1
ns étaient pour le marié : M. Philippe Berthelot,
secrétaire général
du ministre des Affaires étrangères ; et pour la mariée : Son Excelle
2
Jacques Maritain. 12. Pseudonyme d’Alexis Léger,
secrétaire général
des Affaires étrangères jusqu’en mai 1940, auteur d’Éloges, d’Anabase
3
our entrer dans l’Union européenne, écrivez à son
secrétaire général
, M. Ernest Steffan. Attendez ! Prenez un crayon et un bout de papier,
4
, avec la collaboration de M. Raymond Silva comme
secrétaire général
(NDLR). 8. Dans son remarquable rapport qui a servi de base aux trav
5
dû reconnaître son échec, par la voix même de son
secrétaire général
, M. Marjolin. Personne ne sait comment, d’ici deux ans, nos États dés
6
, mais cependant concret, sera confiée au nouveau
secrétaire général
de l’association, que l’assemblée générale a désigné en la personne d
7
fonctions qu’il occupait depuis 1951. Le nouveau
secrétaire général
de l’Association européenne des festivals de musique, M. Abraham van
8
ecteur du Collège d’Europe, Bruges ; Albert Dory,
secrétaire général
du Centre international audiovisuel, La Haye ; Roger Girod, professeu
9
Sitôt à Paris, il court chez Philippe Berthelot,
secrétaire général
des Affaires étrangères, qui lui signe une autorisation de quitter la
10
pe unie en Mouvement européen et il en devient le
secrétaire général
. En cette qualité, il forme et conduit, avec Duncan Sandys, président
11
pu baptiser « le chevalier de l’Europe » et « le
secrétaire général
présomptif de l’Europe », finit par écrire en 1814 : « Ma politique d
12
rnaliste français qui se présente, Raymond Silva,
secrétaire général
de l’UEF, et il vient me relancer au sujet de Montreux. À mes objecti
13
au Congrès pour la liberté de la culture et à son
secrétaire général
Nicolas Nabokov. C’est en tant que président du Congrès que le direct
14
ncert avec notre ami commun Raymond Silva — alors
secrétaire général
du Centre européen de la culture —, proposer que nous lancions une «
15
étudiant ; une ou deux fois, W. Visser ’t Hooft,
secrétaire général
du « Conseil œcuménique en formation » ; et du côté catholique, Jacqu
16
-il que dans la capitale ?) Enfin M. Sanguinetti,
secrétaire général
du parti gaulliste UDR, convaincu que les militants autonomistes en F
17
rincipaux journaux européens. Dès l’ouverture, le
secrétaire général
devait situer en quelques mots les objectifs de la table ronde et en
18
ncontre La Promesse du xxe siècle. Ainsi que le
secrétaire général
le rappela, aucun discours n’était prévu, à l’exception de celui qu’i
19
mais la chose est admise, voire applaudie par le
secrétaire général
en personne, et sous ses formes les plus radicales : dénonciation de
20
ces dernières années. Notamment, en août 1949, le
secrétaire général
de l’ONU réunissait un congrès des experts scientifiques qui étudière
21
de ma salle de travail, à Ferney. Raymond Silva,
secrétaire général
du Centre européen de la culture, vient de m’annoncer que le Comité a
22
cien président du Conseil, Paris ; Raymond Silva,
secrétaire général
du CEC, Genève ; Georges Villiers, président du CNPF, Paris ; et le b
23
ident de Unilever, Rotterdam, à M. Raymond Silva,
secrétaire général
du CEC, lettre qu’il est intéressant de citer ici, ne fût-ce que parc
24
eland sont alors nommés respectivement directeur,
secrétaire général
et trésorier de la Fondation européenne de la culture. Le 23 février
25
s de la réunion du 16 mars 1957, le directeur, le
secrétaire général
et le trésorier, tous trois membres fondateurs de la Fondation europé
26
une ancien ministre et gendre de Churchill, et le
secrétaire général
, Joseph Retinger. Sous leur conduite, une délégation du Mouvement eur
27
e médiéval », renchérit M. Michel Debré. Quant au
secrétaire général
du parti gaulliste il traite « d’imbéciles ignorants de l’histoire »,
28
trer à quatre reprises à Genève, dans la villa du
secrétaire général
du Conseil œcuménique des Églises, Willem Visser ’t Hooft. De ces ren
29
Le philosophe-roi de Platon fait place au premier
secrétaire général
du Parti donnant ses ordres aux partisans organisés. Il ne tardera pa
30
Paris, René Lhuillier, responsable syndicaliste,
secrétaire général
du Mouvement européen français, Jean Bayet, professeur à la Sorbonne,
31
Paris, René L’Huillier, Responsable syndicaliste,
secrétaire général
du Mouvement européen Français, Jean Bayet, Professeur à la Sorbonne,
32
s rappeler ici la suggestion récente émise par le
secrétaire général
des Nations Unies : que chaque nation consacre un dixième de 1 % de s
33
e. Le directeur en était Denis de Rougemont et le
secrétaire général
Raymond Silva. Le Bureau d’étude pour un CEC, dès son entrée en fonc
34
président, Rougemont rapporteur général, et Silva
secrétaire général
, avait préparé et conduisit la conférence. On entendit dès l’ouvertur
35
décision, j’attends chez moi. Raymond Silva, mon
secrétaire général
, entre dans mon bureau et me crie dès l’entrée : « Ils nous refusent
36
éen, D. de Rougemont, directeur du CEC, R. Silva,
secrétaire général
du CEC, R. Schuman, ancien président du Conseil, Georges Villiers, pr
37
faires étrangères et des Affaires européennes, le
secrétaire général
du Conseil de l’Europe et son secrétaire général adjoint, le présiden
38
secrétaire général du Conseil de l’Europe et son
secrétaire général
adjoint, le président et vice-président de l’Assemblée consultative,
39
nsi fait : curiosité d’abord. Avec Raymond Silva,
secrétaire général
du « Bureau d’études pour un centre européen de la culture » né, lui
40
, L. Benvenuti, député italien (il sera plus tard
secrétaire général
du CE), dont les interventions rapportées par Le Monde m’ont paru de