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riel comptait. La tromperie est préméditée. Et le
scandale
, à mon sens, n’est pas que l’industriel ait forcé (psychologiquement)
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ent) le client à faire une dépense superflue ; le
scandale
est qu’il l’ait trompé sur ses véritables besoins. Car cela va bien p
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ns affaire à quelqu’un. Mettons-le en présence du
scandale
que constitue à ses yeux cette anomalie : un astronome chrétien. Comm
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s. La critique à peu près unanime a salué dans Le
Scandale
la meilleure œuvre de M. Bost, une espèce de somme romanesque des err
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sorte nous sentons mieux sa pointe. Les héros du
Scandale
, provinciaux énervés par la vie des bars de la capitale nous apparais
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èce de sagesse large et optimiste si contraire au
scandale
chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa position. Ce qui, plu
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» de Goethe paraît avoir négligées ou niées : le
scandale
divin, le péché radical. Mais un homme de l’envergure de Goethe, s’il
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nous sommes sourds à sa voix, comment étouffer le
scandale
de cette mort qui définit le destin de l’esprit parmi nous ? Si l’Opi
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ux. Il a voulu chasser du monde le paradoxe et le
scandale
du solitaire plus grand que tous. Il a voulu que tout s’explique, que
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tuée, soit capable de concevoir ce paradoxe ou ce
scandale
d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus profond que not
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transforme la diversité en division. Alors il y a
scandale
, et c’est alors que le corps souffre dans son chef et dans ses membre