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d’instruments modernes et puissants (politiques,
scientifiques
, économiques, sociaux) au service de la vocation commune à tous nos p
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exister de neutralité intellectuelle, artistique,
scientifique
, ou morale. …J’illustrerai ce point par une petite fable. Imaginez un
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de rejeter avec une horreur officielle l’idée non
scientifique
, bourgeoise et individualiste de l’amour romanesque. Il estime à bon
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oire anarchique, des conséquences de la recherche
scientifique
fasse l’inquiétude et même l’angoisse du monde moderne. À cela s’ajou
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de la Renaissance qui fut aussi celui de l’essor
scientifique
. C’était votre cité libre et hanséatique, dont le génie nous semblait
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se, ressort de nos recherches et de tout l’effort
scientifique
, naît et renaît sans fin ni cesse de cette tension. S’il est vrai que
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si celle de Newton et de Kepler. c) Les vertus
scientifiques
. — La non-absurdité et la réalité du monde manifesté ne suffiraient p
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es approches illusoires. De même, toute recherche
scientifique
authentique veut que le chercheur lutte contre ses propres souhaits,
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Esprit, il n’en reste pas moins que ses arguments
scientifiques
se sont évanouis avec les caractères classiques de la matière ; car c
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ieu de celle de l’esprit. Ce choix n’est donc pas
scientifique
, mais proprement théologique : c’est l’hérésie que j’ai décrite. Qu’e
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estants, les plus féconds, alors, du point de vue
scientifique
— aurait-elle grand-chose à lui offrir ? Elle n’a jamais été plus élo
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itude docétiste. 28. En un sens, la superstition
scientifique
est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge. Car les vér
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bombe H à l’idée du progrès, voire à la recherche
scientifique
en général : c’est maudire l’électricité à cause de la chaise électri
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pour grandes personnes34, l’économie sérieuse et
scientifique
échafaude par la suite le système de ses « lois ». Elle prétend « sat
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me ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga «
scientifique
», à l’occidentale. Beaucoup d’esprits légers s’imaginent l’homme com
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comotive est une « simple construction d’amusette
scientifique
». 35. Sur l’entreprise spirituelle de l’Alchimie, je ne puis que re
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tique. Il est vrai, mais nous sommes dans une ère
scientifique
. Ou, plus exactement, technique. Le mensonge y devient erreur, et l’e
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la transposant de cette manière : « Le caractère
scientifique
du conflit (entre la théorie ondulatoire et la théorie corpusculaire)
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les deux cas, le conflit désigné, idéologique ou
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, n’existe, en tant que tel, que pour ceux qui le formulent. Il est do
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e est aveuglante. Ce masochisme appelle une étude
scientifique
. Beau sujet de thèse, dans vingt ans. Aux intellectuels des Rencontre
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ires compétents et ardus sur la portée proprement
scientifique
de l’expérience : elle est très grande, mais différente de ce que l’o
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tes ; b) liaison de cette idée avec des questions
scientifiques
assez ingrates et des réalités militaires nettement sinistres ; c) ap
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que le régime soviétique stérilisait la recherche
scientifique
. Les deux spoutniks sont là pour prouver le contraire. Ils tournent g
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pourrait demain, imposer à la presse une méthode
scientifique
de choix et de présentation, qui permettrait de donner une image plus
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enre plus poétique ou imaginatif, pataphysique ou
scientifique
, et généralement optimiste. (C. G. Jung expliquerait aisément ces con
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s ne sommes plus en Utopie : la prévision se veut
scientifique
, comme elle le sera chez un Jules Verne, si la psychologie reste à la
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structures politiques et sociales, notre hygiène
scientifique
et nos virus ; mais nous omettons trop souvent d’y joindre un mode d’
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es se tiennent, elles jouent alors dans notre âge
scientifique
le rôle que jouaient les « signes » et les hasards pleins de sens dan
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nsition rapide du sacré primitif vers une hygiène
scientifique
: l’amour des petites nymphes et l’inceste. Ces deux amours seraient-
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ssance au Révélé, et d’autre part contre l’ascèse
scientifique
, qui est elle aussi, à sa manière, une foi dans le vrai objectif, une
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aphysique et ascétique et le « petit faitalisme »
scientifique
— le « Rien n’est vrai, tout est permis » est une connaissance réserv
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d’aller se coucher, je lui donne le Nouvel Esprit
scientifique
de Bachelard. J’ai souligné le paragraphe où l’on explique que selon
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uelque chose qui échappe encore à nos définitions
scientifiques
. J’ai pris à dessein le mot mince qui est un mot humain, affectif, et
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économie, l’écologie et l’habitat, les recherches
scientifiques
, les transports, les relations globales avec d’autres fédérations con