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es premières tâches. La Commission de coopération
scientifique
du Centre, présidée par Raoul Dautry, administrateur général du Commi
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t celui de la préhistoire du CERN. Car l’histoire
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de l’organisme s’est déroulée dès 1951 en toute indépendance du CEC,
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ys s’efforce de son mieux à organiser son travail
scientifique
par l’extension et la coordination des enseignements, par le développ
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lan intellectuel, et particulièrement sur le plan
scientifique
. À l’heure où, justement, on parle de l’union des peuples de l’Europ
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rsel et très souvent désintéressé de la recherche
scientifique
semble l’avoir prédestinée à travailler dans une mutuelle et fructueu
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des objets précis dans le domaine des recherches
scientifiques
. Extraits du Rapport général […] Nationalisation de la recherc
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t général […] Nationalisation de la recherche
scientifique
. La situation des physiciens mérite une mention particulière. Nous no
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les à la libre circulation. […] Pour la recherche
scientifique
, entendue au sens le plus large et dans tous les domaines du savoir :
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solément. […] Fonds européen pour les recherches
scientifiques
. Selon les indications données à la fin de la première section de ce
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e la création d’un Fonds européen de la recherche
scientifique
qui serait contrôlé directement par les organes compétents du Conseil
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tti, président du Conseil italien de la recherche
scientifique
. La veille de la première séance — et ceci fera sentir l’atmosphère d
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Dautry, harcelaient les membres de la Commission
scientifique
et devenaient une telle nuisance que je me vis obligé, le deuxième jo
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ments Vers un fonds européen de la recherche
scientifique
(article de Raoul Dautry, daté du 7 décembre 1950) : L’idée de cr
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mbre 1950) : L’idée de créer des laboratoires
scientifiques
européens — et même intercontinentaux — a été soulevée à plusieurs re
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énéral de l’ONU réunissait un congrès des experts
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qui étudièrent la création d’organismes dépendants des Nations unies
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avait souligné, dans son chapitre de la recherche
scientifique
, le coût sans cesse plus élevé des installations nécessaires et sa di
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nsidérant, d’autre part, que certaines recherches
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exigent des moyens d’action qui dépassent les possibilités nationales
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ion à l’institution de laboratoires de recherches
scientifiques
. Une résolution présentée par la France et le Danemark a préconisé la
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Pierre Auger et d’autres éminentes personnalités
scientifiques
à prendre part à ses discussions. Puisque la recherche scientifique a
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ndre part à ses discussions. Puisque la recherche
scientifique
a cessé, dans certains domaines — en l’absence d’équipements et d’out
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CEC : Résolution La Commission de coopération
scientifique
du Centre européen de la culture (patronné par l’Assemblée consultati
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décembre 1949, sur la coordination des recherches
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, vu la résolution n° 2.21 de la Conférence générale de l’Unesco, à Fl
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n de la culture, par la Commission de coopération
scientifique
du Centre, groupant les personnalités suivantes : Étaient présents :
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apron (Belgique), vice-président de la Commission
scientifique
de l’Institut interuniversitaire de physique nucléaire ; Bruno Ferret
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Verhaeghe (Belgique), président de la Commission
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de l’Institut interuniversitaire de physique nucléaire. S’étaient exc
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Italie), président de la commission culturelle et
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de l’Assemblée consultative européenne ; Gustavo Colonnetti (Italie),
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que), directeur du Fonds national de la recherche
scientifique
. 2. Les objections parfois formulées contre la construction d’un labo
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le de l’appareil américain n’aurait pas d’intérêt
scientifique
. Un des savants participants précise, non sans humour, que l’on devra
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ays se trouvent privés de leur meilleur personnel
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pour la création du Laboratoire ; — qu’un tel Laboratoire soit moins
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tel Laboratoire soit moins utile pour la jeunesse
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européenne que ne le serait un centre européen d’enseignement. M. Ro
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les perdront pas, mais ils en tireront un profit
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accru, alors qu’en les gardant chez eux ils risqueraient de laisser l
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est patent qu’en ce moment, faute d’un outillage
scientifique
adapté à la recherche moderne, les universités européennes produisent
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: Si l’Europe renonçait à se doter d’un outillage
scientifique
suffisant (dont le prix est désormais prohibitif pour des ressources
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noncement de l’Europe à se doter de cet outillage
scientifique
la condamnerait, non seulement à un déclin politique et économique en
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es aux directions gouvernementales des recherches
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des 14 pays suivants : Allemagne de l’Ouest — Autriche — Belgique — D
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adopté : c’est celui que souhaitait la Commission
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du CEC. Le choix du site Si l’on se reporte aux cinq critères formul
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obre 1970 — une séance consacrée à la coopération
scientifique
au niveau européen donna l’occasion à M. Pierre Auger — dont on a vu
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re l’action sur un plan à la fois authentiquement
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et international. Le souvenir de ces sessions de décembre 1950, il y
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t ceux que l’on appelle parfois les hommes d’État
scientifiques
(scientific statesmen) Randers, Capron, Verhaeghe, Rollier, constitua
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stituaient avec moi une commission de coopération
scientifique
du Centre, et les échanges de vues sur les chances de réussite et sur
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asion de se placer sur le front d’onde du progrès
scientifique
dans le domaine des particules fondamentales, a été certainement le m
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uipes de volontaires et le travail de préparation
scientifique
, technique, et il le fallait, juridique, put commencer ; je dois dire
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est considéré comme un modèle pour la coopération
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européenne. Je ne rappellerai pas les aventures diverses du CERN en f
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péens et de façon plus générale aux organisations
scientifiques
européennes. Il en existe plusieurs catégories et même en réalité cha
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c. Le second critère serait un critère de domaine
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, qui peut être pur ou appliqué, ou les deux : CERN et Esro, Eldo, Eur
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sez attrayants pour les gouvernements en plus des
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qui ont évidemment les premiers la parole. L’atome, le noyau, l’espac
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vaincre, il faut pouvoir créer dans la communauté
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européenne un mouvement d’intérêt assez puissant. Là aussi le sujet e
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sco où les ministres responsables de la politique
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des pays d’Europe — de la Grande Europe — se sont réunis. Un bureau e
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Broglie ne précisait en fait ni la spécialisation
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ni la fonction européenne de l’institut proposé. Toutefois, ce qu’il