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is d’une unité. Le doublet est une création de la
science
moderne, mais pas du xviiie siècle : de Descartes. Car c’est bien lu
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t empirico-transcendental, il mourra donc avec la
science
cartésienne. Les dégâts resteront limités. On pourrait faire observer
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n loin que la personne doive sa constitution à la
science
moderne, c’est l’inverse qui se vérifie historiquement. Le dogme de l
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e de l’Incarnation est en effet à l’origine de la
science
européenne. Comment imaginer des sciences physiques ou chimiques dans
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ne de la science européenne. Comment imaginer des
sciences
physiques ou chimiques dans un monde — l’Inde par exemple — où la mat
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dical. Ce qui l’amène à écrire que l’effort de la
science
, des sciences humaines en particulier, doit aboutir à la déshumanisat
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l’amène à écrire que l’effort de la science, des
sciences
humaines en particulier, doit aboutir à la déshumanisation, c’est-à-d
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évacuation du sujet humain. Il n’y a donc plus de
sciences
humaines possibles, n’y ayant plus d’homme, plus de sujet à examiner…
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r. Vous l’avouerai-je ? Je ferais mon deuil des «
sciences
humaines » telles qu’on essaie de les pratiquer aujourd’hui, mais « l
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n elle19. 3. Plutôt donc que de l’écologie comme
science
, nous considérons ici le souci écologique, qui s’est manifesté avec f
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e, Paul Montel, doyen honoraire de la Faculté des
sciences
de Paris, président de la Commission nationale française pour l’éduca
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mmission nationale française pour l’éducation, la
science
et la culture, Wladimir Porché, directeur général de la Radiodiffusio
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monuments sacrés et d’œuvres d’art, plus tard de
sciences
, et d’écoles de pensée successivement parues dans des foyers très dis
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ientiarum, groupant la totalité des études et des
sciences
. Quant aux communes politiques ou économiques, elles relèvent de l’em
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réunissent au lieu de les séparer les arts et les
sciences
, et avec ses facultés dites supérieures, la théologie, le droit et la
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eutralité du savoir pur et de l’objectivité de la
science
, les finalités mêmes de l’institution. De fait, l’histoire de l’Unive
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es conditions les inventions ou découvertes de la
science
et des arts sont-elles apparues ? Part de la gratuité, de la nécessit
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ditaient sur la nécessité d’un langage commun aux
sciences
exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descartes dès 1625, puis L
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é des diversités nationales dans les lettres, les
sciences
et les mœurs ; comme une aspiration à l’œcuménisme entre catholiques
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ent-ils ceux de la Nation, de l’État, ou même des
Sciences
. 1. L’esprit européen sera donc d’abord ce qui fomente la Société de
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ait pour champ la philosophie ou les lettres, les
sciences
physiques et naturelles ou la religion, l’archéologie, l’histoire ou
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force du divers, qu’il s’agisse de sagesse ou de
science
, de religion et c’est l’œcuménisme, ou de politique et c’est le fédér
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e De l’Allemagne qu’elle écrit : Les progrès des
sciences
rendent nécessaires les progrès de la morale, car en augmentant la pu
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produire dans l’époque même où se développent les
sciences
physiques et la technique, et à partir des mêmes attitudes mentales q
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titudes mentales qui conduisent logiquement à ces
sciences
et conditionnent ces techniques. 5. On parle toujours de Francis Bac
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nts et des réflexes par la Technique, fille de la
Science
, vraie religion du xxe siècle. Tout cela, qui était le grand dessein
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le sens étymologique. » Suivons ce guide dont la
science
assurée ne nuit jamais à l’impeccable élégance du propos. Il nous mon
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mme exemple typique de cette ambivalence de notre
science
. Au début, le DDT a sauvé des récoltes immenses auparavant dévastées
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rs l’Espagne, au Moyen Âge, non seulement sur les
sciences
, mais sur la doctrine de l’amour en Europe. J’ai essayé de le montrer
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r l’économiste anglais Peter Wiles ; et un groupe
sciences
, avec notamment le grand physicien nucléaire Lew Kowarski, l’un des t
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té). Je me suis révélé ainsi à mes professeurs de
sciences
qui ont compris pourquoi j’avais tant de peine à faire des maths et d