. Mais peu le savent encore, même dans le cercle étroit des collaborateurs actuels de ces
2 , le présent européen. Il est clair qu’on ne peut savoir où l’on en est, que si l’on sait bien où l’on va. Le numéro sur l’Éta
2 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
3 r, comme je prenais congé, il me dit en riant : «  Savez -vous que tous nos entretiens précédents ont été enregistrés ? Je me d
4 n modèle inédit, sensationnel. J’ai tout de suite su lequel de mes collègues était capable de l’avoir inventé. Et pour me
5 au manque de moyens financiers. L’Europe, nous le savons que trop, est ruinée. […] Ce que chaque nation européenne est incapab
6 u sens le plus large et dans tous les domaines du savoir  : établissement de plans de coopération européens (et non pas seuleme
7 lié à ce Fonds, et dont l’importance capitale ne saurait échapper à personne, sera soumis à l’examen de la Conférence. Ces de
8 ns des domaines où l’effort d’une nation seule ne saurait suffire ». La Commission, en approuvant cette résolution, précisa qu’
9 n quelconque des États de la région intéressée ne sauraient permettre d’y parvenir. L’Unesco devra déterminer dans quelle mesure
10 que les grandes compagnies industrielles privées savent parfaitement qu’elles doivent leur puissance commerciale à leurs bure
3 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
11 es fondateurs au départ, à Saint-Germain-en-Laye, savoir  : 1° La Fondation est un organisme de financement ; le Centre est un
12 es bases. À la question posée par le président de savoir si le transfert effectif constitue à ses yeux une condition de la par
13 eure de la Fondation européenne de la culture. On sait que sous la haute direction de S. A. R. le prince Bernhard des Pays-B
14 ne affaire d’amour, c’était un père intéressé. Il savait que dans cette Europe les paroles restent trop souvent vaines si elle
15 la base de tout changement dans notre société, à savoir un changement de mentalité, un changement d’attitude quant à la valeu