1
n’y remédie pas, la logique de notre civilisation
scientifique
, technique et industrielle nous mène tout droit à l’Apocalypse — du m
2
les mouvements écologiques et par des milliers de
scientifiques
du monde entier, les promoteurs du nucléaire, et leurs experts auprès
3
écurité de l’orthodoxie (religieuse, politique ou
scientifique
) mais le conduire vers son autonomie, vers le libre exercice de ses r
4
et la métaphysique, si l’on veut que la recherche
scientifique
n’aboutisse pas à des monstruosités. 4. Relations entre « Europe »
5
ustifications théoriques — religieuses, sociales,
scientifiques
—, leurs illustrations par les arts, le roman, le film, la médecine,
6
teinte par nature ou par respect de l’objectivité
scientifique
, les n° 1, 2, 3, 5, 6, 8, 15, 16, 17, 18, 19, 22, 26, 27, 28, 30, 38,
7
ngager à soutenir systématiquement les recherches
scientifiques
tendant à favoriser la vie et non sa destruction, c’est-à-dire la pai
8
tat et de l’Industrie, seraient choisis parmi les
scientifiques
, les biologistes, les écologistes, les économistes, les philosophes e
9
études, brochures et articles15. Dans les milieux
scientifiques
officiels, dispensateurs de subventions à la recherche, on estimait l
10
mme on nous le signifia, donc dépourvu de sérieux
scientifique
. Aujourd’hui c’est le raz-de-marée, à tous égards : des centaines de
11
ventions du Fonds national suisse de la recherche
scientifique
(FNRS) que nous remercions ici une fois de plus. z. « Préface » à Ge
12
régionale (écologique, économique, de recherches
scientifiques
, d’université, etc.) soit exercée par une agence régionale compétente
13
ns les domaines économique, écologique, éducatif,
scientifique
… Rien n’empêchera que ces hommes compétents, avec l’aide de contribut
14
par le rationalisme plat du xixe et prétendument
scientifique
du xxe siècle. Face à la renaissance spectaculaire de l’islam combat
15
rise des besoins — qu’elle se veuille sociale, ou
scientifique
, économique ou politique, implique que l’on s’entende sur la nature d
16
a connu qu’échecs et désapprobation des autorités
scientifiques
». Mais en 1899, le jeune Henry Ford fonde une entreprise de construc
17
que économique, plutôt que sur la base d’enquêtes
scientifiques
. Elle tend à faire coïncider les « besoins » provoqués chez les conso
18
à savoir : — évaluation objective, indépendante,
scientifique
plutôt que stratégique, et humaine plutôt qu’économique, des besoins
19
ondiale de prospective sociale (AMPS), groupement
scientifique
promu en 1976 par l’Institut international d’études sociales (IIES) b
20
ui, il nous dit exactement le contraire, mais les
scientifiques
savent bien que l’énergie tend à réduire l’emploi, voir Leontieff, Am
21
ment européen. Résumons : le culturel englobe ici
scientifiques
, littéraires, éducateurs, sociologues, philosophes et juristes, direc
22
Lew Kowarski et la responsabilité sociale du
scientifique
(1980)ar On vient de rappeler ses travaux, ses recherches, et ce q
23
notre amitié. Je l’avais invité à titre d’expert
scientifique
à la table ronde du Conseil de l’Europe en 1965, à Strasbourg, et il
24
ous sommes aujourd’hui) sur la responsabilité des
scientifiques
dans notre société. Il rappelle que l’énergie nucléaire était encore
25
quatre attitudes lui semblaient possibles pour le
scientifique
pris entre son métier et la méfiance du public. Il les décrivait avec
26
ski, resté en relations étroites avec les milieux
scientifiques
américains et européens prenait chaque jour une conscience plus aiguë
27
al formulateur de sa problématique, non seulement
scientifique
mais sociétale. Il reste au Groupe de Bellerive à développer son acti
28
r. « Lew Kowarski et la responsabilité sociale du
scientifique
», Lew Kowarski, Genève, CERN, 1980, p. 15-17.
29
rançais est littéralement fasciné par une école «
scientifique
» issue d’un penseur genevois : le structuralisme s’efforce de ramene
30
re tend à devenir captive des théories prétendues
scientifiques
de la psychanalyse, du structuralisme ou du marxisme, d’autre part un
31
de nos contemporains. Dans le domaine proprement
scientifique
, l’Europe n’a connu qu’une seule révolution au sens propre du terme,
32
du monde qu’après concertation entre philosophes,
scientifiques
, industriels, éducateurs et technocrates, une décision négative, du t
33
s plus grands spécialistes de la futurologie dite
scientifique
, dans leurs prévisions économiques et politiques. Qu’il s’agisse de l
34
es limites que lui posent en vérité sa définition
scientifique
et son utilité, nous pouvons le faire encore — et nous le devons. C’e
35
de nos contemporains. Dans le domaine proprement
scientifique
, l’Europe n’a connu qu’une seule révolution au sens propre du terme :
36
du monde qu’après concertation entre philosophes,
scientifiques
, industriels, éducateurs et technocrates, une décision négative, du t
37
s plus grands spécialistes de la futurologie dite
scientifique
dans leurs prévisions économiques et politiques. Qu’il s’agisse de l’
38
es limites que lui posent en vérité sa définition
scientifique
et son utilité. Nous pouvons le faire encore, et nous le devons. C’es
39
t y trouver des prédictions, souvent données pour
scientifiques
, et qui les dispenseraient de s’engager à tous risques. Cette attitud
40
a le don d’exciter le lyrisme des chroniqueurs «
scientifiques
» de la TV. Dès aujourd’hui, grâce à l’automatique, la bureautique et
41
frontaliers en Europe [préface] (1981)bm « Non
scientifique
», « utopique », « rousseauiste » ou pire encore : « de droite », tel