1 ais le seul fait que nous existons dorénavant, me semble-t -il, peut rendre à beaucoup un espoir. Quelques-uns répondent, enfin,

2 terre sur le fameux bateau nommé le Mayflower. Il semble bien que cette caravelle ait transporté plusieurs centaines de millie

3 és. Lawrence ne fut un écrivain que par accident, semble-t -il. Mais cet accident fit sa gloire, et nous donne seul la possibilit

4 , et leur drame. Une ultime structure de destinée semble gouverner ces deux vies. Leur vocation s’est marquée dès l’enfance et

5 exemple ? Les citations que je viens de traduire semblent indiquer que Lawrence eût été capable de justifier, de la manière la

6 dont pas un seul n’est à l’échelle du siècle. Il semble évident que leur union renverserait d’un coup la situation. Tout les

7 marquables. Enfin, il y aurait lieu d’étudier, me semble-t -il, une sorte d’organisation de voyages et d’échanges, comme celle ét

8 me surprend le plus chez M. Rappard, c’est qu’il semble avoir oublié qu’il présidait la commission économique du Congrès de l

9 ds pas, et l’argument de cette finis Helvetiae me semble un rien démagogique. Non, rien ne sera fait contre nous si nous gardo

10 e ? Et sa comparaison d’un Sonderbund européen me semble tout aussi erronée. Cette fédération n’est pas une ligue séparée, ell

11 tion un exercice spirituel, assez analogue, il me semble , à ceux qu’imposent aux néophytes les moines bouddhistes de la secte

12 dages discrets opérés à la Chambre française : il semble qu’un peu moins d’un député sur dix ait pris la peine de lire ce text

13 lettre. Le « qui veut faire l’ange fait la bête » semble illustré par leurs excès ; mais ceux-ci traduisent bien plutôt la nat

14 ’une conciliation vivante des inconciliables. Ils semblent refléter, mais en la surmontant, la division des consciences (elle-mê

15 tous les grands mystiques de l’Occident. Il nous semble parfois se réduire à des fadaises sophistiquées, dans le goût des pet

16 e voulais mettre à jour un paradoxe dont l’époque semble nourrie mais inconsciente : on fonde aujourd’hui le mariage sur la pa