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ptable le message de l’Évangile, d’en atténuer le
scandale
, d’intégrer largement les découvertes de l’esprit humain, quitte à la
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Ou bien doit-elle, tout au contraire, assumer le
scandale
, montrer sa permanente et salutaire nécessité, annoncer aux hommes un
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de tous nos problèmes ? Mais si l’on opte pour le
scandale
et non pour les adaptations, qui voudra recevoir ce message ? « L’âme
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’à perpétrer une horrible inconvenance, un de ces
scandales
héroïques qui vous valent l’amour des femmes et quelque honneur parmi
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cé, que cette insistance à mettre en lumière le «
scandale
de Jésus » à seule fin de nous « enseigner à révérence ». On peut dir
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e l’humanisme antichrétien et c’est le Traité des
scandales
. Ce troisième traité n’avait jamais été réimprimé depuis sa parution
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d bruit, « non tant pour haine qu’ils portent aux
scandales
que pour nuire à l’Évangile et le diffamer comment que ce soit ». Il
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t à ce que la Prédestination est comme une mer de
scandales
, d’où vient cela sinon de la folle curiosité des hommes ou de leur ou
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e Calvin. D’une vivacité presque baroque dans les
Scandales
, orné et pompeux dans l’Épître, sobre et grave dans le Traité de la C
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Il rit malicieusement quand je lui parle du petit
scandale
que risque de provoquer son dernier livre : n’y affirme-t-il pas, ave