1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1  ? Mais personne n’a l’idée de parler de l’Orient scientifique , ou de l’Occident mystique. Un Sankara parfois préfigure le thomisme,
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 itiques et juridiques d’une part, et de la pensée scientifique de l’autre. Sautons au xxe siècle. Nous y voyons posé, dans les doma
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
3 se, ressort de nos recherches et de tout l’effort scientifique , naît et renaît sans fin ni cesse de cette tension. S’il est vrai que
4 ssi celle de Newton et de Kepler58. c) Les vertus scientifiques . — La non-absurdité et la réalité du monde manifesté ne suffiraient p
5 es approches illusoires. De même, toute recherche scientifique authentique veut que le chercheur lutte contre ses propres souhaits,
6 Esprit, il n’en reste pas moins que ses arguments scientifiques se sont évanouis avec les caractères classiques de la matière ; car c
7 ieu de celle de l’esprit. Ce choix n’est donc pas scientifique , mais proprement théologique : c’est l’hérésie que j’ai décrite. Qu’e
8 estants, les plus féconds, alors, du point de vue scientifique  — aurait-elle grand-chose à lui offrir ? Elle n’a jamais été plus élo
9 itude docétiste. 64. En un sens, la superstition scientifique est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge. Car les vér
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 Bombe H à l’idée du progrès, voire à la recherche scientifique en général : c’est maudire l’électricité à cause de la chaise électri
11 pour grandes personnes72, l’économie sérieuse et scientifique échafaude par la suite le système de ses « lois ». Elle prétend « sat
12 comotive est « une simple construction d’amusette scientifique  ». 73. Sur l’entreprise spirituelle de l’Alchimie, je ne puis que re
13 me ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga «  scientifique  », à l’occidentale.
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
14 ance, en Occident, au début de l’ère technique et scientifique . Darwin l’applique aux espèces vivantes ; d’autres, un peu plus tard,
15 grandes traditions : le christianisme et l’esprit scientifique . Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont cré
16 a certitude. Prenons ensuite l’exemple de l’homme scientifique . Celui-ci lit l’histoire des sciences. Elle lui fait voir que toutes
17 e en pratique les modestes recettes d’une hygiène scientifique qui a fait plus que doubler, depuis cent ans, l’âge moyen des Occiden
18 ces derniers ont rétabli l’usage, sur une base «  scientifique  » et « marxiste ». Vingt millions de camarades-esclaves travaillent à
19 , il demande la poursuite des recherches purement scientifiques qui peuvent aboutir aussi bien à la Bombe et à ses effets qu’à l’abon
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
20 aditionnelle des Hindous gagne en vraisemblance «  scientifique  » du point de vue des Occidentaux. Et la psychologie de l’inconscient