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monstre avec des agrafes de dossiers : « C’est un
secret
que nous gardons, c’est un dépôt sacré », disent-ils. Et sans l’avis
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expliqué dans le New York Times : le seul et vrai
secret
de la bombe atomique réside dans la puissance industrielle de l’Améri
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t assez dire qu’il n’est que temporaire. Quant au
secret
technique de la détonation, dans quelques mois les Russes l’auront, o
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e enquête révèle que 65 % sont persuadés que « le
secret
ne peut être gardé ». D’où je déduis que la proportion des Américains
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eulement nous sommes sans défense, mais encore le
secret
de la bombe sera demain celui de Polichinelle, et enfin si quelqu’un
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nt. Et nous restons, les bras ballants… a. « Ni
secret
ni défense », Combat, Paris, n° 606, 19-20 mai 1946, p. 1.