1
lles et que les spéculations des gnoses modernes,
scientifiques
ou ésotériques. J’imagine qu’une curiosité aussi peu conformiste en c
2
ées. Je n’en indiquerai que deux. Le déterminisme
scientifique
, avec son système de lois rigides, tel qu’il subsiste encore dans l’e
3
des dogmes chrétiens. L’ère des argumentations «
scientifiques
» contre la Genèse, la Création du monde par Dieu, sa Fin, l’existenc
4
grandes traditions : le christianisme et l’esprit
scientifique
. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont cré
5
a certitude. Prenons ensuite l’exemple de l’homme
scientifique
. Celui-ci lit l’histoire des sciences. Elle lui fait voir que toutes
6
r grand succès, mais qui limite aussi leur valeur
scientifique
. Peu de systèmes, sans doute, méritèrent à ce point qu’on dise d’eux
7
ujours prônée par ses disciples comme la démarche
scientifique
par excellence, cette dialectique, devenue sans prises sur les faits,
8
i, mais tout autant, ou plus encore, la recherche
scientifique
et l’invention technique, et finalement l’idéal même du progrès. Derr
9
s, et que les triomphes à venir de l’organisation
scientifique
de la vie n’élimineront pas les besoins religieux de l’immense majori
10
ngénial aux développements présents de la culture
scientifique
et technique49, et d’avoir été le père des régimes de démocratie temp
11
. Fédéraliste, évolutif, favorable à la recherche
scientifique
, éducateur de citoyens plus libres parce que plus responsables, le pr
12
à même modératrice prédestinée de la civilisation
scientifique
, la religion du Christ est aussi et surtout la seule qui ait pu résum