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ogie et la pédagogie, la littérature d’idées, les
sciences
et la technique. Comment interpréter cette courbe mouvementée ? Certe
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ntées vers l’amélioration technique, mais dont la
science
pure bénéficie. Deux de ces bureaux sont dirigés par des prix Nobel.
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ropos, que la Suisse, avec 11 prix Nobel pour les
sciences
, se place au premier rang mondial, et de très loin, relativement à sa
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, elle apparaît conforme à la logique déduite des
sciences
physiques, et biologiques dans cette seconde moitié du xxe siècle. M
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st constitutive de l’Europe, et sans laquelle nos
sciences
et nos logiques ne seraient pas ce qu’elles sont, ou n’auraient pas e
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ssez bien aux formes de pensée introduites par la
science
relativiste.3 La pensée fédéraliste ne projette pas devant elle une
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hnique pour être sérieux. Philosophie des buts et
science
de leurs moyens doivent déterminer conjointement toute vision digne d
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t de l’enseignement, composé de représentants des
sciences
naturelles, sociales, psychologiques, religieuses, de la médecine et
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s tard du socialisme proudhonien, aujourd’hui des
sciences
les plus avancées. D’autre part, le fédéralisme est une méthode d’org
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phie, la morale, les beaux-arts, le folklore, les
sciences
, la technique et l’architecture, sont largement ou même totalement in
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phie, la morale, les beaux-arts, le folklore, les
sciences
, la technique et l’architecture, sont largement ou même totalement in
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petit coin de pays, — éducation, lettres et arts,
sciences
et techniques. Densité sans nul doute supérieure à celle d’une tranch
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temps de l’Europe classique puis romantique. Les
sciences
ont pris sa place, à cet égard. Or quel rang la Suisse y tient-elle ?
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1. Léo Moulin, La Nationalité des prix Nobel de
sciences
de 1901 à 1960, Cahiers internationaux de sociologie, Paris, 1961. a
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ublie ces jours-ci : Dimensions européennes de la
science
politique. Enfin, je me propose, pour ma part, d’aborder le problème
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urs duquel un de nos plus célèbres professeurs de
sciences
politiques déclara au sujet du « pool charbon-acier », comme on appel
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indique la proportion des prix décernés pour les
sciences
par million d’habitants d’un pays, de 1901 à 1961 — et qui atteint le
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moyens ni d’un public suffisant. Nos facultés des
sciences
comme nos troupes de théâtre, nos revues comme nos écoles d’art et no
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iplômé, ou d’un savant de l’électronique ou de la
science
subnucléonique. Une prudence élémentaire m’incitera donc à ne point v
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. Il faut voir là sinon l’origine immédiate de la
science
, du moins l’annonce de l’attitude fondamentale, de l’option de base q
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ondamentale, de l’option de base qui va rendre la
science
possible et qui va donner bonne conscience à la recherche appliquée n
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partir de la Renaissance, dans la création de la
science
moderne, et j’entends bien d’une science des corps et de la matière q
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on de la science moderne, et j’entends bien d’une
science
des corps et de la matière qui ne se veut pas seulement spéculative,
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, début d’une ère de fantastique accélération des
sciences
physiques et de la technique. Désormais, les dimensions de la guerre
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Paul Valéry notait cette remarque désabusée : la
science
a su donner aux hommes des moyens de s’armer, mais non pas de désarme
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elées « conventionnelles », et que l’effort de la
science
, mobilisée au service des États, a dû se borner en fait à chercher de
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même de la puissance des armes inventées par nos
sciences
ait tout d’un coup bloqué ce processus d’interaction conduisant à des
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doublé d’ici vingt ans. À supposer même que notre
science
découvre les moyens de créer des aliments synthétiques, tirés de l’ai
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iz, qui était un savant neuchâtelois, a fondé les
sciences
naturelles aux États-Unis. Les architectes suisses — voilà un grand c
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s toutes de recherche pure) qu’il y avait dans la
science
atomique à ce moment-là. Vous voyez de quoi je veux parler… De sorte
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ratif, où Proudhon estime qu’il « résume toute la
science
constitutionnelle », je trouve cette proposition : Organiser en chaq
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contre ça, il faut lutter par ce qu’on appelle en
science
la néguentropie. Et par la récréation de foyers d’inégalité de créati
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encore du seul langage, ni de l’histoire, ni des
sciences
exactes, et encore moins de l’économie, mais de la contemplation de c
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dit un fragment célèbre d’Héraclite. L’art et la
science
de cette mise en tension, de cette composition de réalités contraires
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édéralisme », Revue des travaux de l’Académie des
sciences
morales et politiques et comptes rendus de ses séances, Paris, 1969,
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christianisme blasphématoire : La guerre, cette
science
du désordre, qui provient de l’anarchie d’en haut, ne tue pas seuleme
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l’Europe commence à le soupçonner…)46 Enfin la
science
et la technique nationalisées : Le « caporalisme stupide, cette varié
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core un peu de temps, et l’homme aura, grâce à la
science
, des moyens si prodigieux de faire le mal qu’il ne pourra être sauvé
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ons nous portèrent en effet, soit qu’il s’agît de
sciences
, d’arts ou d’éditions, vers les formes les plus neuves et les problèm
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ent dans chacun de ces domaines de la culture. En
sciences
, la recherche nucléaire et les moyens de prévenir l’exode des cerveau