1
: c’est ce qui se passe dans le cas de l’Histoire
scientifique
. (Le lecteur d’un ouvrage « sérieux » sera d’autant plus exigeant qu’
2
on simplement nécessaire. C’est aussi le scrupule
scientifique
, nous dit-on. Il fallait cela pour affranchir l’esprit des illusions
3
r sur pièces une de ces solutions textuelles et «
scientifiques
» après quoi, comme le dit Jaspers, « la question ne s’arrête plus de
4
ux historiens. — Je ne crois guère à l’histoire «
scientifique
» comme critère des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je l
5
ns le présent chapitre une abondance de « preuves
scientifiques
» dont je m’étais fort bien passé en écrivant la première édition de
6
man. C’est tout uniment une description exacte et
scientifique
d’une sorte de folie très rare en France… » Stendhal baptise cette fo
7
résidé bien moins dans la proclamation d’une idée
scientifique
qui s’emparait des foules que dans un fanatisme animateur et dans une
8
, ni par des modes étrangères mais par la section
scientifique
du ministère de la propagande. En 1938, on institua des écoles analog
9
e du mariage par des mesures morales, sociales ou
scientifiques
, déduites du seul désir d’arrêter les dégâts, ne serait-ce pas lui dé