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s écris des bords d’un lac où vit encore, au plus
secret
des bois, l’esprit d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans. L’onde
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’on vient de faire, ajouta-t-elle. On a touché au
secret
du monde. On a piqué le mystère en plein plexus solaire… Il va se ven
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la Bombe ! Et nous sommes décidés à en garder le
secret
. Le président, après quelques phrases pieuses, semble s’être rangé à
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VNi
secret
, ni défense New York, 10 octobre 1945. Les hommes d’État, les génér
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e monstre avec des agrafes de dossiers : c’est un
secret
que nous garderons, c’est un dépôt sacré, disent-ils. Et sans l’avis
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ort bien expliqué dans le Times : le seul et vrai
secret
de la Bombe atomique réside dans la puissance industrielle de l’Améri
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t assez dire qu’il n’est que temporaire. Quant au
secret
technique de la détonation, dans quelques mois les Russes l’auront, e
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e enquête révèle que 65 % sont persuadés que « le
secret
ne peut être gardé ». D’où je déduis que la proportion des Américains
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eulement nous sommes sans défense, mais encore le
secret
de la Bombe sera demain celui de Polichinelle, et enfin si quelqu’un
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, si elles existent ? La guerre n’a plus d’autres
secrets
que ceux de l’industrie, qui sont ceux de la science, qui n’a d’autre
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défendons l’idée de nation souveraine parce qu’au
secret
de notre conscience elle est liée à l’idée de guerre. Des millénaires
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sicien des plus remarquables. Il n’en fait pas de
secret
, mais ne la publiez pas : le colonel dirait encore que c’est « au moi
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dure encore. Comme si l’humanité, au scrutin très
secret
, avait voté que l’on arrête les frais : et tous ces fous ne feraient