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c ni tableaux, ni poèmes, ni statues, ni théories
scientifiques
, ni doctrines philosophiques propres. Mais il a créé et créera encore
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minaires spéciaux, groupant les meilleures forces
scientifiques
d’aujourd’hui, vont être consacrés à cette étude. Une série de public
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grandes traditions : le christianisme et l’esprit
scientifique
. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont cré
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a certitude. Prenons ensuite l’exemple de l’homme
scientifique
. Celui-ci lit l’histoire des sciences. Elle lui fait voir que toutes
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de l’humanité n’est plus une utopie : ses moyens
scientifiques
existent, ils sont à l’œuvre sous nos yeux. Situation de l’Europe
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l’on vient de citer, la comparaison objective et
scientifique
des données actuelles ne présente qu’un seul danger pour nous : celui
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s ont un but principal : obtenir des informations
scientifiques
et techniques qui leur manquent encore. Pour les propagandistes offic
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sonnes dans les domaines professionnel, culturel,
scientifique
et technique. » 13. Participation « plus facile… aux grands congrès i
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r la radio pour développer les liens culturels et
scientifiques
. M. Molotov soumet alors le projet russe. Ce projet très court parle
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des délégations et des expériences techniques et
scientifiques
; de passer des accords entre États sur la coopération culturelle ; e
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es questions concrètes du développement des liens
scientifiques
, techniques, sportifs et autres, ainsi que de la radio, de l’échange
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« faciliter l’échange de livres, journaux, revues
scientifiques
, films documentaires et autres, ainsi que broadcasts, selon accords b
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téraux » et l’échange de délégations, de procédés
scientifiques
, de sportifs et de touristes. II. Les réactions occidentales M
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vaguement pittoresque pour un homme sans culture
scientifique
: celui-ci n’en retiendra que les explications simplifiées inscrites
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le dogmatisme. Ce qui, en Occident, était théorie
scientifique
, sujette à la critique, hypothèse, ou, en tout cas, vérité relative e
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tre les musées et échanges de concerts, instituts
scientifiques
européens. Les quatre premiers objectifs sont inscrits au programme c
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nc à la fois un savoir présenté comme objectif ou
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, et le goût d’en discuter, donc de le mettre en doute. De même, au dr
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i. La passion militante n’y suffit pas. L’analyse
scientifique
non plus. Les gros livres ne sont pas lus, les pamphlets ne convainqu
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les militants fédéralistes, promouvoir des études
scientifiques
sur les moyens de réaliser l’union. Le programme de notre institutio
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autre en préparation — contribuant à la réflexion
scientifique
sur l’avenir de l’Europe. C’est enfin la même intention qui rend comp
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cours précis d’information et le recueil d’études
scientifiques
, ce numéro spécial du Bulletin du CEC représente une première tentati
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M. Walter Tritsch. La Commission de coordination
scientifique
, animée par Raoul Dautry, se réunit le 12 décembre et propose le plan
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es branches — en partant de l’idée que le progrès
scientifique
dépend au moins autant de la culture générale du chercheur que de sa
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r la moindre idée de la nature et de l’importance
scientifique
de leurs travaux. Ce culte des vedettes fait partie de la troisième z
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ns qui ont peu de rapport avec ses grands mérites
scientifiques
, plutôt que d’ignorer jusqu’à son nom, et d’épuiser toutes ses facult
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ment des ouvrages littéraires, encyclopédiques et
scientifiques
propres à développer une meilleure compréhension des problèmes fondam
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romantisme, déborde nécessairement son « objet »
scientifique
. En fait, Gollwitzer nous donne ici le plus pénétrant ouvrage d’histo
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ulture à la fois antique, chrétienne, critique et
scientifique
, et qui est commune à tous nos peuples, se trouve cloisonnée par des
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ne pas reposer la question des fins — objectivité
scientifique
, routines et règlements, difficultés pratiques à surmonter d’abord, e
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lle enquête n’a pas besoin d’être exhaustive ou «
scientifique
» pour être significative. Elle ne vise qu’à situer le problème d’une
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diale, la coopération pour la paix, la révolution
scientifique
, la poussée démographique, les conflits de valeurs et de conceptions
