1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 ires ont dû être vaincues en matière de recherche scientifique et technique. Des laboratoires de recherche ont certes été installés
2 cheurs et techniciens. Mais l’effort de recherche scientifique continue à se faire pour l’essentiel au niveau national : le budget c
3 nomiques d’abord. Les activités culturelles et scientifiques Quant aux activités culturelles en Europe, dans la mesure où elles
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
4 opéens le sentent bien — et d’innombrables études scientifiques le démontrent — c’est trop souvent le contraire qui est vrai et que n
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
5 a principale source d’énergie autonome. Plusieurs scientifiques ont évalué à 20 %, voire à 30 % les économies possibles sur la consom
6 pposition déterminée et documentée de milliers de scientifiques dans tous nos pays14 ; — l’opposition de l’ensemble des associations
7 sures, parmi tant d’autres déjà proposées par des scientifiques compétents, ou qui peuvent encore être imaginées, supposent toutes so
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
8 llé dans la jeunesse et chez les intellectuels et scientifiques de nos pays, en tant qu’ils se sentent et se veulent responsables env
9 tc.) 2° Que par suite les écologistes et tous les scientifiques ont dès maintenant pour devoir de préconiser une politique de destruc
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
10 ires, en pratique comme en théorie. L’objectivité scientifique oblige à constater que : 1° Les gouvernements des États les plus sus
11 Europe, les réalités spirituelles, culturelles et scientifiques . 3. Qu’une fiscalité refondue en fonction et au bénéfice des besoins