1 rotestantisme, réformisme et révolution, mythe et science , hérésie créatrice et saine doctrine, besoin de sécurité et goût du r

2 moment privilégiés ? À cause du développement des sciences et des techniques. Jusqu’au milieu du xxe siècle, quel était le prin

3 presque », disait Valéry. C’est vrai : toutes les sciences modernes, les techniques, la plupart des formes artistiques et littér

4 oissement des risques humains, comme le montre la science , qui est à double tranchant. Ou bien, je vous l’ai dit, nous irons ve

5 particulier et l’universel. Écologie Cette science nouvelle est à la fois, par excellence, une « science humaine », une

6 nce nouvelle est à la fois, par excellence, une «  science humaine », une « science politique » et une recherche interdisciplina

7 s, par excellence, une « science humaine », une «  science politique » et une recherche interdisciplinaire ou transdisciplinaire

8 cause les fameuses « nécessités » de l’Économie, science et pratique qui par ailleurs va subir un bouleversement recréateur du

9 damentale et des applications prospectives, de la science et de la politique, de la pensée et de l’action, peut être fournie pa

10 ormais, de nouer entre elles un nouveau pacte. La science et la technique ont provoqué peut-être, et elles ont à coup sûr permi

11 er aujourd’hui un type d’homme de technique et de science réintégré dans la communauté, relié à l’ensemble social par le souci

12 et métaphysique, c’est une bonne nouvelle pour la science autant que pour la société. Car notre science est née de la culture,

13 la science autant que pour la société. Car notre science est née de la culture, et doit sans cesse s’y replonger pour mieux cr

14 ; nouveau bain de culture pour les savants, et de science pour les culturels : voilà qui définit une vraie révolution au troisi

15 siècle : Ferdinand de Saussure, le père de nos «  sciences humaines », l’institut Rousseau, Jean Piaget, les Rencontres internat

16 ges : religions et philosophies, arts et lettres, sciences et techniques, idéaux et pratiques politiques, législations et codes

17 cle mais déjà condamnées par Descartes. Il y a la science et la conscience d’une part (le cortex et le système nerveux) et le c

18 de l’humain. 3. Conditionné par le respect de la Science , qui a pris la place qu’occupaient la théologie au xiiie siècle et l

19 outes choses (héritage grec, sans lequel point de sciences ) ; —l’amour de Dieu et du prochain comme de soi-même (héritage judéo-

20 la survie de l’homme. L’écologie, qui est art et science des équilibres biologiques et dynamiques, va désormais déterminer nos

21 e « chimie allemande ». Toutes les branches de la science , des arts, des lettres, sont locales ou régionales dans leur genèse,

22 demeure de formuler une politique de l’humanité, science ou art de l’aménagement des relations humaines dans la cité, au servi

23 iques ou antinomies réelles. 1. Antinomie entre science (objective) et politique (normative) La science se veut objective

24 cience (objective) et politique (normative) La science se veut objective dans la prévision, la politique se veut normative.

25 et méthodique » s’oppose à « prophétie » comme «  science purement descriptive » s’opposerait à « appel à l’action ». Car la pr

26 ts de notre avenir à déchiffrer, qu’aucune de nos sciences n’en pourrait chiffrer. 4. Ceux qui prévoient l’an 2000 ne sont pa

27 que nous appelons aujourd’hui l’écologie, art et science des équilibres vivants entre l’homme, ses créations et la nature, soi

28 up de choses redoutables, comme l’hégémonie d’une science (Saint Thomas, Marx, Wittgenstein) ou un savoir unifié par quelque au

29 , spéculation philosophique, littérature profane, sciences , techniques, industrie… C’est donc à travers la théologie, la philoso

30 otre civilisation ? L’hygiène, la technique et la science , et une dose de psychanalyse, vont-elles exorciser la société future,

31 les sociaux, coutumiers ou sacrés, ont cédé à nos sciences , ou c’est tout comme. Qu’en est-il du dernier barrage que notre condi

32 plus irrémédiable est dans la mort, et toutes nos sciences , ici, se récusent et se taisent. Or c’est ici que la passion mythique

33 au fait de la personne. Nulle technique et nulle science de l’homme ne peut nous être ici d’aucun secours. Il faut aimer pour