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hement de toute action, dans son désintéressement
scientifique
. Ils n’ont pas dit : nous ne voulons plus rien faire d’utile, mais il
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nts nous disent aujourd’hui que les fameuses lois
scientifiques
ne sont en fait que de commodes conventions, dépendant des systèmes d
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s excès que l’on peut reprocher à certaines modes
scientifiques
(certains dogmatismes freudiens, par exemple), ne sont en rien compar
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t de les soumettre à une critique systématique et
scientifique
. Ce qui rend cette tâche si difficile et ingrate, dans la plupart des
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et la vocation d’autre part ; entre la régulation
scientifique
et séculière des moyens d’une part, et la foi aux fins transcendantes
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ence exclusive de ce que l’on nomme « objectivité
scientifique
», et qui évacue de la réalité tout ce qui ne peut être enregistré pa
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et rites invariables, jamais mis en question. Les
scientifiques
, demain, vivront eux aussi dans la certitude quant à la conduite huma