1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
1 bert, à la phénoménologie de Husserl. Les travaux scientifiques de Dandieu et de Claude Chevalley — l’un des jeunes mathématiciens fo
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
2 (salaires, plus-value, profits). Il s’estime donc scientifique . Il ne part pas de ce que les hommes veulent être, ni de la conscienc
3 s « ont la veine » dans ces loteries, notre image scientifique (physico-mathématique) du monde est fausse. Il est totalement impossi
4 s obtus s’opposent infiniment moins à notre image scientifique du monde que cette petite phrase si courante : il a la veine. Mais no
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
5 une morale civique présentée comme réaliste et «  scientifique  ». On n’imagine pas en France le sérieux et l’application qu’apporten
6 corrigent : de la race. C’est encore un progrès «  scientifique  »… Que pourrait objecter M. le Ministre ? Mais Kierkegaard nous dit :
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
7 ure et cela se définit par des signes certains et scientifiques . Le test d’intelligence d’un génie (examen portant sur la mémoire, l’
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
8 ports, modes, slogans, superstitions nouvelles, «  scientifiques  ». — Sociétés trop vastes et informes pour être réglées ; la seule me
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
9 d’aller me coucher, je lui donne Le Nouvel Esprit scientifique de Bachelard. J’ai souligné le paragraphe où l’on explique que selon
10 uelque chose qui échappe encore à nos définitions scientifiques . J’ai pris à dessein le mot mince qui est un mot humain, affectif, et