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n s’est trop bien assimilé les tours de la pensée
scientifique
. Cherchant des lois, la science ne peut trouver que des déterminismes
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s de notre foi. Qui parlait donc d’un « humanisme
scientifique
» ? Nous avons été pris de vitesse par nos inventions matérielles et
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lat de ce vide ? 5. Je songe à la « psychologie
scientifique
» et à ce leurre qu’est l’attitude paralléliste. 6. J’exagère probab
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n de réduire à ses justes proportions l’idéalisme
scientifique
de M. Brunschvicg, philosophe officiel des lumières. De quelles prise
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t à des interprétations sociologiques (Rousseau),
scientifiques
(Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer), lyriques (les Anglais). I
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uère porta l’impitoyable lumière de l’observation
scientifique
. Reflet du siècle, le roman bientôt s’affaiblit à force de se compliq
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fices humains. Ces dieux ont même leur théologie,
scientifique
, bien entendu, et dont les deux disciplines principales sont l’Histoi
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nité, voici donc opposée une notion beaucoup plus
scientifique
et beaucoup plus conforme aux exigences de l’Histoire : le salut par
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es qu’on ne voit pas ». Mais à l’aide d’appareils
scientifiques
, on ne peut voir que du passé, des faits, c’est-à-dire du factum, du