1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 : c’est ce qui se passe dans le cas de l’Histoire scientifique . (Le lecteur d’un ouvrage « sérieux » sera d’autant plus exigeant qu’
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 on simplement nécessaire. C’est aussi le scrupule scientifique , nous dit-on. Il fallait cela pour affranchir l’esprit des illusions
3 r sur pièces une de ces solutions textuelles et «  scientifiques  » après quoi, comme le dit Jaspers, « la question ne s’arrête plus de
4 ux historiens. — Je ne crois guère à l’histoire «  scientifique  » comme critère des réalités qui m’intéressent dans cet ouvrage. Je l
5 ns le présent chapitre une abondance de « preuves scientifiques  » dont je m’étais fort bien passé en écrivant la première édition de
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
6 man. C’est tout uniment une description exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » Stendhal baptise cette fo
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
7 résidé bien moins dans la proclamation d’une idée scientifique qui s’emparait des foules que dans un fanatisme animateur et dans une
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
8 , ni par des modes étrangères mais par la section scientifique du ministère de la propagande. En 1938, on institua des écoles analog
9 e du mariage par des mesures morales, sociales ou scientifiques , déduites du seul désir d’arrêter les dégâts, ne serait-ce pas lui dé