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ption chrétienne du monde — sur une base purement
scientifique
, déclare-t-il — avec l’aide de 500 000 propagandistes entraînés, muni
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herche, de la création ou de la connaissance dite
scientifique
. La complicité fondamentale du sujet et de l’anti-sujet affrontés, et
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on technique et les nouvelles formes de la pensée
scientifique
. La pensée fédéraliste, en effet, se représente la société européenne
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et en général de toutes les théories et procédés
scientifiques
. À quoi servirait, dès lors, de « multiplier les échanges culturels »
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r sur pièces une de ces solutions textuelles et «
scientifiques
» après quoi, comme le dit Jaspers, « la question ne s’arrête plus de
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ux historiens Je ne crois guère à l’histoire «
scientifique
» comme critère des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je l
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écrits religieux, ou créateurs de communautés, ou
scientifiques
, tels que la Bible, le Coran, les Vedas ; ou Aristote, saint Thomas,