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e », et que toutes ses « victoires » économiques,
scientifiques
et sociales sont dues à son socialisme, parce qu’il conduit au commun
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lture. Pour la technique et pour le développement
scientifique
, une spécialisation trop poussée et fermée s’oppose au progrès même,
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et de la bombe atomique. Il n’y a pas de progrès
scientifique
aujourd’hui, et par suite, pas de progrès technique, sans ouverture d
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x de l’âme d’une culture ; éducation ; recherches
scientifiques
, etc. — créant des occasions de convergence expérimentale, et permett
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frican History (Londres), et de nombreuses revues
scientifiques
, pédagogiques, économiques, etc. La plupart des publications (revues
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tion sur l’état de l’enseignement, des recherches
scientifiques
, des arts (écoles, tendances, débats, œuvres nouvelles), de l’histori
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es lignes — l’importance de l’ouvrage, son niveau
scientifique
, et s’il apporte soit des faits, soit une méthode, soit des arguments
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es savants américains nous affirment que 85 % des
scientifiques
ayant vécu depuis l’aube de l’histoire, sont vivants aujourd’hui. Et
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isir entre une carrière de brillant vulgarisateur
scientifique
et une spécialisation qui lui vaudrait sans doute le prix Nobel, mais
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écurité de l’orthodoxie (religieuse, politique ou
scientifique
), mais le conduire vers son autonomie, vers le libre exercice de ses
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ères années, on a vu se multiplier les recherches
scientifiques
, les articles de journaux, les volumes et les congrès sur la régional
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ble effort d’imagination passionnée, de recherche
scientifique
et de renouvellement des conceptions de base, se développe un véritab
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t une question d’échanges, de “flux” diraient les
scientifiques
: il faut chercher à être aussi indispensables aux autres que les aut
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chercher à deviner ce qui sera : « l’objectivité
scientifique
» dissimulant une démission civique rend le pire de plus en plus sûr.
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e masse, si elle est l’âge du génie pour quelques
scientifiques
, et de la grande poésie pour deux ou trois par siècle. Certains me di
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es plans écologiques continentaux, des recherches
scientifiques
, de la coopération universitaire, des relations avec d’autres contine
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erche — la consistance du problème ou son sérieux
scientifique
. Et cela suffit encore moins à établir sa nécessité et sa possibilité
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t de pousser en profondeur et d’affiner l’analyse
scientifique
. Eh bien non ! Les régions ne sont pas un problème scientifique d’abo
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Eh bien non ! Les régions ne sont pas un problème
scientifique
d’abord, mais politique. Pas un problème logique, théorique, économét
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bord qu’elle existe. Celui qui nie toute valeur «
scientifique
» à l’action de construire, nie la source même de tout savoir, de tou
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age éventuel mais abus actuel de la prospective «
scientifique
» Les calculs prévisionnels sont utiles ou indispensables pour opp
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fausse et néfaste qui nous annonce comme un fait
scientifique
que désormais « la consommation d’électricité va doubler tous les sep
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u’on en fait, surtout quand on déguise en données
scientifiques
à des fins qui ne veulent pas s’avouer (décrocher un contrat, pousser
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gnures d’ongles de sa victime.) La futurologie
scientifique
appelle une économie de guerre De fait, les prévisions les plus ex
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d Corporation. L’intime liaison de la prospective
scientifique
et de l’état de guerre ne peut manquer de jouer le rôle d’une sorte d
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aux dépens de la vie civique. La futurologie «
scientifique
» : un conservatisme utopique D’autre part, par ses méthodes mêmes
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humiliante pour l’homme, la futurologie prétendue
scientifique
bride l’imagination au lieu de la libérer, et dans la mesure où elle
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la recherche fondamentale et de la création, tant
scientifique
qu’artistique, de la saisie du réel par notre esprit, mais dans la cr
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s entre déséquilibres permanents — les méthodes «
scientifiques
» échouent nécessairement là où les intuitions « sauvages » ont réuss
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ment de celles que les auteurs plus intuitifs que
scientifiques
cités plus haut multiplient depuis près de deux siècles, et que je n’
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or, d’aliments et de pétrole. C’est l’information
scientifique
, venue de l’Europe et d’elle seule, qui a révélé ces richesses nature