1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)a Les hommes d’État, les généraux et qu
2 monstre avec des agrafes de dossiers : « C’est un secret que nous gardons, c’est un dépôt sacré », disent-ils. Et sans l’avis
3 expliqué dans le New York Times : le seul et vrai secret de la bombe atomique réside dans la puissance industrielle de l’Améri
4 t assez dire qu’il n’est que temporaire. Quant au secret technique de la détonation, dans quelques mois les Russes l’auront, o
5 e enquête révèle que 65 % sont persuadés que « le secret ne peut être gardé ». D’où je déduis que la proportion des Américains
6 eulement nous sommes sans défense, mais encore le secret de la bombe sera demain celui de Polichinelle, et enfin si quelqu’un
7 nt. Et nous restons, les bras ballants… a. « Ni secret ni défense », Combat, Paris, n° 606, 19-20 mai 1946, p. 1.
2 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
8 la, bien sûr, mais elle n’a pu parler que dans le secret des urnes. L’opinion d’aujourd’hui, je la sens, c’est l’Europe. Mais