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ent » aux réductions de pollution exigées par les
scientifiques
indépendants. Tout doit céder devant les « impératifs » de la croissa
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t de mentionner pour mettre fin à toute question,
scientifique
ou naïve, concernant la nature, les rythmes et les buts de la product
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umiliante besogne de réfuter un texte aussi peu «
scientifique
». On va donc contester ses chiffres (ce que l’on peut toujours faire
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des points35, qu’il pèche contre la « correction
scientifique
» en ses détails, voire en sa méthode, m’apparaît sans grande importa
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il se doit de tenir caché, mais jamais celle d’un
scientifique
cherchant le vrai et prêt à en débattre. Je me tournai vers les auteu
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aux rebouteux de l’environnement. Déjà, nombre de
scientifiques
(physiciens plus que biologistes) dans nos pays de l’Ouest (donc libr
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d’hui est celle que les Occidentaux tiennent pour
scientifique
. Or, elle demeure matérialiste et mécaniste, quand la science est dep
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’unilatéralité, la spécialisation de notre effort
scientifique
, provoque ainsi les forces les mieux faites pour mettre en échec son
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enne. Une autre conséquence indirecte de l’effort
scientifique
doit être indiquée ici. La vulgarisation de la notion de loi (au sens
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ment d’un gouvernement mondial, libérant l’effort
scientifique
. (Je note ce sentiment, incapable de preuve, à titre de curiosité pou
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. Mais à dire vrai, la prévision systématique, et
scientifique
s’il se peut, est devenue nécessité vitale pour une époque où l’homme
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nticipation des réactions du progrès mécanique et
scientifique
sur la vie et la pensée. Il annonce qu’un État mondial régnera aux ap
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de discussion des années 1960 le concept si peu «
scientifique
» d’aménités, comme un écho français bien tempéré à la passion plus f
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ues mois ? » Aux débuts du siècle, la plupart des
scientifiques
excluent la possibilité de vol d’un appareil plus-lourd-que-l’air. L’
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age éventuel mais abus actuel de la prospective «
scientifique
» Les calculs prévisionnels sont utiles ou indispensables pour opp
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fausse et néfaste qui nous annonce comme un fait
scientifique
que désormais « la consommation d’électricité va doubler tous les sep
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u’on en fait, surtout quand on déguise en données
scientifiques
à des fins qui ne veulent pas s’avouer (décrocher un contrat, pousser
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ures d’ongles de sa victime.) La futurologie «
scientifique
» appelle l’économie de guerre De fait, les prévisions les plus ex
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d Corporation. L’intime liaison de la prospective
scientifique
et de l’état de guerre ne peut manquer de jouer le rôle d’une sorte d
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aux dépens de la vie civique. La futurologie «
scientifique
» : un conservatisme utopique D’autre part, par ses méthodes mêmes
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humiliante pour l’homme, la futurologie prétendue
scientifique
bride l’imagination au lieu de la libérer, et dans la mesure où elle
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la recherche fondamentale et de la création, tant
scientifique
qu’artistique, de la saisie du réel par notre esprit. Mais dans la cr
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s entre déséquilibres permanents — les méthodes «
scientifiques
» échouent nécessairement là où les intuitions « sauvages » ont réuss
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connu qu’échecs et désapprobations des autorités
scientifiques
. » En France, Georges Clemenceau écrit en 1882 dans son journal La Ju
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ui-même n’était pas prévisible par la prospective
scientifique
, et que ne l’était pas davantage l’attitude « réaliste » de la plupar
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’on s’en tenait à l’évidence que la futurologie «
scientifique
» ne peut prévoir que du calculable, et que le calculable est raremen
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nt, enseignement, téléphone, urbanisme, recherche
scientifique
, culture artistique, santé publique même. » 102. À ceux qui l’averti
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nde ont été trouvées non pas dans la connaissance
scientifique
, mais dans le fanatisme dominant les masses, et dans une véritable hy
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le rappel aux finalités La prévision calculée,
scientifique
, demeure indispensable pour nous rappeler les contraintes matérielles
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itions de réalisation de nos projets, les données
scientifiques
sur lesquelles s’appuyer, et pour nous avertir de dangers mesurables,
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voir, besoin de s’informer sur tous ces problèmes
scientifiques
— à vrai dire politiques et sociaux. Il a trop de pouvoir dans certai
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ucun moyen d’intervention. Un centre de recherche
scientifique
établit-il la liste des plages où la baignade présente un danger faib
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sa subvention à l’institut coupable d’objectivité
scientifique
et de divulgation d’informations nuisibles à l’accroissement du PNB.
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cologie utilisé hors des laboratoires ? Voici les
scientifiques
fort agacés parce qu’on répète le mot sans même savoir qu’il désigne
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mmédiat à résoudre, et non pas d’une définition «
scientifique
» (c’est-à-dire conventionnelle) à préciser dans un sens compatible a
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de certaines fins. C’est un objet de recherches «
scientifiques
», sans aucun doute, dans les limites que tout savant sérieux sait re
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rières, industrielles, agricoles, commerciales et
scientifiques
. Nos cantons et nos provinces à nous, ce ne seront pas tant des provi
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au tiers-monde, et la concertation des recherches
scientifiques
— des agences fédérales paraissent indispensables pour rassembler les
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e masse, si elle est l’âge du génie pour quelques
scientifiques
, et de la grande poésie pour deux ou trois par siècle. Certains me di
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, de l’éducation et de la culture, des recherches
scientifiques
, des relations avec les autres continents… Rien n’empêchera que ces a
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es qu’on ne voit pas ». Mais à l’aide d’appareils
scientifiques
, on ne peut voir que du passé, des faits, c’est-à-dire du factum, du