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s de la vie », et le précurseur de la coopération
scientifique
internationale139. Nous citerons les pages de l’Esquisse où il prévoi
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ue à son européisme, en concentrant son « analyse
scientifique
» sur une seule « série sociale », la plus achevée que l’on puisse tr
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’étude ni de lecture, de rien de littéraire ou de
scientifique
, mais simplement du contact des intelligences ; de ces idées qui s’em
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le dogmatisme. Ce qui, en Occident, était théorie
scientifique
, sujette à la critique, hypothèse, ou, en tout cas, vérité relative e
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sonde les mystères de la nature par la recherche
scientifique
, pénètre dans tous les domaines du savoir en les renouvelant par un t
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urd’hui sous le nom d’« objectivité », d’« esprit
scientifique
», d’« art pour l’art », de « connaissance pure, indépendante de la v
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de l’esprit européen moderne, envers l’orthodoxie
scientifique
d’aujourd’hui, ses méthodes et ses tendances. Il y a deux choses dont
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istique du genre de vie européen, dans le domaine
scientifique
aussi bien que politique, dans celui de l’évolution juridique comme d
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toutes ses formes, en mouvement ; la connaissance
scientifique
échoue sur d’insurmontables antinomies et reste limitée au fini, aux
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Européens, si nous nous vantons de nos conquêtes
scientifiques
, nous serons regardés comme le serait Cornélius Népos s’il se présent
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-ci avait discerné déjà l’essence de nos méthodes
scientifiques
modernes ; mais elle ne s’en était servie que pour la contemplation,
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e dans les domaines économique, social, culturel,
scientifique
, juridique et administratif, ainsi que par la sauvegarde et le dévelo